Pour sa punition, vous pouvez le mettre dans votre garage (s'il n'y a aucun objet rangé), dans les toilettes… Une pièce pauvre en stimulations lui permettra de comprendre qu'il a eu un mauvais comportement. Pour des bêtises qui sont peu graves, vous pouvez juste ignorer votre chien.
L'action par l'inaction. Si vous constatez que votre chien agit mal afin d'avoir votre attention, le meilleur moyen de le punir sera de ne pas lui en donner. Si vous êtes constamment sur le dos de votre chien lorsqu'il fait une bêtise, vous pourriez l'inciter à en faire.
Les règles d'or d'une punition juste et intelligente
La première règle à respecter repose sur un principe simple et indiscutable : le chien doit être puni dans le moment présent, c'est-à-dire si et seulement si vous le prenez en flagrant délit !
Astuce pour apprendre à être ferme sans crier
Plus vous serez vous-même convaincu du résultat de l'ordre que vous donnez (en anticipant ce résultat de façon positive), mieux votre chien captera votre intention et fera ce que vous lui demandez. Bien souvent crier signifie une perte de ses propres moyens.
La technique du contre-conditionnement est semblable à la désensibilisation systématique. Elle consiste à faire vaincre la peur de son chien, en lui donnant des récompenses chaque fois qu'il ne réagit pas mal à un orage, par exemple. Ainsi, le chien assimilera "bon comportement lors d'un orage" à "friandise".
Punir, surtout pour un jeune chien, contribue à bien l'éduquer. Un rappel de base : ne jamais frapper son chien ! Quelle que soit la bêtise qu'il ait faite, n'utilisez jamais la violence physique avec votre chien. Vous allez lui faire mal, lui faire peur, et dans certains cas, cela peut le rendre violent lui-même.
qu'il ne faut pas frapper un chien avec la main car celle-ci est aussi utilisée pour les caresses. Leur chien pourrait dès lors ne plus rien comprendre... Ils craignent que leur compagnon en vienne à avoir peur de leur main et à ne plus accepter la cares- se non plus.
Montrez-lui qu'il peut compter sur votre jugement et donnez-lui des ordres clairs dans chaque situation. Inutile d'être un « dictateur strict », mais soyez confiant, sûr de vous et surtout cohérent pour montrer à votre chien la bonne voie.
Avec les autres chiens, un individu dominant pourra se montrer agressif, provocateur ou bagarreur, et exprimera sa dominance par des attitudes caractéristiques : posture du corps droite et rigide, oreilles et queue dressées, regard insistant, défiance, bousculades, morsures...
L'exemple qui me vient immédiatement en tête est celui de la friandise. Si vous avez demandé plusieurs fois le “assis” à votre chien alors qu'il connaît la position et qu'il ne veut pas la faire. Et qu'au bout de plusieurs fois vous lui sortez une friandise, vous récompensez alors son “attente”.
Évitez les ordres peu clairs et les répétitions constantes
Si vous devez répéter « assis » six fois avant que votre chien ne s'exécute, et qu'il reçoit quand même une récompense ensuite, cela nuit à votre autorité et apprend à votre chien qu'il n'a pas besoin d'obéir immédiatement.
Le fait de poser une patte sur votre bras est donc la preuve qu'il s'intéresse à vous et qu'il veut prolonger le contact pour renforcer votre amitié. En fait, c'est sa façon de dire qu'il vous aime, qu'il apprécie vos câlins ou qu'il veut que vous vous sentiez mieux parce que vous êtes stressé ou effrayé.
dire un “non” incisif à votre chien. Dès que votre chien détourne le regard, félicitez-le d'un ton joyeux avec un “ouiii !” et donnez-lui la friandise. Le but est que votre chien comprenne que renoncer c'est gagner. Cet exercice est à répéter, et surtout à compliquer petit à petit.
«Caressez votre chien sur le dessus de sa tête, il comprend ainsi que vous le dominez.» Nos chiens préfèrent être caressés sur le poitrail, le ventre… Il est outrant que certains dresseurs utilisent même la caresse, qui est censé être un moment complice et agréable, pour soumettre leur chien.
Le chien partenaire n'a pas à avoir un ou plusieurs « maîtres » dans la famille, parce que le mieux pour lui est de n'en avoir aucun. Tout au contraire, il pourra développer avec chacun des membres autant de « relations partenaires » plus ou moins spécifiques ! Pour le plus grand bonheur de tous, le sien y compris !
Fortement attaché à son maître, le chien lui fait preuve d'une fidélité hors norme et essaie par tous les moyens de lui faire plaisir. Cependant, cet attachement ne doit pas être excessif sous peine de le rendre malheureux jusqu'à le rendre fou quand il est seul.
L'hyperactivité, la peur, l'anxiété, la dépression sont autant de maux qui altèrent les capacités d'obéissance d'un chien. Tant qu'il souffrira de ce trouble, il répondra difficilement aux ordres de son maître, non parce qu'il ne le veut pas mais parce qu'il ne le peut pas.
Ensuite, associez des gestes à cet ordre verbal. Vous pouvez par exemple vous mettre accroupi ou donner de petits coups sur votre genoux ou vos mollets, tendre les bras ouverts à votre chien en l'interpellant avec une voix avenante et un grand sourire. Votre chien doit savoir que vous n'êtes pas en colère.
Votre chien peut ne pas vous écouter dehors puisqu'il n'a été pratiqué qu'à l'intérieur. C'est ce qu'on appelle un manque de généralisation des apprentissages. D'autres raisons peuvent également être en cause comme la distraction élevée du chien ou encore l'utilisation des mauvaises friandises.
Ne tolérez pas la moindre provocation
Un « non » ferme est indispensable. Votre chiot n'a, par exemple, absolument pas le droit de grogner à votre encontre, quoi qu'il se passe. Si votre chien grogne après vous, votre relation est mal engagée, car il va bientôt passer à l'étape suivante : vous mordre.
Ainsi, même si votre chien dort avec vous vous enchante beaucoup, il va sans dire que du point de vue de celui-ci, vous êtes arrivés à un même niveau. En effet, le fait que vous l'autorisiez à monter sur votre lit et lui laissiez partager votre lieu de repos, le pousse à penser que vous lui cédez la place du dominant.
Les excréments de ses animaux, considérés comme des « déchets putrescibles » peuvent être éliminés avec les ordures ménagères. Bien évidemment, ces déchets doivent être mis dans un sac poubelle étanche et résistant pour faciliter le travail du collecteur.
On conseille notamment d'ignorer son chien quand il nous aboie dessus ou qu'il nous mordille pour obtenir de l'attention, ... Cela permet de montrer au chien que son comportement est inefficace et ainsi le chien est amené à trouver une autre solution. La première conséquence est l'explosion du comportement.