Les limites doivent être fixées à deux afin que l'enfant soit puni de la même manière à chaque punition. Enfin, il ne faut pas culpabiliser. La punition de l'enfant est un acte commun et souvent indispensable pour l'aider à grandir. Si la punition est adaptée, les parents n'ont aucune raison de se sentir mal.
Toute punition s'adresse à une personne et ne doit en aucun cas être collective. Il faut tenir compte du degré de responsabilité de l'élève, de sa personnalité et du contexte. À toute faute, il est indispensable qu'une réponse rapide et adaptée soit apportée. Le dialogue avec la famille doit favoriser son implication.
Comme il implique la perte de contacts avec les autres pendant une brève période de temps, le retrait constitue une forme de punition négative. Il peut être utilisé chez les enfants à partir de 3 ans.
Exemples : Réparer ce qu'on a cassé, remettre en place ce qu'on a dérangé, nettoyer ce qu'on a sali. Ou bien supprimer une heure de la prochaine sortie si l'ado est rentré une heure en retard sur l'horaire prévu. Chacun juge de ce qui est important dans le cadre familial.
Quelle punition donner à un enfant ? Pour Didier Pleux, " la sanction la plus judicieuse est celle qui a un lien avec le passage à l'acte. " Autrement dit, priver un enfant de télévision parce qu'il a mal parlé à sa sœur n'a aucun sens !
Par ailleurs, Comment punir un élève indiscipliné ? -L'élève doit répondre, par écrit, à 3 questions simples, à établir en fonction du contexte de l'erreur commise, par exemple : « Pourquoi je n'ai pas fait mes devoirs ? », « Pourquoi je dois les faire ? » et « Quelles décisions je vais prendre pour toujours réussir à ...
Enumérées dans l'article R 511-13 du Code de l'éducation, les sanctions - un avertissement, un blâme, une mesure de responsabilisation, une exclusion temporaire ou définitive - se rapportent à des manquements graves ou répétés et à des atteintes aux personnes ou aux biens.
Parmi les différentes sanctions appliquées au collège et au lycée, on note l'avertissement, le blâme, la mesure de responsabilisation, l'exclusion temporaire de la classe, l'exclusion temporaire de l'établissement, et enfin l'exclusion définitive.
Je donne, comme punition de base (pour bavardage ou travail non fait), un verbe à conjuguer à toutes les personnes, tous les temps de tous les modes (donc 20 temps). C'est une punition très facile à vérifier (pour voir si c'est complet), qui demande environ 20 min (entre 15 et 25 min), de travail à l'élève.
La punition doit être prévue par le règlement intérieur de l'établissement. Elle ne peut pas être collective. Elles doit être individuelle, mais peut concerner plusieurs élèves. la note 0 ne peut pas être prononcée comme punition.
Au lieu de dire « tu es agressif », vous pouvez essayer de dire quelque chose comme « je me sens blessée quand tu me parles comme ça ». Il n'y a pas de mal à dire de temps en temps clairement ce que vous ressentez.
À l'école maternelle, « aucune sanction ne peut être infligée ». L'isolement « pendant (un) temps très court » et sous surveillance est possible. Dans les cas les plus graves, comme pour l'école élémentaire, l'équipe éducative est convoquée.
Sanctionner, contrairement à "punir son enfant", doit permettre d'apporter du soulagement, de la reconnaissance à celui qui a subi un préjudice et à celui qui a enfreint la règle. Il a alors l'occasion de s'apaiser, de se racheter et se faire pardonner.
Il est interdit de sortir des jouets pendant la classe autrement ils seront confisqués. Il est interdit de hurler dans les oreilles des autres pendant la récréation. Il est interdit de se bagarrer à l'école, il faut aller voir un enseignant pour régler les problèmes.
La bonne punition est celle que le parent peut soutenir car il la sent juste, adaptée à l'âge de l'enfant et à l'importance de sa transgression. L'enfant, même s'il proteste, la ressent toujours justifiée. Les parents se reprochent souvent leur énervement. Ce n'est pas grave.
La punition altère la confiance en soi de l'enfant
Si nous punissons ceux qui ne sont pas admis, qui ne se conforment pas, alors l'enfant se sentira rejeté et non accepté tel qu'il est.