Étant donné que. En considérant que, puisque. Exprime la cause. Attendu que, car, comme, puisque, etc.
Etant donné que, considérant que, compte tenu du fait que, parce que. Exemple : La soirée surprise organisée pour leur anniversaire de mariage va être annulée vu que nous avons appris qu'ils ont décidé de divorcer.
Astuce : «Au vu de», peut être remplacé par «étant donné».
À la suite de quoi ; aussitôt.
Les expressions Tel que promis, Tel que convenu, Tel que prévu, dans lesquelles Tel ne réfère à aucun élément dans la phrase, sont incorrectes. On doit y remplacer tel que par comme : *Tel que convenu, je vous transmets ci-joint les documents demandés. Comme convenu, je vous transmets ci-joint les documents demandés.
Si le remplacement par « bien que » est possible, il faut écrire « quoique », en un seul mot. Dans le cas contraire, il s'agit de la locution « quoi que ». Quoiqu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite. = Bien qu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite.
Voilà sert à présenter ce qui est éloigné ou ce qui est passé et voici, ce qui est proche ou à venir.
En fait signifie "en réalité, effectivement, réellement, quelles que soient les apparences". Exemple : En fait, on peut aussi considérer que Nostradamus n'a fait aucune prédiction, mais que tout est sujet d'interprétation.
Définition "en fait"
adv. En réalité, effectivement.
Dans « à vue d'œil », on a affaire au nom féminin « vue », qui prend un « e ». Faux. Il faut écrire : Au vu des résultats de l'élève, le conseil de classe préconise le redoublement. C'est le nom masculin « vu », et non le nom féminin « vue », qu'on trouve dans l'expression « au vu de ».
Sans rien cacher, devant tout le monde. Synonyme : ouvertement.
Ici, le terme «vu» est placé devant un nom, employé sans auxiliaire. Il a donc le rôle de préposition et est par conséquent invariable. La phrase correcte est: «Vu les circonstances.» Si toutefois vous veniez encore à douter de son bon usage, préférez alors la formule «étant donné».
Étant donné que. En considérant que, puisque. Exprime la cause. Attendu que, car, comme, puisque, etc.
Car, parce que et puisque sont tous invariables. Ils ont un sens très proche et sont utilisés pour exprimer un lien causal entre une action et un résultat. « Car » est une conjonction de coordination et permet de donner une explication, une raison, une cause.
L'une des manières prototypiques d'exprimer une relation de causalité entre deux propositions consiste à les relier par le connecteur parce que, comme en (35) : (35) Marie est malade parce qu'elle a trop mangé.
Selon elle, "du coup" serait une contrefaçon des mots de liaison « par conséquent ». À une nuance près : « "Du coup" a les apparences de l'articulation logique mais occulte un chaînon de l'argumentation, pour finalement obtenir l'approbation d'autrui. C'est en réalité un outil de manipulation intellectuelle.
Véritable caméléon de la langue française, le mot «voilà» n'en reste pas moins aujourd'hui soumis à des règles. La préposition sert à la fois «à présenter ce qui est éloigné ou ce qui est passé et “voici“, ce qui est proche ou à venir» mais aussi «à présenter une personne», explique l'Académie française.
Définition "maïs"
Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
Faire fi de quelque chose, de quelqu'un,
le dédaigner, ne pas y attacher d'importance.
Locution interjective
Locution pour attirer l'attention de la personne à qui on s'adresse (que l'on tutoie).
L'Académie française nous indique son bon usage dans sa rubrique Dire/ Ne pas dire. Si la locution est souvent employée à tort comme un équivalent de la conjonction «mais», les sages nous rappellent que la formule «en fait» ne peut avoir que deux significations: «réellement, vraiment» et «contrairement aux apparences».
Un serment par Allah, qui se fait généralement au moyen de l'interjection arabe wAllah (والله dans l'alphabet arabe), signifiant littéralement « par Allah » (sous-entendu « [je le jure] par Allah »), consiste pour un locuteur de confession musulmane à prendre à témoin Allah pour prétendre que ses propos ne sont pas ...
Locution utilisée par les militaires lorsqu'ils souhaitaient interpeller une personne ou savoir s'il y avait une présence.
Les présentatifs sont des mots ou des locutions servant à présenter, à annoncer quelque chose ou quelqu'un. Les principaux présentatifs sont : c'est, c'est… qui/que : C'est lui le coupable.