La seule manière de retrouver trace des soldats tombés au front sous l'uniforme allemand est, bien souvent, de consulter leur acte de décès, conservé dans la collection de l'état civil des Archives départementales du Bas-Rhin.
Sur les sites des archives départementales, vous allez trouver pour les registres matricules, des tables alphabétiques annuelles. Il existe souvent plusieurs bureaux de recrutement par département. Vous devrez peut-être vérifier dans chaque bureau.
Le site Mémoire des Hommes est un incontournable de vos recherches généalogiques. Le site a « vocation a mettre à la disposition du public des documents numérisés et des informations issues des fonds d'archives conservés par le ministère des armées. »
Si le soldat que vous cherchez a survécu au conflit ou n'est pas « Mort pour la France », il vous faut consulter le registre matricule d'incorporation militaire dans lequel il figure : vous y trouverez la référence de l'unité.
Vous pouvez-vous aider du site www.meyersgaz.org. Pour faire face à la difficulté sur l'orthographe de la commune d'origine ou celle du nom de famille, il est indispensable de commencer ses recherches avec les documents familiaux personnels, les dossiers d'étrangers aux Archives Départementales.
Où et comment la retrouver ? Les registres matricules des poilus ayant combattu dans l'armée de terre sont conservés aux archives départementales. La quasi-totalité des registres a été numérisée et mise en ligne par les archives départementales.
Le site memorialgenweb.org permet de retrouver les soldats français morts lors des différents conflits.
Vos archives familiales conservent peut-être le livret militaire de votre aïeul.
Le numéro de matricule est un code qui se trouve généralement sur votre fiche de paie.
Comment faire ? Aux archives départementales,vous trouverez cette information en Série R : Affaires militaires. Sur internet, certains sites d'archives départementales permettent de consulter le répertoire alphabétique et les registres matricules (voir la carte).
Pour retrouver un ancêtre mort pour la France pendant la guerre, la principale ressource à consulter est le site Mémoire des Hommes. Vous pourrez y retrouver toutes les retranscriptions de jugements pour décerner la mention « Mort pour la France ». La recherche peut se faire par nom, prénom, date et lieu de naissance.
Vue de la sépulture. Augustin Trébuchon, né le 30 mai 1878 au Malzieu-Forain en Lozère et mort au combat le 11 novembre 1918 à Vrigne-Meuse (Ardennes), est considéré comme le dernier soldat français mort au combat de la Première Guerre mondiale sur le sol français.
L'état de mobilisation
Le 2 août 1914, la mobilisation générale est décrétée. Elle est symbolisée par une affiche officielle placardée devant les mairies. Elle appelle tous les hommes de 20 à 48 ans à rejoindre sans délai leur unité d'affectation.
Arrêtés le 10 juillet à Bamako, ces membres des forces armées ivoiriennes étaient soupçonnés d'être des « mercenaires » par les autorités maliennes et ont été condamnés à vingt ans de réclusion. Trois femmes soldats libérées en septembre avaient quant à elles été condamnées à la peine de mort par contumace.
L'attestation des services accomplis, également appelée état signalétique des services, prouve que le service militaire (ou assimilé) a bien été accompli.
Pour retrouver la trace d'un ancêtre décédé pendant la Grande Guerre, la première chose à faire c'est de se rendre sur le site Mémoire des Hommes. C'est un site qui recense tous les soldats décédés durant la Grande Guerre et qui ont reçu la mention « Mort pour la France ».
La cause immédiate de la Première Guerre mondiale fut l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche, l'archiduc Franz Ferdinand, le 28 juin 1914 à Sarajevo. L'assassin était Gavrilo Princip, membre de la société de la Main Noire.
Comme nous l'avons vu, la Seconde Guerre Mondiale fut le conflit le plus meurtrier du XXème siècle avec une proportion plus importante de victimes civiles que militaires. Selon une estimation qui fait aujourd'hui consensus, on considère que le nombre de victimes dépasse les 65 millions, dont 5 à 6 millions de juifs.
Les soldats sont classés par n° de matricule. Pour chaque matricule, une partie donne des renseigne- ments sur l'état civil du soldat : nom, prénom, date et lieu de naissance, profession, filiation. Une partie Signalement fournit des données sur le physique de la personne et son degré d'instruction.
Ils contiennent par classe, par bureau et dans l'ordre numérique croissant des numéros matricules, les états signalétiques et des services des soldats retraçant leur parcours militaire, leurs éventuelles condamnations, leurs lieux de résidence successifs (un soldat pouvait être rappelé jusqu'à l'âge de 45 ans).