« Pas de souci » est la forme réduite de « y a pas de souci ». Elle signifie « Il n'y a pas de problème ». Dans cette locution, souci s'écrit au singulier.
Règle : après « pas de », on peut écrire le nom qui suit au singulier ou au pluriel. On écrit « pas de souci » sans -s s'il s'agit d'un souci particulier, qui exprime un sentiment d'inquiétude. « Souci » (ou tout autre nom) sera également au singulier après « pas de » s'il décrit une réalité abstraite, non dénombrable.
On entend trop souvent dire il n'y a pas de souci, ou, simplement, pas de souci, pour marquer l'adhésion, le consentement à ce qui est proposé ou demandé, ou encore pour rassurer, apaiser quelqu'un, Souci étant pris à tort pour « difficulté », « objection ».
Le nom souci se termine par « i » au singulier, quel que soit le sens qu'on lui donne. –> Il désigne d'une part une préoccupation qui trouble, qui inquiète (et l'objet de cette préoccupation). Exemples : « Avoir un souci à régler », « Mon travail est mon principal souci ».
Je n'ai pas d'argent (j'ai de l'argent → singulier). Il n'y a pas de cheminée dans ce salon mais Il n'y a pas de meubles dans ce salon. Il n'y a pas de danger que... Sans autre formalité mais Sans plus de formalités.
Règle 1 : en général, on forme le pluriel des noms et des adjectifs en ajoutant s ; s'ils sont déjà terminés par -s, -x ou -z , ils ne changent pas au pluriel. Exemples : Un classeur, des classeurs. Un livre, des livres. Un tapis, des tapis.
Même si au pluriel, l'article indéfini est des, si un adjectif épithète est placé devant le nom dans la langue écrite ou dans la langue orale soignée, on le remplace par de : (même s'il arrive qu'à l'oral usuel vous entendiez parfois que "des" est employé).
Préoccupation qui trouble, inquiète : Vivre sans souci. Se faire du souci. 2. Objet des préoccupations, de l'inquiétude de quelqu'un : Son fils est son principal souci.
A. − État d'esprit plus ou moins douloureux, permanent ou répété, de quelqu'un qui s'inquiète à propos d'une personne ou d'une chose à laquelle il accorde de l'importance. Synon. inquiétude, préoccupation, tourment, tracas.
La formule de politesse la plus connue, employée en réponse à “merci”, est “de rien”. C'est la locution la plus basique.
En ajoutant un «s», on précisera seulement à notre interlocuteur que l'on a plusieurs inquiétudes. Néanmoins, et c'est là où le bât blesse, l'Académie indique dans sa rubrique Dire / Ne pas dire que la formule «pas de souci» est impropre. «Souci est pris à tort pour ''difficulté'', ''objection''», notent les sages.
« Pas de souci » ou « Pas de problème »
Elles tendent à dénigrer la gratitude exprimée par le collègue et insinuent qu'il aurait pu y avoir un « souci » ou un « problème » dans d'autres circonstances. La manière la plus appropriée de répondre à un « merci » reste « je vous (t') en prie ».
Problème signifie en effet : « Chose qui cause certaines difficultés ». Alors que souci évoque plutôt une « préoccupation pour ce qui pourrait advenir de mauvais concernant quelque chose ou quelqu'un ». Entre une préoccupation et une difficulté bien réelle, souci apparait* moins grave ou moins lourd que problème.
Ce n'est pas grave. Langage poli : Il n'y a pas de mal ! Ne vous en faites pas ! Langage formel : Je vous en prie !
Définition de l'expression « je vous en prie »
« Je vous en prie » est une façon polie de dire merci à votre tour lorsque quelqu'un vous remercie, vous pouvez répondre « de rien » et ajouter cette formule de politesse. C'est une coutume, attestant d'un respect de l'autre, d'une bonne éducation …
On doit donc dire : "Aucun problème", "Très bien", "C'est entendu", "Pas d'objection", "Cela ne pose pas de difficulté" ou "Ne vous inquiétez pas".
Au pluriel, argent : Compter ses sous.
Le souci du détail est une capacité qui se manifeste dans votre vie personnelle et professionnelle. Elle désigne votre aptitude à prêter attention aux choses importantes et à être méticuleux dans ce que vous faites, que ce soit au travail ou dans la gestion de votre quotidien et de vos loisirs par exemple.
1. Sentiment désagréable causé par quelque chose de fâcheux ; ennui : Éprouver un vif désagrément. 2. Chose qui déplaît ; sujet de déplaisir : Son étourderie lui cause bien des désagréments.
Une fois les deux conditions réunies vous pouvez mettre un "s", on écrit donc "quatre-vingts euros" et "cent vingt euros", on écrit "trois cents euros" et "trois cent vingt euros".
Les fautes grammaticales
Une faute grammaticale est une façon d'écrire un mot non conforme aux règles de grammaire en vigueur. Le cas le plus courant est par exemple l'oubli du « s » au pluriel (par exemple : Les chien gambadaient dans les champ).