Réponse : Les livres peuvent changé le regard des gens et participé au combat pour l'égalité en parlant des chose vraiment importantes de dans, en y mettant de vraie information, ( histoire vrai sur un harcèlement par exemple, des conseil qui fonctionne, sur les loi comment sont-elles faite ou l'égalité).
Le récit, pendant le temps de la lecture, réhabilite cette capacité d'anticipation. Il projette le lecteur dans une temporalité nouvelle qui le remet en mouvement. » Le psychanalyste Jean-Pierre Winter ajoute : « Les livres qui changent notre vie, on ne s'en rend pas compte sur le coup.
La littérature incite à l'action : l'écrivain comme modèle à suivre. La littérature cherche à faire évoluer le lecteur dans sa conception morale du monde ; elle peut aussi l'inciter à tirer les conclusions concrètes de son expérience littéraire et à modifier son comportement dans ce monde qu'il connaît désormais mieux.
Lire augmente la capacité d'empathie
Un chercheur de l'université de Rotterdam a ainsi montré que des personnes invitées à lire des romans pendant une semaine, et si elles ont été touchées émotionnellement par ces récits, voient leur capacité d'empathie grandir sensiblement.
Avec Régis Debray, Didier Leschi et Alban Cerisier, remonter le fil du XXe siècle au travers de l'écrit. "Le Monde d'hier" n'est pas qu'un livre autobiographique, c'est aussi un témoignage historique précieux sur le basculement du destin de l'Europe au XXe siècle.
Le roman social est un genre littéraire qui dénonce, généralement par le biais d'une fiction réaliste, des problèmes sociaux et leurs effets sur les personnes ou groupes qui en sont victimes, issus des classes populaires (la classe ouvrière le plus souvent, mais aussi la paysannerie).
L'écrivain littéraire, cherche souvent à critiquer les méfaits et les vices de sa société. Par leur écriture des écrivains nous révèlent certains faits historiques de leur vie personnelle et de leur société. Ils semblent d'avoir la conscience des situations sociales de leur milieu. (Wellek et Warren 130).
Quel que soit le but qu'elle poursuit, la littérature contribue à l'amélioration de la société (des individus qui la composent) en développant le sens esthétique, l'esprit critique, la connaissance de soi.
La plupart des écrivains espèrent corriger la nature humaine en exposant ses vices avec réalisme, exagération ou ironie. Ils créent ainsi un miroir de la société qui permet de mieux la comprendre.
Le roman élabore une réflexion sur le monde.
On peut dire que le roman est la forme littéraire privilégiée pour cette « vision du monde » grâce aux personnages qui vont évoluer dans ce monde et percevoir le réel.
La littérature comme une arme politique
Par le biais de son texte, l'auteur peut critiquer certains aspects de la société, dénoncer une situation qui le dérange ou encore défendre une cause qui lui tient à coeur.
Les œuvres littéraires enrichissent notre connaissance. Elles permettent à l'homme de mieux connaitre son histoire grâce aux récits historiques, de perpétrer des traditions et elles aident également l'homme à éviter de reproduire certaines erreurs du passé comme les crimes commis par l'humanité par exemple..
Lire stimule le cerveau et améliore la mémoire
La lecture est un excellent moyen pour le faire travailler puisqu'elle participe à une bonne stimulation cognitive. Cela permet aussi à notre cerveau d'augmenter ses capacités de mémorisation, de réflexion, d'analyse ou encore d'imagination.
Apprendre par la littérature, c'est s'ouvrir d'abord à soi et par cette exploration intérieure, apprendre à se changer soi-même. Ce que nous disent les poètes à travers leurs œuvres, c'est que la littérature peut changer l'homme quand elle porte en elle cette part de vérité où s'origine l'efficacité du Verbe.
Cette citation de Tahar BEN JELLOUN : La littérature ne change ni l'homme ni la société. pour autant, l'absence de littérature rendrait l'homme encore plus infréquentable. , fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Tahar BEN JELLOUN.
Les ouvrages de la littérature sont porteurs de leçons de vie et permettent à un homme de pouvoir se remettre chaque jour en question. D'un autre côté, une personne qui est fidèle à la lecture des œuvres littéraires a plus de facilité à comprendre la vie.
Le roman: miroir de la réalité
Celui-ci consiste à représenter la réalité et à explorer la vie quotidienne sous toutes ses formes. C'est dans ce contexte que Stendhal a dit, dans son roman Le Rouge et le Noir : « Le roman est un miroir que l'on promène le long du chemin ».
Par nature, le roman implique la fiction, l'invention de personnages et de situations imaginaires. Il implique aussi une construction, un ordre des faits, c'est-à-dire la négation du désordre et des aléas qui caractérisent la vie réelle, ou le réel de la vie.
La lecture développe l'esprit d'analyse et l'esprit critique
La lecture sollicite votre esprit critique et votre esprit d'analyse. Chaque page tournée renforce le tissu de connaissances dans votre esprit et vous aide à terme, à mieux comprendre le monde qui vous entoure.
Elle est un réservoir inépuisable de connaissances en tous genres. Par là même, la littérature devient un danger, un pouvoir, car l'instruction rend libre et permet de faire des choix en toute conscience. Elle est donc un inconvénient majeur pour certains dirigeants politiques et source de censures….
La littérature vise à éduquer, à communiquer des pensées, à influencer et même à séduire. La littérature constitue un héritage patrimonial et peut concourir à la préservation du patrimoine d'un pays, lorsqu'elle en souligne les valeurs, la culture et la civilisation.
Créer un univers imaginaire idéal, utopique (ou contre-utopique) met en évidence les travers de la société et conduit indirectement à une réflexion critique sur les injustices. [Exemples : L'Eldorado dans Candide de Voltaire ; L'Île des esclaves de Marivaux ; Le Meilleur des mondes de Huxley.]
La "Goldene Letter" 2020, qui distingue le plus beau livre du monde, est attribuée à un ouvrage romand, l'"Almanach ECART. Une archive collective, 1969-2019". Un livre coédité par la HEAD de Genève et les éditions art&fiction, basées à Lausanne et Genève.