Lors d'une question, il était demandé explicitement : « à quoi peut-on reconnaître un Réunionnais ? ». Si la question n'a rien de polémique en soi, les réponses proposées l'étaient bien plus : « leur ongle est très long » ou « leur onzième doigt », rappelle Le Figaro.
Je t'aime en créole :
Créole Réunionnais (La Réunion) : mi aim a ou. Créole Guyanais (France - Guyane) : mo konten to.
- fèmé gèl a'w = tais-toi !
Une diversité ethnique sans pareil : la population de La Réunion est particulièrement métissée. Musulmans, chrétiens, hindous, chinois, vivent en harmonie. Il en est de même pour les musiques traditionnelles, les cadences du séga et du maloya rythment le quotidien des habitants.
A La Réunion comme partout en France, le français est la langue officielle. Les Réunionnais parlent également le créole. Cette langue s'est construite au fil des siècles, avec l'apport des nouveaux arrivants venus s'installer dans la petite île de l'océan indien.
Dans ce cas, dites-lui « Mèrsi », qui est la traduction de « Merci » en créole réunionnais. C'est LA formule de politesse la plus répandue à la Réunion.
Bonzour ! : bonjour !
À La Réunion et dans d'autres anciennes colonies françaises comme La Nouvelle-Calédonie, les Blancs sont parfois surnommés zoreilsou zoreilles. Il y a plusieurs versions quant à l'origine de ce terme péjoratif pour parler des métropolitains.
Au féminin : une Réunionnaise, des Réunionnaises.
- Parce que les blancs coupaient les oreilles des esclaves qui s'échappaient des plantations. - Parce que les chasseurs d'esclaves marrons (esclaves enfuis) étaient payés au nombre d'esclaves tués et qui rapportaient leurs oreilles comme preuve pour se faire payer.
Apparemment il y a plein de façons de dire tu es belle en créole réunionnais. Mamzelle t'es rose ça claque !
Par exemple, « Tu me manques » peut être traduit par « Ou mank amwin » en Kréol rénioné. Vous pouvez aussi lui dire « Mi aim a ou », qui signifie « Je t'aime ». Les deux expressions peuvent très bien se combiner, avec « Mi aim a ou mon zarlor, ou mank amwin », ce qui veut dire « Je t'aime mon trésor, tu me manques ».
Joyeux anniversaire en créole réunionnais
En Kréol Réyoné, « Joyeux Anniversaire » se dit « Bon Laniversèr ».
Mwen aimé ou doudou : Chéri(e) je t'aime.
fanm : femme ; on malfanm : une forte femme, une maîtresse-femme. fanmi : famille.
Comment dire à une personne qu'elle est belle et tendre en créole Martiniquais ? ➤ Ou sé an bel fanm = Tu es une belle femme. ➤ Ou sé an bel nonm = Tu es un bel homme.
Il s'agit plus exactement d'une répartition en Blancs/non-Blancs : le nombre de Blancs estimé est rapporté à la population totale et ce n'est qu'une fois cette proportion évaluée (29,8 %) qu'est déduite la proportion des Noirs – soit les « gens de couleur de la plus claire à la plus sombre » (70,2 %) [Defos du Rau, ...
Elle fait partie des Départements d'outre-mer ou DOM au même titre que ses “cousines” américaines de Guyane, Guadeloupe et Martinique. Les Réunionnais sont de nationalité française, nous avons donc un passeport français. Cela peut paraître étrange de le dire, mais tant de personnes l'ignorent.
Yab est un mot : un terme propre à l'île de La Réunion pour désigner les réunionnais(e) bien Blancs, une divinité tibétaine du couple Yab-Yum, Mar Yab-Alaha I (415-420), catholicos-patriarches de l'Orient, primat de l'Église apostolique assyrienne de l'Orient.
Nom commun. (La Réunion) Enfant né d'une union entre un(e) zoreille et un(e) créole. (La Réunion) Métropolitain vivant depuis longtemps dans les îles et ayant adopté le mode de vie local.
Carnet d'une Réunionnaise
Le terme « cafre », qui est devenu « Kaf » à la Réunion, désigne une personne d'origine malgache ou africaine descendant d'esclaves ou d'« engagés ». Le mot est issu de kaffir qui veut dire « nègre » en afrikaans.
:: Momon ou Moman ou Manman ou Monmon ou Man.
Créole guadeloupéen : « Mèsi » Créole guyanais : « Grémési » Créole haitien : « Mèsi » Créole martiniquais : « Mèsi »
Dans certaines anciennes colonies françaises, les «Métropolitains» peuvent encore être appelés les Zoreils ou Zoreilles. Ce surnom viendrait du fait que, comprenant mal le créole ou la langue des autochtones, les Français feraient constamment répéter et passeraient ainsi pour être «durs d'oreille».