ll est donc nécessaire d'être rassuré, de se sentir entouré, et de se familiariser avec l'environnement pour éviter que ces peurs primitives de surgissent. En ce qui concerne le ski, on conseille donc de ne pas pratiquer seul, d'être plutôt accompagné par un moniteur, qui saura rassurer et choisir le terrain adapté.
Prendre son temps
« Lorsqu'on reprend le ski après plusieurs mois ou plusieurs années, il faut y aller doucement », assure le moniteur de ski. « Si on a l'habitude des pistes bleues, on va d'abord commencer par une grande verte, afin d'appréhender la vitesse et reprendre à nouveau confiance en ses capacités.
Conséquences physiques, psychiques et comportementales. L'acrophobe, comme toute personne phobique aura tendance à éviter la visite de monument en hauteur, le ski, le deltaplane, le parachute mais aussi des situations plus quotidiennes comme les discussions sur une terrasse par exemple.
Si vous vous demandez combien de temps il faut pour apprendre à skier, la réponse est simple : de nombreux adultes débutants trouvent qu'ils peuvent commencer à skier sans problème sur des pistes de niveau débutant et intermédiaire dès la fin de leur première semaine de cours de ski à l'école ou après deux ou trois ...
Oui, c'est possible ! Beaucoup d'adultes prennent des cours de ski, pourquoi pas vous ? La facilité de l'apprentissage va dépendre de votre condition physique mais ce qui fait peur à l'âge adulte, c'est la chute. Un adulte a davantage de craintes de se faire mal, comparé à un enfant.
Les craintes peuvent être multiples : peur de se retrouver seul dans un milieu sauvage composé de forêts, sueurs froides lorsque l'on se retrouve en haut d'une pente raide, stress à l'idée de tomber sur la neige dure, manque de confiance lorsqu'il s'agit d'emprunter les remontées mécaniques…
Conseils. Il est impératif de garder les skis un peu écartés, au moins dans un premier temps. En effet, garder les skis serrés pénalise l'équilibre et surtout l'indépendance des jambes, si celle-ci n'est pas parfaitement acquise. Très souvent les skieurs débutants plantent leur bâton très tard et sans appui.
C'est très simple : en position chasse-neige, regardez loin devant, déclenchez votre virage et transférez le poids de votre corps sur le ski extérieur, en restant bien face à vos skis. Tout naturellement les skis vont pivoter dans la direction où vous souhaitez aller.
Le ski c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas paraît-il ! Il ne vous reste plus qu'à surmonter cette boule au ventre apparue en haut de la piste et à retrouver vos sensations pour dévaler les pistes noires tout schuss ! La reprise du ski n'est jamais facile, surtout après quelques mois ou années sans pratiquer.
Au début, tourner demandera beaucoup d'espace. Assurez-vous de commencer à tourner bien avant un obstacle et vérifiez qu'aucun autre skieur ne se trouve sur votre chemin. Par peur ou par refus de la pente, les débutants ont tendance à s'appuyer sur leurs mollets et à placer leur poids sur leurs talons.
Le posé des skis doit s'effectuer parfaitement, car c'est lui qui détermine la réussite du virage. Dans un couloir très raide et étroit, aucune prise de vitesse ne peut être tolérée, ainsi le virage doit être le plus court possible, et les skis posés à la perpendiculaire parfaite de l'angle de plus grande pente.
Vérifiez que votre planche soit à peu près dans l'axe. Quand le télésiège approche, tournez votre tête dans sa direction pour le voir arriver, mettez votre pied arrière sur la planche ou à côté, et laissez le vous “ceuillir” en vous asseyant quand il vient au contact de votre jambe.
Garder le dos droit et incliner le buste en avant – ceci aura pour effet de transférer le poids du corps sur l'avant des skis ; Plier les genoux et appliquer une pression simultanée sur les carrés intérieurs de vos skis ; Rapprocher progressivement les pointes avant des skis en écartant les talons.
Idéalement, le tronc est stable, et, tout comme la tête, il est dirigé vers le bas de la pente. Par ailleurs, il doit se trouver au-dessus du ski aval afin de compenser la pression des genoux et des hanches vers l'intérieur du virage.
Entrainez-vous d'abord à descendre lentement des pistes à faible pente, en allant d'un côté à l'autre de la piste. En écartant les skis, vous freinez, en les rapprochant, vous accélérez. Vous prendrez rapidement de l'assurance et pourrez alors augmenter votre vitesse et passer à des pistes plus difficiles.
Pour faire cette activité sur des chemins réservés, vous avez deux solutions : chausser des skis de randonnée (qui n'ont rien à voir avec ceux de descente qui vous effrayent) ou miser sur des bonnes chaussures de trail résistantes au froid et à l'humidité.
Si vous êtes matinaux, mieux vaut skier le matin. Si vous souhaitez profiter de la lumière, de la douceur de l'après-midi et d'une neige plus souple, alors optez pour le ski l'après-midi.
La méthode consiste à marquer fortement l'appui pendant la phase initiale du virage grâce à une flexion-extension prononcée. L'angle de prise de carre ne doit pas être trop important sous peine de faire déraper le ski, mais suffisant pour assurer l'accroche.
Le premier conseil que l'on vous donne est de vous équiper de bas de contention, aussi appelés bas de compression. Ils permettent d'alléger la charge sur vos muscles et les réchauffent considérablement. Portez-les lorsque vous êtes sur les pistes mais également un petit peu à la fin de la journée.
Véritables premières barrières contre le froid, ce sont des sous-vêtements respirants. En laine Mérinos ou en matières synthétiques, les sous-vêtements allient régulation thermique et confort durant l'effort. En revanche, évitez le coton : une fois humide, il ne sèche pas et transmet le froid.