Zarma est une interjection, une exclamation argotique et qui a pour signification "purée", "la vache". Il s'agit d'une expression très familière.
(Familier) Exclamation typique du sociolecte des banlieues versant beur qui est une prononciation dérivée du mot arabe « zerma », souvent utilisée pour marquer l'ironie ou le cynisme, voire le ridicule.
Interjection. (Islam) Par Allah. (Populaire) Renforcement du caractère impérieux d'une déclaration, sans référence au divin.
(Date à préciser) De l'arabe بالك , belec (« fais attention ») composé de بال bel (« pensée ») et ك ec possessif 2 e personne du singulier ; littéralement « ta pensée ! ».
Premier exemple : «Sah». «Cela veut dire t'es sérieux, sérieusement ou encore, en vrai » traduit Bakoclaye, l'un des élèves. «Cela ressemble beaucoup à une interjection, analyse Julien Barret. Le mot vient de l'arabe.» Comme souvent, ce sont les réseaux sociaux qui font le succès de cet argot.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Ce mot s'utilise principalement lors des prières, où il est répété plusieurs fois. Par exemple, dans la prière appelée tasbih , qui se récite au moment d'aller se coucher, le croyant répète trente-trois fois soubhanallah , puis autant de fois hamdoullah , puis autant de fois allahou akbar .
L'écriture la plus courante est cheh, mais on trouve aussi chèh, sheh et shèh.
Zarma est un dérivé du terme arabe “zerma” employé pour marquer l'ironie, le cynisme et le ridicule. En réalité phonétique arabe, il n'est pas prononcé de la même façon : zaʁ.ma avec un “r” qui vient de la gorge”.
Les jasare (griots généalogistes et historiens d'origine soninké1), à travers les récits dont ils sont les dépositaires, racontent pourtant que les Zarma sont des étrangers venus d'un lointain pays d'Arabie qui, sous l'égide de l'Empire du Mali, devinrent les « Malinkés dorés », du fait de leur extrême beauté.
Interjection. Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
Le mot bsahtek , qui s'écrit aussi bsartek et sartek , signifie « bravo, félicitations, bien joué ». On l'emploie pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose. Il sert aussi à complimenter quelqu'un qui a fait une bonne action, avec le sens de « c'est bien, respect pour ce que tu as fait ».
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Mashallah est un mot d'origine arabe qui veut dire littéralement « Allah l'a voulu, Dieu l'a voulu, selon la volonté de Dieu ».
Étymologie de « mashallah »
De l'arabe ما شاء الله , mā šāʾAllāh (« Dieu l'a voulu »), composé de ما , ma (« que »), شاء , sha (« vouloir ») et الله , Allāh (« Dieu ») → voir Mashalla et Allah.
MINAUDER, verbe intrans. Faire des mines, prendre des poses, adopter des manières affectées pour plaire, pour séduire.
Sa prononciation la plus courante en français est [ bae ] (« ba-é »), en deux syllabes. On trouve aussi [ be ] (« bé ») et [ bɛj ] (« beil »). Cette dernière prononciation est la plus proche de la prononciation d'origine de ce mot en anglais. Plus rarement, quelques personnes prononcent bae en épelant chaque lettre.
Qui excite la pitié : Être dans un état pitoyable. 2. Qui est mauvais, sans valeur, sans mérite aucun ; minable : Écrire d'une manière pitoyable.
Nom issu de l'arabe « frère ». Prononcez « roya », avec un r guttural. Expression instaurant une relation de proximité avec un interlocuteur.
Dire s'il te plait en marocain : 3afak (عافاك).