Quelle différence entre saurai et saurais ? Les conjugaisons saurai et saurais existent toutes les deux, elles correspondent au verbe savoir conjugué au futur et au conditionnel présent. Les deux peuvent servir à exprimer une demande de manière polie, dans la tournure savoir gré .
Cette expression est utilisée comme formule de politesse, pour remercier à l'avance une personne pour l'acte qu'elle accomplira, pour le service qu'elle rendra. Exemple : Je vous saurais gré de l'attention que vous porterez à ma proposition.
Faux. Il faut écrire : Je vous saurais gré d'attendre que le cours soit fini pour quitter la salle. « Serais » n'est pas le conditionnel du verbe « savoir », mais du verbe « être ». Or, l'expression qui marque la reconnaissance est bien « savoir gré », et non pas « être gré à quelqu'un » !
Le futur simple exprime une action à venir. Demain, j'irai au zoo. Elle verra ses grands-parents pendant les vacances. Le conditionnel présent exprime une hypothèse, un souhait ou une condition.
On écrit toujours « Je vous saurais gré ». Seule orthographe correcte. « Saurais» et « serais » ne se prononcent pas exactement de la même façon, alors qu'il n'est pas rare de voir ce genre de faute dans des lettres ou dans des emails. « Saurais », c'est le conjugué du verbe « savoir » au conditionnel présent.
Saurait est le verbe « savoir » conjugué au conditionnel présent. Pour savoir quand l'employer, on peut soit remplacer le verbe par « devoir » soit mettre la phrase à l'indicatif présent.
L'expression "je vous serais obligé(e) a le même sens dans les deux phrases : je vous serais reconnaissant(e). -Je vous serais obligé de me faire parvenir ce document.
Les verbes conjugués à la première personne du singulier se terminent par -ai au futur de l'indicatif et par -ais au conditionnel présent.
je viendrai : venir au futur : je viendrai demain, c'est sur! je viendrais : venir au conditionnel : je viendrais peut être demain, on verra.
1) Dans une phrase simple (un seul verbe), remplacez le pronom personnel « je » par « il » ou « elle » : Je viendrai( ?) à la réunion mercredi.
Le conditionnel est principalement utilisé pour exprimer une condition, une hypothèse, une formule de politesse ou un souhait. Condition : Si j'avais le temps, je lirais une bibliothèque entière ! Hypothèse : Les pertes s'élèveraient à des milliards d'euros.
« Si tu pouvais, tu irais la voir » : pour donner une information non confirmée, faire des hypothèses ou exprimer un souhait, on utilise le conditionnel présent. Le conditionnel présent peut servir à : - donner une information incertaine ou non confirmée. Les journalistes l'utilisent souvent.
Si vous écrivez "je serai", vous employez le futur, tandis que "je serais" est conjugué au conditionnel. Dans le premier cas, il s'agit d'un engagement ; dans le second, c'est juste une éventualité.
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait. Par exemple, le verbe aller au futur : J'ir-ai. Le verbe aller au conditionnel : J'ir-ais.
Le futur de l'indicatif correspond à un verbe au présent. Exemple : je sais que je viendrai demain. Le conditionnel présent correspond à un verbe du passé. Il est aussi utilisé pour marquer un souhait et la politesse.
Pour ne pas vous tromper, repérez l'auxiliaire – ici, « être » (= « sont ») – et posez-vous la question : « Qui est venu ? » La réponse étant « elles », le participe passé prend la marque du féminin ainsi que celle du pluriel : « Elles sont venues. »
On emploie le futur Pourrai-je quand on parle d'une action à venir. On emploie le conditionnel Pourrais-je quand on fait une hypothèse ou dans une formule de politesse.
Exemple : Je pourrai venir demain à ton anniversaire. Puisqu'il sert à évoquer l'avenir, il permet d'exprimer une action hypothétique. Dans ce cas, on peut aussi employer le conditionnel présent, « je pourrais ». Exemple : Si je termine mon travail assez vite, je pourrai(s) venir t'aider.
« J'aurai » ou « j'aurais » : quelle différence ? Tous deux sont des conjugaisons du verbe (auxiliaire) avoir. « J'aurai » est conjugué au futur simple, et « j'aurais » au conditionnel (présent) .
Terminaison en ai ou ais
On ne va pas tourner autour du pot plus longtemps, on t'explique la différence entre les deux terminaisons. La terminaison en –ai : c'est à la première personne du singulier au futur de l'indicatif. La terminaison en -ais : c'est à la première personne du singulier au conditionnel présent.
Retenons d'abord que les deux sont corrects mais qu'ils ne signifient pas la même chose. Voyons la conjugaison complète : au futur simple : j'aurai, tu auras, il aura, nous aurons, vous aurez, ils auront. au conditionnel présent : j'aurais, tu aurais, il aurait, nous aurions, vous auriez, ils auraient.
Savoir gré est une locution très ancienne dans laquelle le mot gré est un nom qui signifie « gratitude, reconnaissance ». On en trouve la trace dans un des premiers textes français, La Vie de saint Alexis, qui date du milieu du XIe siècle.
Cette expression est utilisée généralement dans le genre épistolaire pour marquer des remerciements ou sa reconnaissance. Elle se trouve également dans des formules consacrées. La langue l'a déformée sous la forme "être gré". Exemple : Je vous saurais gré de bien vouloir m'accorder un entretien.
On utilise « gré » dans différentes expressions comme « bon gré mal gré » (de bon cœur ou en se résignant), « de gré ou de force » (volontairement ou sous la contrainte), « de plein gré », « de gré à gré » (par un arrangement qui satisfait les parties en présence), « au gré des événements », « À ton gré, à votre gré, ...