Les spasmes infantiles sont un type de crises d'épilepsie débutant durant la première année de vie et plus spécifiquement entre 3 et 8 mois. Ceux-ci sont caractérisés par un repli des bras, des jambes et du cou. Ils sont le type de spasme le plus commun.
Les spasmes commencent par une brusque contraction tonique du tronc et des membres, parfois pendant plusieurs secondes. Les spasmes vont d'une discrète chute de la tête à une contraction du corps entier. Ils peuvent être en flexion, en extension, ou, plus souvent les deux (mixtes).
Traitement des spasmes infantiles
Le traitement le plus efficace des spasmes infantiles est l'hormone adrénocorticotrope (ACTH), injectée en intramusculaire une fois par jour. Le traitement par ACTH est généralement poursuivi pendant 2 à 3 semaines, puis est progressivement réduit sur 6 à 9 semaines.
Ce syndrome se manifeste par la survenue de spasmes, soit des contractions musculaires involontaires chez le nourrisson ou le jeune enfant. Ces spasmes s'accompagnent d'une détérioration psychomotrice, voire d'une régression de l'enfant, associée à un tracé d'électroencéphalogramme anormal (voir diagnostic).
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
C'est une maladie idiopathique c'est-à-dire que les causes sont généralement inconnues. "Mais il existe des facteurs de risques tels que l'arrière du pied varus. Cette malformation du pied se manifeste par l'os du talon qui a tendance à rentrer à l'intérieur et augmenter la pression sur l'os naviculaire.
Une myoclonie est caractérisée par la survenue de brèves secousses musculaires. Celles-ci se manifestent par des mouvements involontaires et soudains. Il en existe différentes formes dont la myoclonie du sommeil, ou encore les myoclonies secondaires qui surviennent notamment en cas d'épilepsie.
Un spasme est une contraction involontaire de fibres musculaires. Il se distingue de la crampe par le fait que la contraction est prolongée alors que la crampe est de courte durée. Il peut atteindre un groupe de muscles, un muscle seul ou une partie isolée d'un muscle.
En fait, c'est au cours de la phase de sommeil paradoxal que le bébé est agité de mouvements de flexion, d'étirement, de soubresauts… ce qui n'empêche pas son sommeil d'être très profond. Ne le réveillez surtout pas.
Le corps de l'enfant se raidit brusquement, l'enfant roule des yeux et présente des spasmes des bras et des jambes, parfois du corps tout entier. Ces convulsions ne durent guère plus de quelques minutes. Les crises convulsives provoquées par la fièvre chez certains enfants ne sont pas une forme d'épilepsie.
Outre ces absences « bizarres », les crises peuvent aussi se traduire par un spasme du visage qui dure quelques secondes, un rejet de la tête en arrière, des yeux révulsés, un fléchissement des bras, avant que l'enfant ne se mette à pleurer.
La réponse de notre expert Dr Philippe Grandsenne, pédiatre.
Votre bébé est comme vous. Quand il dort, il n'est pas inerte, il continue à vivre. Lorsqu'il rêve, il réagit à ses émotions. Celles-ci peuvent le faire sursauter.
Il ne sourit pas, ou très peu (3 mois). Il semble avoir le regard vague ou fuyant, qui ne suit pas ni ne fixe. Il semble avoir un défaut de la posture (bébé trop mou ou trop raide) et vocalise peu.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
On appelle mouvements involontaires ou mouvements anormaux involontaires une activité motrice indépendante de la volonté, survenant à l'état de veille. Pour la plupart d'entre eux, mais pas pour tous, ils résultent d'un dysfonctionnement ou d'une lésion des noyaux gris centraux.
Les spasmes digestifs, appelés communément maux de ventre, correspondent à des contractions musculaires douloureuses de l'intestin. Ils entraînent une douleur abdominale pouvant être associée à des gargouillis dans le ventre.
De quoi s'agit-il? La spasticité correspond à une raideur musculaire involontaire, le plus souvent retrouvée au niveau de certains muscles présentant un déficit moteur. La spasticité se caractérise par une très grande variabilité dans le temps, son intensité peut varier de façon importante au cours de la journée.
Les symptômes de la crise de spasmophilie
des contractures dans les mains et les bras, parfois accompagnées de fourmillements. des vertiges, des palpitations, des tensions dans la gorge, voire des troubles digestifs. après la crise, une sensation de fatigue intense.
La spasmophilie (ou tétanie latente) est un ensemble de plusieurs manifestations qui sont liées à une forte anxiété. Une crise de spasmophilie peut se manifester par des palpitations, une hyperventilation, des spasmes, des tremblements, des crampes... Les femmes seraient davantage concernées.
La maladie de Huntington est une pathologie neurodégénérative rare d'origine génétique qui n'a, pour le moment, pas de traitement curatif. Cette pathologie est liée à une mutation dans une protéine, la huntingtine, qui lorsque mutée conduit à la mort de certains neurones dans le cerveau.
Le syndrome de la queue de cheval se caractérise par une compression des racines des nerfs situés dans le bas du dos pouvant entraîner une perte de sensibilité des membres inférieurs. La maladie doit être traitée en urgence par une intervention neurochirurgicale.
(Nécrose avasculaire ; Nécrose aseptique ; Nécrose ischémique de l'os) L'ostéonécrose est la mort d'un segment de l'os causée par un déficit d'apport sanguin. Elle peut être causée par une lésion ou survenir spontanément.
C'est une pathologie rare, dont on ne connaît pas bien l'origine. Le syndrome de Müller-Weiss est une maladie neurodégénérative qui affecte l'os du pied et entraîne des douleurs chroniques parfois handicapantes.