Les vrais jumeaux, aussi appelés jumeaux monozygotes, sont le résultat de la séparation en deux d'un ovule fertilisé, ce qui conduit au développement de deux embryons distincts. Les jumeaux sont alors du même sexe, du même groupe sanguin et possèdent les mêmes caractéristiques physiques.
Ce sont des jumeaux monozygotes, que l'on appelle vrais jumeaux dans le langage courant. Par ailleurs, puisqu'ils sont issus d'un même spermatozoïde, qui détermine le sexe (X pour une fille, Y pour un garçon), les vrais jumeaux sont forcément de même sexe.
Les "vrais jumeaux" : une grossesse monochoriale ou bichoriale. Les jumeaux monozygotes ou "vrais jumeaux" représentent 1/3 des grossesses gémellaires. Les bébés proviennent de la division d'un seul et unique ovule fécondé.
Les jumeaux dizygotes étant issus de deux ovules et de deux spermatozoïdes différents, ils n'ont pas le même patrimoine génétique. Ils ne se ressemblent pas (sauf comme peuvent se ressembler des frères et sœurs) et peuvent être de même sexe ou de sexe différent. D'où le terme de « faux jumeaux ».
La loi française est claire, elle dit que le premier enfant né est l'ainé, y compris lors d'une naissance gémellaire par césarienne ! S'il s'agit de jumeaux monozygotes, cela signifie qu'ils sont issus du même œuf, de la rencontre d'un seul ovule avec un seul spermatozoïde et que cette cellule s'est divisée en deux.
Les jumeaux homozygotes (ou vrais jumeaux) et les jumeaux hétérozygotes (ou faux jumeaux). Les jumeaux homozygotes ont le même ADN car une seule fécondation a lieu entre une ovule et un spermatozoïde et la division en deux individus survient après que les gènes du père et de la mère se sont mélangés.
primipare
Se dit d'une femme qui accouche pour la première fois ; par opposition à multipare, nullipare. 2. Se dit d'une femelle de mammifère qui met bas pour la première fois.
Les vrais jumeaux sont donc systématiquement du même sexe. Les faux jumeaux (dizygotes) sont le résultat de deux fécondations simultanées de deux ovules par deux spermatozoïdes différents. Cela donne deux individus possédant deux identités génétiques distinctes.
Par exemple, des quintuplés peuvent consister en des jumeaux monozygotes et des triplés trizygotes issus de la fécondation de quatre ovules.
« Octomom »
La seule « prouesse » enregistrée par le Guinness en la matière — en prenant uniquement en compte les enfants non décédés à la naissance — date de 2009, lorsque l'Américaine Nadya Suleman avait donné naissance à 6 garçons et 2 filles après une fécondation in vitro.
Dans ce cas, il est scientifiquement impossible de déterminer qui est l'aîné. » La législation française considère cependant que chez les jumeaux, le premier enfant né est l'aîné, y compris lors d'une naissance gémellaire par césarienne.
Pour concevoir de faux jumeaux, deux ovules doivent se développer pendant un même cycle menstruel. En temps normal, un ovule voit le jour grâce à la maturation d'un follicule à la surface de l'ovaire. C'est une hormone appelée FSH, sécrétée au début du cycle menstruel, qui en déclenche le développement.
Dizygote est le terme médical qualifiant les faux jumeaux.
Les jumeaux monozygotes
Lors de la fécondation d'un ovocyte par un spermatozoïde se forme un œuf, appelé zygote. Parfois, il arrive que cet œuf se divise en deux. Si cette division se fait avant le 15e jour qui suit la fécondation cela va donner des jumeaux monozygotes ou vrais jumeaux.
Il faut d'ailleurs s'attendre à ce que des jumeaux meurent à peu près au même stade de vie, car la génétique joue un rôle important dans de nombreuses maladies. Et la mort d'un proche provoque un grand stress pouvant déclencher une crise cardiaque potentiellement mortelle.
«Il y a moins de 10 cas connus de jumeaux de pères différents dans le monde», rapporte à la BBC le Pr le Dingh Luong, expert en génétique moléculaire à l'Université nationale du Vietnam, qui a supervisé les tests de paternité sur les enfants.
Le résultat est sans appel : les vrais jumeaux ont un coefficient de corrélation entre leur QI, s'élevant à de 0.85, tandis que les faux jumeaux atteignent un coefficient de 0.58.
L'accouchement, aussi appelé parturition, se déroule en trois phases. La première est la phase de dilatation qui commence avec les contractions de l'utérus, modifiant le col jusqu'à la dilatation complète de celui-ci. Elle est suivie par l'expulsion du fœtus par le vagin. C'est la naissance du bébé.
La tête de bébé approche dans le canal pelvi-génital. La région du périnée se gonfle sous la pression de la tête de bébé qui s'appuie juste derrière. Plus bébé pousse et se rapproche, plus on aperçoit sa tête. À chaque poussée, la tête avance et recule quand la contraction diminue.
Il est possible de reprendre les rapports sexuels avec pénétration 3 semaines après un accouchement, le temps que le col de l'utérus se referme. S'il y a eu une déchirure, une épisiotomie ou une césarienne, mieux vaut attendre la cicatrisation complète des sutures. Il faut compter en moyenne 6 semaines.
Les études montrent que les monozygotes à la naissance ne sont pas plus proches en taille et poids que les dizygotes. Au cours des douze mois qui suivent la naissance, toutefois, les vrais jumeaux se rapprochent en taille et en poids de même que les jumeaux du même sexe.
De faux jumeaux ne se ressemblent pas à l'identique, mais comme deux frères et sœurs car ils ont chacun un patrimoine génétique distinct. Leur ressemblance peut donc beaucoup varier, ou être assez proche, mais pas autant que de vrais jumeaux.
La grossesse gémellaire met le corps de la mère à rude épreuve. Il existe un risque accru de diabète gestationnel, de surcharge pondérale, d'anémie, d'hypertension et de prééclampsie.