il convient donc d'utiliser un terme arabe plus en adéquation avec ce que nous considérons comme des accents : al ashkal (الاَشْكَال). « Al ashkal », que l'on peut traduire linguistiquement par “ les formes/les symboles “, est un terme général qui englobe les harakat, ainsi que tous les autres accents.
L'alphabet arabe est de type abjad (ابجد en arabe), qui note exclusivement les consonnes du système phonologique de la langue arabe. La graphie des lettres est différente selon que la lettre se trouve en début de mot, au milieu ou en fin, voire isolée. Il n'existe pas de majuscule, par exemple en début de phrase.
Nom commun. Dans l'alphabet arabe, signe diacritique "ـْ" représentant l'absence de voyelle après un graphème, c'est-à-dire une lettre scriptée.
Définition: Le Tanwine: est l'action d'ajouter une deuxième voyelle à la fin d'un nom, ce redoublement de voyelle nous permet de savoir que le nom est indéfini.
Chadda : signe diacritique suscrit de l'alphabet arabe "ـّ", servant à faire l'économie d'une consonne géminée. C'est-à-dire quand deux consonnes identiques se suivent, on place la chadda au-dessus d'une des consonnes, tandis que l'autre n'est pas écrite.
Nom commun. (Grammaire) Signe diacritique arabe, signifiant qu'un nom ou adjectif est indéfini. Le nom "نهرٌ, náhr-un (« une rivière ») est composé de نَهْر, nahr (« rivière ») et d'un tanwin ـٌ, -un.
En arabe, cela s'écrira par un symbole appelé Chedda ( ّ ) ce symbole s'inscrit uniquement au dessus de la lettre arabe. Généralement placée en dessous de la voyelle courte, dans le cas de la kasra, la chedda s'écrit au dessus de la lettre et la kasra sous la chedda (et pas en dessous de la lettre arabe).
Les voyelles en arabe se nomment les harakats (حَرَكَات).
Définition : c'est le fait de prononcer la lettre depuis son point de sortie clairement et distinctement, sans aucun changement.
taper a=, i=, u= (ou â, î, û) pour obtenir ā, ī, ū taper = pour ajouter un diacritique : h= d= t= pour obtenir ẖ ḏ ṯ
On rend bien la lettre grave. Ensuite avec le dhad, c'est pareil c'est une lettre grave donc on dira “adh”. Ensuite “ath”, “adh”, “a3”, “agh”, ici pour le ghayn faîtes comme si vous aviez de l'eau au fond de la gorge. Ensuite “èf”, “aq”.
Les voyelles courtes en arabe sont au nombre de trois. Elles correspondent en français aux voyelles « A », « OU » et « I ». Ainsi, en arabe il n' y a que trois voyelles permettant d'articuler les lettres, au contraire du français qui comporte 6 voyelles (a, e, i, o, u, y).
Il s'écrit avec un "3". Ce son ressemble à un "a" prolongé mais qui se forme dans la gorge. C'est le son produit quand vous retirez l'arrière de votre langue vers votre gorge. Pour ne pas la confondre avec d'autres lettres, elle s'écrit souvent avec un "3".
La lettre ا ( Alif )
En plus de ne jamais s'attacher sur la gauche, elle a quelques particularités, on reviendra en détail dessus plus tard, pour l'instant il suffit de s'en souvenir : quand elle est toute seule ou en début de mot, elle s'écrit avec un petit signe au-dessus, qui est comme cela pour un son « a » أ
Après un noun as-sâkina ou un tanwin dans le Coran, il faudra appliquer selon le cas, l'une des quatres règles suivantes : la clarification, l'assimilation, la substitution, la dissimulation. Ces lettres ne modifient pas la prononciation du Noun As-sâkina et du tanwîn, mais il faut clairement les prononcer.
Sakina (سكينة) est un mot d'origine arabe qui veut dire « paisible » et « sereine ». Certains le rapprochent aussi du terme « soukkoun », signifiant « silence ». En arabe littéraire, il se traduit par « quiétude » ou « paix profonde ».
Lettre. Alif de prolongement, ʾalif maqṣūra. La lettre ى ne s'utilise qu'en fin de mot, sa forme qualifiée de « isolée » apparaît derrière une lettre qui ne se lie pas à la suivante. Comme l'alif standard, c'est une lettre de prolongement pour le phonème /a/.
Les notions de lettre majuscule et lettre minuscule n'existent pas en arabe : l'écriture est monocamérale.
عَلِقَت عَظْمَةٌ في حَلْقِهِ.
Que l'on prononce : Ouhibbouk-احبكي pour une femme et Ouhibouka -احبك pour un homme. On insistera sur le “h” qui se prononce de manière aspirée et on rebondit sur le double “b” pour prononcer “je t'aime” en arabe.
Khouya : prononcez « rouilla », frère en arabe, par extension, pote. Variante : khey. Exemple : « Eh, khouya, faut que je prenne le rereu » (« Eh, mon ami, il faut que je prenne le RER).
Lorsqu'on rencontre quelqu'un pour la première fois, que quelqu'un est de passage dans votre pays, il est bien d'utiliser l'expression “Marhaba” (مرحبا) qui veut dire en arabe “Bienvenue” ou “Ravi de vous rencontrer”.
En arabe littéraire (fosha)
Pour dire pardon en arabe littéraire, il y a plusieurs possibilité : « 'afwan », « عفوا » : Pardon. « a'tadhir », « اعتذر » : Je m'excuse. « ou'dhourni », « اعذرني » : Excuse-moi.