questionneur n. Personne qui pose beaucoup de questions.
RÉPONDANT, -ANTE, subst. A. − Vieilli. Personne qui est sommée de fournir une réponse.
conférencier, orateur[Hyper.]
Synonyme : interroger, demander, consulter.
Si se poser des questions est "normal", s'en poser trop peut être problématique. "Si ces questions prennent la forme d'une rumination mentale, cela peut créer beaucoup de souffrance et avoir un impact négatif sur la santé mentale et physique de l'individu à long terme" explique Aude Lechere.
Historique de la notion
En linguistique moderne (pragmatique), on appelle question rhétorique une question qui attend une réponse dichotomique : soit oui soit non, par opposition aux questions indirectes, qui attendent une réponse construite comme dans « Avez-vous l'heure ? ».
La question rhétorique (interrogation oratoire) est une "fausse question" qui n'attend pas de réponse et qui permet d'affirmer un point de vue et d'éveiller la curiosité. Elle sert à provoquer l'auditeur et a donc un effet immédiat... surtout si elle est drôle ou caustique.
Une question rhétorique est une figure de style qui consiste à poser une question dont la réponse est connue ou suggérée par la personne qui formule l'interrogation.
Utilisé de manière plus générale et en fonction du contexte, le terme "rhétorique" a pour synonyme "éloquence", "grandiloquence" ou encore "bien-dire". Il désigne alors la qualité oratoire d'une personne.
Il existe 5 grands types de questions : fermées, ouvertes, directives, de rappel ou de réflexion, et rhétoriques. Les questions fermées sont souvent simples. Le plus souvent, il suffit de répondre par oui ou par non selon la question.
la rhétorique est l'art de bien parler (ars bene dicendi de Quintilien) ; la rhétorique est l'exposé d'arguments ou de discours qui doivent ou qui visent à persuader (Aristote).
À cet égard, six types sont recensés : informatif, descriptif, réflexif, métacognitif, affectif et, enfin, conceptuel1 (Lafortune, 2004a).
Cette technique consiste à étendre les arguments de votre interlocuteur en utilisant des homonymes. Cela permet de sortir du contexte du discours et de réfuter le dialogue adverse. Par exemple : « Tu ne connais pas l'art d'avoir toujours raison ?
Interrogation qui ne requiert pas obligatoirement de réponse, car elle est suggérée directement dans l'énoncé ou à l'avance connue par la personne qui la pose. La question a alors la plupart du temps valeur d'affirmation en dépit de sa tournure souvent négative. Exemple : Tu penses vraiment que je n'y ai pas pensé ?
(dans une réponse positive à une question) ➙ certainement, certes ; familier ouais ; → comment donc, bien sûr, sans doute, d'accord, entendu, OK.
Question Dichotomique (questionnaire)
Une question dichotomique est une question fermée accompagnée par deux possibilités de réponse seulement. Ces réponses expriment en général des oppositions de type “oui / non”.
Il ne répond pas tout de suite car il sait que cela va mener à une conversation et il n'a pas envie de commencer une discussion par texto. Il n'aime tout simplement pas les textos et préfère un échange réel, du temps passé avec vous en face à face, plutôt que de raconter sa journée en émoticones.
Éloquence : la qualité
Que désigne l'éloquence, exactement ? C'est le don de la parole, la facilité de bien s'exprimer. Et comme l'éloquence vient souvent servir une demande, un but, une cause, c'est aussi l'art de toucher et de persuader par le discours.
Les trois genres rhétoriques. La rhétorique classique distingue trois grands genres de discours: le discours judiciaire, le discours délibératif et le discours démonstratif.
Logos, Pathos et Ethos sont les 3 piliers de la rhétorique sur le plan de l'argumentation. Ils sont les éléments indispensables à la mise en œuvre de tout travail de conviction. Bien sûr, ils ne suffisent pas et l'orateur devra prendre en compte de très nombreux autres aspects dans ses prises de parole.
Pour satisfaire sa curiosité, parfaire ses connaissances et combler ses lacunes. Il y a deux sortes de questions. Les concrètes, qui concernent les connaissances factuelles.
Pourquoi poser une question? Pour amener la personne à trouver ses propres réponses, parce que justement, elle est l'expert de son travail et de son domaine, elle connaît ses outils et elle sait ce qu'elle est prête à déployer. Il n'y a rien d'aussi puissant et incarné que les réponses que nous trouvons nous-même.
Un sophiste (du grec ancien σοφιστής, sophistès : « spécialiste du savoir ») est à l'origine un orateur et un professeur d'éloquence de la Grèce antique, considéré par sa culture et sa maîtrise du discours comme un personnage éminent dès le V e siècle av.