Accepter que le problème vient de soi est une étape essentielle pour lutter contre sa peur du changement. Savoir identifier les excuses, et les résistances psychologiques de sa peur permet de mettre en place le changement nécessaire à l'accès au bonheur.
La peur de l'inconnu – C'est la raison la plus courante de la résistance au changement. Pour faire en sorte que vos équipes aillent de l'avant et changent leurs habitudes, mieux vaut qu'elles sentent que ce qui est vraiment dangereux, c'est de ne rien changer.
Cette peur phobique du changement s'appelle la métathésiophobie. Les métathésiophobes considèrent en fait qu'ils n'ont pas le contrôle de leur vie en vue des bouleversements constants. Et cette phobie leur empêche de changer quoi que ce soit dans leur vie.
Pourquoi cette réticence au changement ? La première raison pour laquelle il est difficile d'accepter de changer est le goût de la routine. Quand on s'est habitué à une chose, une personne ou même un geste, c'est une torture de l'abandonner. Et tous les humains sont confrontés à cette difficulté.
Il est important de se dire que changer ne dépend que de nous ! Mais alors, comment fait-on pour changer ? Il faut commencer par vouloir bien changer son système de croyances et de fonctionnement. Vous avez un fonctionnement, une vision de la vie qui vous sont propres et il va falloir en modifier votre perception.
Comprendre ce qui nous inquiète ou nous fait peur; en comprenant ce qui nous inquiète, on peut agir plus efficacement, trouver des solutions et aussi mettre les choses en perspectives. Trouver l'information juste servant à nous renseigner et à nous rassurer. Chercher des solutions, une à la fois, avec de l'aide au ...
Reconnaître que le changement est inévitable
Nous l'avons déjà dit et nous le rediront : le changement est normale. Cela signifie qu'il est également inévitable. Reconnaître que vos processus sont en perpétuelle évolution est la première étape pour pouvoir dépasser vos angoisses par rapport aux changements.
Cet exemple très simpliste illustre parfaitement le phénomène de résistance au changement : crainte, perte d'équilibre momentanée, méconnaissance du challenge, sentiment d'abandon pour certains qui devront faire face seuls, deuil du temps d'avant, doute sur la réussite, etc.
Les formes de la résistance au changement sont généralement les suivantes : l'inertie, l'argumentation critique, la révolte, le sabotage.
Avoir peur du changement, c'est normal
Parce que la peur n'est qu'un des nombreux visages de cette résistance. Nous résistons quand nous refusons ce qui se passe à l'intérieur ou autour de nous, quand nous luttons contre nous-même ou contre les autres, quand nous nions ce qui est.
Il est important de vous souvenir que chaque fois que nous laissons une peur prendre le dessus, c'est comme si nous nourrissions la croyance derrière cette peur. C'est ainsi qu'elle devient de plus en plus grande, que la peur de souffrir et d'être blessé devient plus présente et se ressent plus fortement.
Plutôt qu'un changement imposé par la direction, l'idée est donc d'opter pour un changement négocié, impliquant les collaborateurs. Constituer un groupe de personnes influentes pour mener le changement est un moyen efficace de générer l'adhésion des collaborateurs.
« La conduite du changement répond à différentes étapes à définir en amont : la phase de cadrage ; l'analyse des impacts ; la définition de la stratégie ; puis enfin la mise en place.
(les pratiques), managérial (mode de management et outils), contractuel (résultats), culturel (culture client) et stratégique (finalités et objectifs) de manière volontaire et/ou sous la contrainte.
Se fixer des objectifs
Pour changer de vie, dressez vos objectifs et listez ensuite ce dont vous avez besoin pour les atteindre (temps, argent, etc). Priorisez les actions à effectuer étape par étape pour les obtenir et gardez en tête que le changement n'est pas une chose aisée mais nécessite détermination et courage.
Le changement de vie est parfois issu d'une décision personnelle, signe d'une aspiration forte à vivre autre chose, d'une envie (en-vie) irrépressible d'une nouvelle expérience, d'une prise de conscience de la vacuité de notre réalité quotidienne. Il peut nous être aussi imposé par les circonstances.
Cultiver la détermination
Tout quitter et plaquer n'est pas un truc facile à faire du jour au lendemain. Cela signifie avoir le courage de quitter tout ce qui vous gêne, tout ce qui constitue un obstacle au changement dans votre vie, tout ce qui jusque-là a constitué votre raison de vivre.
Ta famille, tes amis, ton travail, tes vêtements, tes livres, ton lieu de vie ? Respire calmement, ferme les yeux et redécouvre les choses de ton quotidien qui te font du bien. En effet, il n'est pas rare quand on est déprimé d'oublier ce qu'il y a de bon dans notre vie et ça fait du bien de s'en rappeler.