C'est l'exposition solaire excessive qui est responsable de la majorité des cancers de la peau. Le mélanome cutané touche chaque année environ 15 000 nouvelles personnes en France, dont 48 % de femmes et 52 % d'hommes.
65 à 95% des mélanomes cutanés sont causés par l'exposition aux rayonnements UV. Les radiations solaires et les rayonnements UV émis par des installations de bronzage sont tous deux des cancérogènes certains pour l'homme pour le mélanome cutané (groupe 1 du CIRC).
L'exposition au soleil est le principal facteur de risque de mélanome. Le mélanome, également appelé cancer du système pigmentaire, est une tumeur maligne des mélanocytes, les cellules qui fabriquent la mélanine. Or, des expositions solaires à répétition favorisent le dérèglement de ces cellules.
Le mélanome nodulaire
Le type de mélanome le plus agressif. Il représente 10 à 15 % de tous les cas. La tumeur se développe plus profondément dans la peau plus rapidement que les autres types et se trouve le plus souvent sur le torse, les jambes et les bras, ainsi que sur le cuir chevelu chez les hommes plus âgés.
Détecté à un stade peu développé, le mélanome peut la plupart du temps être guéri. La prévention et la surveillance de sa peau sont donc primordiaux. Selon l'Institut National du CAncer, 70 % des mélanomes sont liés à des expositions excessives au soleil.
Vous pourriez ressentir des symptômes tels que la fatigue, des douleurs, la dépression et de l'anxiété. Ces symptômes liés à la maladie peuvent être gérés. De nombreux traitements sont disponibles à cette fin.
Le mélanome est l'une des formes les plus graves de cancer de la peau (cutanés). Même s'il ne représente que 10 % des cancers cutanés, le mélanome est à l'origine de la grande majorité des décès dus à ce type de cancer.
Ce sont des tumeurs non cancéreuses (bénignes). Mais dans certains cas, les changements qui affectent les mélanocytes peuvent engendrer un mélanome. Un changement de la couleur, de la taille ou de la forme d'un grain de beauté est généralement le premier signe de la présence d'un mélanome.
Prévenir la survenue du mélanome cutané L'exposition au soleil est le principal facteur favorisant la survenue d'un mélanome. La meilleure façon de réduire ce risque est de limiter l'exposition aux rayons ultraviolets.
Pour les cancers de la peau autres que les mélanomes, le taux de survie à 5 ans oscille entre 95 et 100 % après le moment du diagnostic.
Le mélanome cutané est le plus grave des cancers de la peau étant donné sa forte capacité à métastaser. Aucune catégorie d'âge n'est épargnée. Il est observé de l'enfance à un âge avancé. Le pic d'incidence se situe entre 50 et 64 ans chez l'homme et entre 15 et 64 ans chez la femme.
Un mélanome de la peau se manifeste par une petite tache pigmentée qui ressemble à un grain de beauté normal et qui se modifie rapidement. Le plus souvent (80% des cas), cette tache apparaît sur une peau saine, c'est-à-dire une peau ne présentant aucune tache ou lésion.
L'incidence du mélanome, forme de cancer de la peau la plus sévère, croît depuis plusieurs décennies et double tous les 10 ans depuis 1945 dans tous les pays du monde.
Le mélanome se présente la plupart du temps sous la forme d'une tache foncée ou noire qui peut être plate, bombée ou avoir une surface irrégulière. Il peut apparaître à n'importe quel endroit du corps, parfois même sur les zones génitales, sous les ongles, ou plus rarement sur les muqueuses.
Le mélanome est en général Asymétrique, il a des Bords irréguliers, encochés, polycycliques, une Couleur inhomogène, allant du brun clair au noir foncé, un Diamètre en général supérieur à 6 mm et il Evolue au fil du temps, changeant d'aspect, de taille, de couleur et parfois d'épaisseur.
Le carcinome basocellulaire, qui se développe à partir des cellules dans la couche la plus profonde de l'épiderme. Le carcinome épidermoïde (appelé autrefois spinocellulaire), qui se développe au niveau de la couche intermédiaire de l'épiderme.
Le plus important facteur de risque du mélanome est les rayons ultraviolets (UV) émanant du soleil et du bronzage artificiel. Le nombre de nouveaux cas de mélanome a augmenté chez l'homme et la femme depuis les 30 dernières années. Plus d'hommes que de femmes en sont atteints.
On fait souvent une BGS quand le mélanome a plus de 1 mm d'épaisseur. On y a recours seulement si le médecin ne sent pas au toucher que les ganglions sont enflés et si les résultats d'une biopsie ganglionnaire ou d'examens d'imagerie révèlent que les ganglions lymphatiques ne contiennent pas de cellules cancéreuses.
Par voie lymphatique, les cellules tumorales atteignent les ganglions lymphatiques du cou, des aisselles ou de l'aine (en fonction de la localisation de la tumeur initiale) et s'y multiplient pour donner naissance à des métastases ganglionnaires.
Actuellement, plusieurs types de traitements médicamenteux sont utilisés pour traiter les mélanomes de la peau : des molécules d'immunothérapie, de thérapies ciblées et de chimiothérapie classique. Les traitements médicamenteux des mélanomes ont évolué ces dernières années.
Le mélanome bénin porte le nom de naevus. Le mélanome est plus dangereux que la plupart des autres formes de cancer de la peau. Il fait partie des formes de cancer les plus agressives, car le mélanome forme souvent des métastases.
Des cellules spécifiques, circulant dans le sang, permettent de détecter la présence d'une tumeur. Le mélanome est un cancer de la peau, et fait partie des formes les plus agressives de la maladie.
Une perte de poids d'apparence inexplicable est une conséquence fréquente du processus cancéreux. Elle est même parfois le signe avant-coureur d'une tumeur non encore diagnostiquée.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.