suavelos : (bon vent / bienvenue / bonjour) • L'encyclopédie • L'Arbre Celtique • 10944 • L'encyclopédie • L'Arbre Celtique.
Trugarez est un dérivé de « trugar », qui désigne la miséricorde, et provient directement du gaulois celte « trugareto » (le remord, la reconnaissance). Le « merci » français possède la même signification à l'origine, en témoigne l'expression « être sans merci ».
« Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
C'est une langue celtique, comme le gaélique d'Irlande et d'Ecosse ou le brittonique du Pays de Galles et de Bretagne. Le gaulois est issu de la même souche indo- que le latin, d'où des parentés linguistiques. Des dialectes gaulois locaux ont vraisemblablement existé, mais n'ont pas laissé de traces tangibles.
La boue, la suie, la glaise, la cervoise, les magouilles, et les truands sont tous des mots d'origine gauloise. Comme si les Romains les avaient autorisés pour donner à leurs adversaires une réputation peu flatteuse.
Chef gaulois (en pays arverne vers 72-Rome 46 avant J. -C.).
Le gaulois est une langue qu'on parlait en Gaule (territoire correspondant un peu près à l'actuelle France). Elle était parlée par les Gaulois, qui faisaient partie pour la plupart des peuples Celtes.
Ils étaient les habitants d'un territoire appelé la Gaule, qui couvrait la France actuelle, mais aussi la Belgique, les Pays-Bas, une partie de l'Allemagne, de la Suisse et de l'Espagne. Le nom de la Gaule avait été donné par l'empereur romain Jules César, quand il avait conquis ce territoire il y a 2 000 ans.
Les premiers Romains ont baptisé Galli (« Gaulois ») les Celtes du nord de la péninsule italienne, elle-même appelée Gallia (Gaule), d'après le mot celtique galia (« force » ou « bravoure »). On retrouve encore aujourd'hui cette appellation dans Galicie (Ukraine subcarpathique) et Galice (Espagne).
Contrairement à la croyance, les Gaulois ont fait usage de l'écriture, laissant derrière eux de nombreuses inscriptions en alphabet grec ou latin. Des spécialistes les ont recensées et numérisées.
Pokoù signifie « bisous » en breton mais il existe plusieurs variantes : Pokigoù : Des bisous ! Pokoù bras : Gros bisous ! Ur pokig bras : Un grand bisou !
L'indispensable “je t'aime” se dit “da garan”. Et comme on dit en breton, n'eus netra kreñvoh eged ar garantez (rien n'est plus fort que l'amour).
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
On peut encore citer les divinités Belenos et Belisama ; le dieu solaire Grannos ; le dieu Borvo, sa parèdre Damona et le dieu Nerios, trois dieux liés aux sources ; Maponos, le dieu-fils ; la déesse Brigantia ; Nerios ou Neris, dieu des sources jaillissantes ; ou encore Catubodua, la "corneille du combat", déesse ...
Pour écrire, les Gaulois utilisaient souvent les alphabets étrangers, comme sur ce bloc de pierre portant une inscription gallo-grecque. Pour écrire, les Gaulois utilisaient souvent les alphabets étrangers, comme sur ce bloc de pierre portant une inscription gallo-grecque.
Les Gaulois font peur, ils sont très grands pour l'époque. Les archéologues ont retrouvé des os d'individus mesurant en moyenne 1,75m. Ils pratiquent le corps-à-corps et n'hésitent pas à trancher les têtes(2).
Avant l'arrivée des Celtes, les tribus autochtones, appelées « peuples mégalithes », étaient installées sur le territoire que, plus tard, Jules César nommera « la Gaule ». Les tribus mégalithes vivent de la cueillette et de la chasse et sont en grande partie nomades.
Il descend des Celtes, des Ambiens, des Helvètes, des Pictes… Bref, de toutes sortes de tribus. Mais d'aucune tribu gauloise, car aucun peuple ne s'auto-désignait « Gaulois » il y a plus de 2 000 ans. Ce sont les Romains qui ont baptisé « Galli », «Gaule», l'ensemble des tribus qui vivaient alors au nord de l'Italie.
On utilisait depuis l'an 883 le mot Francia (pays des Francs) et, avant cette date, Gallia (pays des Gaulois). En grec, la France s'appelle toujours Gallia.
Ces « premiers français » sont sans doute des homo erectus, arrivés d'Afrique via le Proche-Orient et peut être le détroit de Gibraltar et leur population ne doit pas dépasser quelques milliers d'individus sur tout le territoire de la France actuelle.
Depuis la fin du XIXe siècle, la France exalte « ses ancêtres les Gaulois ». C'est pourtant à un autre peuple, venu de Germanie, qu'elle doit son nom. Longtemps désunis, les Francs s'allient au Ve siècle sous l'égide de Clovis, qui leur offre à la fois la gloire, des terres et une nouvelle dynastie.
Considérez le mois et l'année ci-dessus. En multipliant l'ancien rang du mois d'octobre dans le calendrier romain (8) par son rang actuel (10), on obtient 80. De plus, en additionnant les deux moitiés du millésime 2020 (20 + 20), on obtient 40, la moitié de 80.
48En tout cas, des Gaulois écrivent leurs noms en caractères grecs à Lattes dès le IIe s., comme l'attestent les nombreuses inscriptions gravées sur céramique25, sans qu'il soit possible de décider s'il le font en grec ou en gallo-grec.
La Gaule et ses peuples à la veille de la conquête romaine. La gaule (la longue perche) et La Gaule (de Vercingétorix, vaincu en 52 avant JC par César) s'écrivent avec un seul « l » car l'article « la » correspond au nombre 1. Par Christian Royannez.