Pour rassurer les parents, il ne suffit pas de leur dire « ne vous inquiétez pas ». Il est nécessaire de montrer à la fois son professionnalisme et sa compétence, à la fois en respectant ce qu'ils font avec leurs enfants et en leur montrant toute notre attention à leurs enfants.
Lorsqu'un parent vous fait part d'un désaccord quelconque, lui montrer que vous êtes réceptive à son message. Reformuler les phrases du parent pour vous assurer que vous parlez de la même chose. L'impliquer dans la recherche de solutions. Trouver ensemble une façon de remédier à la situation qui lui déplaît.
repérer des gestes et des attitudes de coopération, contribue à créer sa base sécurisante. Laisser une place à la famille dès les premiers contacts. Dès la première rencontre, il y a une véritable «confrontation» de différentes manières de faire, de «cultures», chacun devant progressivement s'ajuster l'un à l'autre.
Faites de l'activité physique (marche, course, vélo, yoga, arts martiaux, etc.). Pratiquez des techniques de relaxation et de respiration. Concentrez-vous sur le présent plutôt que sur le passé ou sur ce qui pourrait se produire dans le futur. Manifestez vos besoins et exprimez les opinions qui vous tiennent à cœur.
La première et la plus essentielle des choses à faire, c'est de parler. Tout passe par la parole. On ne peut pas effacer des mois, des années d'opposition et de désaccord, mais on peut en causer. Mieux se comprendre, juger le point de vue de l'autre de manière moins catégorique.
Prenez plutôt une minute (ou autant de temps que nécessaire) pour comprendre votre colère. Essayez par exemple de lui dire : « Maman, je me sens vraiment frustré(e) et j'ai besoin d'un peu de temps pour y penser » ; « Je suis un peu en colère maintenant, mais j'aimerais qu'on en reparle plus tard. »
Au lieu d'écrire ou de dire à la fin de journée : « Il a passé une belle journée », ciblez une anecdote qui s'est passée ou une activité que l'enfant a aimé réaliser. La communication avec le parent doit être entretenue de jour en jour.
Se concentrer sur l'intérêt supérieur de l'élève. S'efforcer de trouver un plan d'action positif. Encourager les parents à apporter une liste de questions à la rencontre. Partager l'information sur les points forts et les besoins de l'élève, les objectifs d'apprentissage et les stratégies pédagogiques.
Maintien des routines et des horaires. Ils sont importants, surtout pour les plus petits. Dans une vie routinière avec des horaires réguliers, les enfants se sentent plus en sécurité et savent où ils en sont à tout moment. Cette habitude sera également bénéfique pour le reste de la famille.
La patience, l'empathie, l'écoute active, des rapports égalitaires sont bien sûr à la base de toute relation de confiance, mais il importe surtout d'avoir la conviction profonde que chaque personne a le potentiel d'améliorer sa situation.
Tenir votre bébé, le bercer ou lui parler doucement favorise l'attachement. Le premier lien d'attachement d'un bébé s'établit généralement avec sa mère, mais le lien qu'il partage avec son père est tout aussi important.
Le lien d'attachement se crée donc naturellement, dès la naissance, au fil des moments partagés avec bébé. Mais parfois, on peut ressentir des difficultés à créer un lien d'attachement avec son enfant. C'est souvent le signal que l'on a besoin de prendre soin de soi.
Pour se sentir en sécurité affective, l'enfant doit pouvoir se rassurer par la simple présence de l'adulte mais aussi se sentir exister à ses yeux. La confiance, la tranquillité, le bien-être, l'épanouissement social, cognitif, psychomoteur sont les conséquences d'une bonne sécurité affective.
✧ Mieux décrire aux parents ce qui ne fonctionne pas, concrètement! Évitez les interprétations, les jugements, les diagnostics. ✧ Mettre des mots et des faits concrets sur nos impressions. ✧ Dresser un portrait complet de la situation et de l'enfant avec ses forces, ses progrès et ses difficultés.
Pour discuter avec ton père, prends rendez-vous
Ça pose un cadre. Ça sous-entend « ce jour-là, à cette heure-là, j'aimerais bien qu'on se parle, toi et moi ». Ça n'est pas négligeable. Ça vous permet à tous les deux de vous préparer, de savoir de quoi vous allez parler.
Une mauvaise communication, c'est une communication maladroite qui peut engendrer un bad buzz négatif aussi bien pour vous que pour l'entreprise. Le problème de ce genre de communications, c'est qu'il est impossible de prédire à l'avance les retombées que cela aura sur toi et l'entreprise.
De façon générale, si l'on a trop tendance à crier sur nos enfants, c'est souvent parce que l'on est par ailleurs soumis(es) à beaucoup de pression. Cela peut être utile de se demander comment réduire notre charge mentale pour éviter le burn-out, et si besoin, ne pas hésiter à se faire accompagner.
il n'a pas confiance en lui (la solution : l'encourager et lui dire que vous savez qu'il peut y arriver) il ne comprend pas l'intérêt de ce que vous lui avez demandé (la solution : prendre le temps d'expliquer pourquoi vous lui demandez ça et pourquoi c'est important qu'il obéisse)
Je répète souvent aux parents qui me consultent : les cris sont souvent générés par excès de stress. Ils expriment un besoin d'être entendu pour stopper le processus. On crie parce qu'on vit une situation d'urgence qu'on a du mal à gérer.