Pourquoi je dis toujours Oui : parce que j'ai une peur démesurée des conséquences. La peur est une des premières raisons pour lesquelles nous acceptons des choses malgré nous. Nous anticipons les conséquences d'un refus.
Par exemple, chez nous, le jour du film est le mardi. Alors, si en rentrant de l'école, mon fils me dit « Je peux voir un film ? », il me suffit de répondre : « On est jeudi aujourd'hui. », ou encore mieux : « Quel jour on est ? », ce qui lui permet de conclure tout seul…
En conclusion : quelqu'un qui ose dire 'oui' systématiquement est vite considéré comme plus positif, plus sympa et plus communicatif. Alors, commencez par dire 'oui'. Cela vous offre des perspectives évidentes pour la suite.
2 ) Dire non renforce la confiance en soi
Formuler un refus devient ainsi un moyen d'affirmer son existence et sa personnalité. En exprimant un « non » clair, on exprime également ses valeurs, on se fait respecter.
La capacité d'une personne à dire non est d'abord conditionnée par les limites établies par son éducation et son expérience. Si enfant, elle n'a pas été écoutée, si son refus a rarement été accepté, elle aura d'autant plus de mal à oser dire non car elle ne se pense pas légitime.
5 / Adverbes d'affirmation : oui, si, soit, volontiers, assurément, aussi, absolument, certainement, vraiment, etc.
(dans une réponse positive à une question) ➙ certainement, certes ; familier ouais ; → comment donc, bien sûr, sans doute, d'accord, entendu, OK.
Des expressions de rechange : Bien sûr ! Pas du tout ! Absolument !
"Ne pas prendre parti en cas de décision, ne pas être en faveur d'une proposition ou d'une autre, ne pas répondre. Traduction anglais : say neither yes nor no. Le ""ni oui ni non"" est également un jeu où lorsqu'on vous pose des questions vous ne devez pas prononcer les mots ""oui"" ou ""non"".".
Oui, bien sûr.
Lorsqu'on vous pose une question difficile, je vous recommande de commencer par paraphraser la question avant de répondre. Cette paraphrase confirme que vous avez bien entendu la question, valide le demandeur, vous donne le temps de réfléchir et vous permet de recadrer la question pour faciliter la réponse.
Aidez-le à réparer plutôt que de le menacer et le punir.
Au lieu de si tu n'arrêtes pas de taper ton frère, je te mettrai à réfléchir! », on peut dire, « Utilise tes mots. Que voulais-tu dire à ton frère ? » ou « J'ai entendu quelqu'un demander d'arrêter…»
3. Dire « oui, plus tard » Bon, imaginez que vous ayez ouvert la porte aux sollicitations et que vous ne désiriez pas donner suite. Le « oui, plus tard » est un bon test pour savoir si votre interlocuteur est motivé et si sa demande est vraiment importante pour lui.
Oui merci. / Oui s'il vous plaît. Exemple : Je vous ressers ? Oui, merci.
2° En principe, on emploie oui pour répondre à une question affirmative et si après une question négative.
Bien qu'ils puissent être des réactions à une constatation, ils sont le plus souvent adaptés à l'interrogation totale directe. Lorsque la question est affirmative, la réponse est en oui ou en non. Lorsque la question est négative, la réponse est en si ou en non, comme l'illustrent les exemples ci-dessous.
Ah c'est bien. Ça va alors. C'est bien. Ouais.
Oui, d'accord, c'est entendu.