Criez ou hurlez de toutes vos forces, agitez vos bras dans les airs, sifflez ou utilisez un sifflet si vous en avez un afin qu'on remarque votre présence. Criez par exemple « Au feu », « À l'aide » ou « Arrêtez de me suivre » aussi fort que possible.
Vous êtes un agresseur et votre désir est de nuire à autrui. Par effet boomerang, votre agression n'est que la réponse de celui ou celle que vous avez définie comme proie. Vous entrez dans un processus de défense et de danger subi par autrui. Nombre d'agresseurs ne s'attendent pas à une réaction de leur victime.
Appelez immédiatement la police.
Dites à la police que quelqu'un vous suit et que vous avez peur pour votre vie. Donnez aux agents de police autant d'informations que possible sur la personne qui vous suit. Indiquez-leur exactement où vous êtes. Suivez les directives que les agents de police vous donneront.
Placez une main au-dessus de son coude, sur son avant-bras et l'autre juste en dessous, de façon à ce que vos mains soient placées de chaque côté du coude. Puis, en un mouvement fort et déterminé, faites tourner votre corps entier, comme si le bras de votre agresseur était une charnière.
Marcher vite ou regarder ses pieds donne l'impression que l'on se sent en danger. Or, les agresseurs attaqueront plus facilement s'ils se sentent en confiance et sentent que la victime potentielle est faible. Il vaut mieux rester naturel. Par ailleurs, la vigilance se fait en amont.
Pour réduire notre vulnérabilité, il est important de développer une culture du risque : prendre conscience des risques, les connaître et les garder en mémoire ; apprendre à les prévenir et éviter de s'exposer ; savoir réagir en cas d'alerte et se mettre en sécurité.
Visez des points faibles comme la mâchoire ou le menton.
Les points sensibles comme le nez, le visage, les reins, le ventre et les tempes sont des cibles de choix à frapper pour immobiliser temporairement votre adversaire.
Les yeux, le nez et la gorge
En cas d'agression, le premier réflexe que vous devez avoir est de tenter de vous enfuir afin d'éviter les dommages physiques. Mais si cela n'est pas possible et que vous n'avez pas d'autre choix, privilégiez les frappes au niveau des yeux, du nez et de la gorge.
On peut utiliser toutes les parties de notre corps pour frapper : le coude, les genoux, la paume de la main ou son tranchant, notre front également.
Regardez autour de vous afin de voir si vous êtes près d'un groupe de personnes et si c'est le cas, marchez ou courez dans leur direction. Si vous êtes complètement seul ou si les autres passants sont trop loin de vous, vous devez agir seul afin d'éviter l'attaque. Attirez l'attention sur vous.
Yvane Wiart estime que ce qui distingue un agresseur d'une victime est la notion de culpabilité : un agresseur ne se sent jamais coupable (c'est toujours la faute de l'autre) alors qu'une victime a tendance à se rendre coupable de tout, tout le temps.
L'entraînement permet de se préparer à l'imprévisibilité de ce genre de situation. En effet, mieux on est entraînées, plus facilement on aura les bons réflexes en cas d'attaque. Un élément important en cas d'agression physique consiste à ne pas systématiquement se concentrer sur ses pensées intérieures.
Répondre à une attaque verbale
Donc, en cas d'attaque, il faut se demander ce qu'on a touché chez elle qui l'a fait nous insulter, et essayer de répondre là-dessus, la renvoyer à ses manques, à son intolérance…"
Pour faire face à une attitude agressive, il s'agit, tout d'abord, de ne pas se laisser envahir par l'agressivité de l'autre. C'est avant tout rester soi-même, « rester, ou revenir chez soi », pour mettre l'autre à distance. Au-delà des techniques, il s'agit d'une posture, d'un savoir-être.
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
Arme blanche de type poignard, couteau-poignard, matraque, couteau. Arme incapacitante agissant par projection ou émission. Par exemple, certaines bombes lacrymogènes d'une capacité maximale de 100 ml. Arme à impulsion électrique de contact qui provoque une incapacité et agit à bout touchant.
La plupart du temps, la première frappe se concentrera sur les sites de silos à missile, les bombardiers stratégiques, les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE), les postes de commandement et les entrepôts où se trouvent les armes dites « stratégiques ».
Écartez vos pieds et gardez vos poignets au-dessus des yeux et devant le visage. Si la personne vous donne un coup de poing direct du bras arrière, déplacez vos mains vers vos oreilles et protégez-vous le visage avec vos coudes. Lancez un coup de genoux ou de coude pour lui faire mal.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Primaire : action prioritaire, pour intervenir au plus tôt sur les facteurs de risques pour les supprimer ou les réduire ; Secondaire : suivre les risques et l'état de santé des salariés ; Tertiaire : limiter les conséquences d'un risque survenu, afin d'agir pour le maintien en emploi.
Eliminer un risque signifie le supprimer complètement. La substitution consiste à remplacer un agent ou une méthode de travail dangereux par un autre qui sera moins dangereux.