La phrase subordonnée introduite par la conjonction « si » se place librement où l'on veut dans une phrase.
1. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence) : Il est si grand qu'il ne peut passer par cette porte. 2. Marque une intensité affective : Cet homme est si généreux !
Si est une conjonction de subordination qui introduit deux types de subordonnées.
Si : conjonction de subordination, introduit une proposition subordonnée de condition (ou d'hypothèse). Si est toujours suivi de l'indicatif. 1) Quand l'hypothèse est considérée comme réalisable, on emploie : si + présent de l'indicatif dans la subordonnée.
Pour exprimer une hypothèse (incertain) : si + imparfait → verbe 2 au conditionnel présent. Si Muriel et Marcel parlaient bien français, ils pourraient mieux comprendre les Parisiens. Victor serait moins fatigué s'il ne sortait pas tous les soirs en boîte de nuit.
Dans la première partie de la phrase, "si" est suivi d'un verbe conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Dans ce cas, le verbe de la seconde partie de la phrase est conjugué au conditionnel. Et à la première personne du singulier, la terminaison est -ais, d'où "je ferais", que l'on prononce d'ailleurs [ferè].
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
2° En principe, on emploie oui pour répondre à une question affirmative et si après une question négative.
Locution adverbiale
Oui vraiment, aussi surprenant que cela paraisse.
« Si tu pouvais, tu irais la voir » : pour donner une information non confirmée, faire des hypothèses ou exprimer un souhait, on utilise le conditionnel présent. Le conditionnel présent peut servir à : - donner une information incertaine ou non confirmée.
Ici ,"si" est une conception de subordination exprimant une interrogation indirecte. C'est ça sa valeur.
s'il s'avère que, s'il est vrai que, dans la mesure où ... adv.
Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Une proposition est dite conjonctive quand elle commence par une conjonction de subordination (en français : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc).
L'analyse logique consiste non seulement à dénombrer les différentes composantes d'une phrase mais aussi à comprendre quelles sont les relations qui les relient entre elles. Dans une phrase, il y a autant de propositions que de verbes conjugués.
Dans le cas contraire, il convient presque toujours d'écrire « si », conjonction de subordination qui marque une condition (« si Léo vient, je serai content »), une affirmation (« mais si, il est d'accord ») ou une intensité (« il est si beau ! »)
Expression de début de phrase, souvent prononcée comme un ticde langage, et ne voulant pas forcément marquer une affirmation, qui plus est double, ou une quelconque référence à une princesse autrichienne.
condition n.f. Place que quelqu'un occupe dans une société hiérarchisée selon des... conditions n.f. pl.
si : conjonction.
Il peut introduire une subordonnée complétive : « Je te dirai demain si je viens » ou complétive interrogative indirecte : « Je me demande si tu viendras ». Il peut introduire une subordonnée adjointe hypothétique (de condition) : « Si tu mangeais proprement, je ne te reconnaîtrais pas ».
Lorsqu'elle est de forme affirmative (en (1) et (2), « il est humain »), la réponse dépend de la polarité de la question. Si la question est de forme affirmative, on emploie oui (cf. (1Ba)). Si elle est de forme négative, on emploie si (cf.
Elle sert à répondre à une question par l'affirmative ; si (< lat. sic "ainsi, de cette manière") sert à renchérir et à répondre par l'affirmative à une question ou un énoncé qui sous-entendait une réponse négative. ex.
Le gérondif est la forme adverbiale du verbe, qui indique les circonstances de l'action exprimée par le verbe de la phrase auquel il se rapporte. C'est un mode impersonnel, car il n'a pas de désignation spéciale de la personne grammaticale, mais il a pour sujet le même que celui du verbe principal.
Le conditionnel permet d'exprimer des faits dont la réalisation est soumise à condition. Il est généralement introduit dans une phrase avec un "si". S'il pleuvait plus souvent, la pelouse serait plus verte. J'aimerais qu'il vienne nous rendre visite.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.