relaxez-vous en respirant calmement et profondément, ou en écoutant de la musique ; aérez le véhicule ; faites des pauses pour marcher un peu ; ne fumez pas dans le véhicule et créez une bonne circulation de l'air à l'intérieur du véhicule, pour ne pas avoir trop chaud.
Privilégiez une nourriture solide plutôt que liquide. Renoncez à l'alcool, au tabac et au café, avant et pendant le voyage. Maintenez la tête droite, sans faire de mouvements brusques pendant le voyage. En voiture, installez-vous à l'avant à côté du conducteur, ou à l'arrière au milieu, et regardez loin devant vous.
Si malgré tout, le mal des transports se déclare, trouver un moyen de prendre l'air ou s'allonger quelques minutes avec un linge frais et humide sur le front peut vous permettre de vous sentir mieux. En cas de vomissements, il faut boire pour éviter de se déshydrater, de préférence des boissons sucrées.
Pourquoi est-t-on malade en voiture ou dans un autre moyen de transport ? Le mal des transports est dû à une réponse inadaptée du cerveau, liée à une opposition entre les informations fournies par les yeux et celles données par le vestibule (organe de l'équilibre situé dans l'oreille interne).
Pour limiter les nausées, pendant le voyage, gardez la tête droite, en utilisant l'appui-tête, et les jambes surélevées, dans l'idéal.
Scientifiquement parlant, il n'y a aucune explication à ce phénomène mais il semble bien qu'un petit bout de sparadrap posé sur le nombril de la personne sujette au mal des transports soit la solution miracle pour ceux qui avaient déjà tout essayé vainement.
Le mal des transports, qui se traduit par des nausées et maux de tête parfois importants, est lié à un décalage entre les informations envoyées par l'oreille interne et celles envoyées par les yeux.
Veillez à être bien calé, en réduisant au minimum les mouvements de la tête et du corps ; Si le besoin s'en fait sentir, installez-vous en position semi-couchée et fermer les yeux ; Demandez au conducteur de conduire avec le moins d'accélérations ou de décélérations possibles.
Tout le monde peut souffrir du mal des transports, mais les enfants sont davantage touchés. Le mal des transports apparaît généralement à partir de l'âge de 2 ans.
Relaxez-vous et respirez calmement. Évitez les odeurs désagréables ; mangez des aliments inodores et ouvrez la fenêtre si des odeurs vous indisposent. Évitez de vous coucher sur le dos après avoir mangé. Restez assis 30 à 60 minutes après la prise d'aliments, car s'allonger aggrave les nausées.
Des médicaments homéopathiques comme Cocculine des laboratoires Boiron ou Viaborpax des laboratoires Lehning préviennent et soignent le mal des transports.
Pour y parvenir, on peut essayer de s'allonger là où c'est possible, de prendre l'air, de se concentrer sur l'horizon, et de prendre les médicaments appropriés. Il est important de bien penser à s'hydrater lorsque le mal des transports perdure (surtout s'il y a des vomissements).
Le traitement médical des vomissements
Les traitements utilisés pour stopper les vomissements sont appelés des antiémétiques. Ils comprennent les médicaments à base de dompéridone (Pérydis°), métopizaline (Vogalène°), métoclopramide (Primperan°) et leurs génériques.
Pour les cas les plus sévères, le traitement le plus efficace est la rééducation vestibulaire. Il s'agit de rééduquer l'oreille interne à travers des exercices de simulation. Si les premières séances peuvent être pénibles, c'est le seul traitement qui peut apporter une guérison complète du mal des transports.
Comment favoriser des moyens de transport alternatifs à la voiture ? Favoriser les transports en commun, se déplacer à pied ou à vélo tant que possible : si vous n'avez pas de vélo personnel, pensez aux vélos partagés mis à la disposition des usagers de nombreuses villes.
Le médecin spécialisé dans les problèmes de l »équilibre est l'ORL. En cas de trouble de l'équilibre ou plus spécifiquement de cinétose, une consultation ORL est indiquée.
Adulte et enfant de plus de 18 mois : 1 dose de granules la veille du voyage et juste avant le départ. Pendant le voyage, 1 dose de granules dès l'apparition des symptômes, à renouveler si nécessaire.
Bougez plus. Au moins 30 minutes d'exercice physique chaque jour et en continu sont indispensables pour entretenir votre cœur.
L'acupression du point P6 (situé à trois largeurs de doigts sous l'articulation du poignet) de la main dominante s'est révélée efficace pour contrôler les nausées et les vomissements chez certains patients; l'effet perdurait pendant 6 à 8 heures (Hussein et Sadek, 2011).
En réalité, cela fonctionne simplement parce que le cerveau va alors se concentrer sur autre chose qu'une page statique — et déjouer alors ce mal des transports, ou cinétose en jargon médical. « Vous pouvez observer les choses qui défilent. Vous regardez le paysage, et le mouvement va finir par équilibre notre système.
Le mal des transports est dû à un trouble entre la perception visuelle et le système vestibulaire contenu dans l'oreille interne, qui joue un rôle primordial dans le sens de l'équilibre car il perçoit le mouvement et l'orientation par rapport à la verticale.
La thèse du scientifique est que le nombril développe une pilosité concentrique qui aurait tendance à aspirer les saletés du secteur. Cela expliquerait pourquoi les hommes en produisent davantage, puisqu'ils ont une pilosité plus dense.
« La façon la plus efficace pour effectuer un bon nettoyage du nombril est d'utiliser un coton-tige, préconise le Dr Saldmann. Appliquez un peu de gel douche dessus, nettoyez, rincez et n'oubliez pas de sécher ». Un réflexe à répéter une fois par semaine.
L'un apporte au bébé de quoi manger et grandir. L'autre emporte ce dont le bébé n'a plus besoin, c'est-à-dire les déchets qui seront, eux, également éliminés par la maman. À la naissance, le bébé est encore relié par ce cordon. On le coupe car il ne sert plus à rien.