Elle peut aussi donner à réfléchir. Tout le récit est construit à partir de ce dénouement final. La chute est préparée depuis le début du texte (dès le 1er mot parfois). Elle donne envie de relir le texte, d'y chercher des indices qui auraient pu nous mettre sur la voie et de rechercher une nouvelle interprétation.
Partie qui termine une histoire, un récit, une œuvre littéraire ou musicale, etc. : La chute de l'histoire était très drôle.
La nouvelle est définie comme un récit bref dont l'intrigue est simple sur une durée brève. Elle se conclut sur une fin surprenante et rapide, la chute. 2. A l'opposé du roman, elle se concentre sur une action unique, souvent réduite à un seul évènement.
Une nouvelle réaliste
Une nouvelle est un court récit, centré sur un événement est comportant peu de personnages. Elle est construite à partir du schéma narratif. On dit qu'une nouvelle est réaliste lorsqu'elle présente des personnages, des lieux ou des époques que l'on peut trouver dans la réalité.
Ma définition d'une « nouvelle à chute » serait la même que la vôtre : une nouvelle dont la fin est tellement inattendue, surprenante, qu'elle invite le lecteur à la relecture.
Le récit réaliste raconte avant tout le réel, la réalité. Ainsi les sujets des récits réalistes sont tirés du vécu et mettent en scène des personnages ordinaires. Les auteurs (Flaubert, Zola, Maupassant...) ont le goût du détail, se documentent en général avant d'écrire, et se montrent les plus neutres possible.
Une chute fait appel à une fin soudaine, parfois brutale, qui doit surprendre le lecteur. L'exigence d'une chute c'est que, comme toute fin, elle doit paraître logique, crédible ; une fois la surprise passée, l'évidence doit s'imposer. Tout lecteur de nouvelle s'attend à une chute.
En France, la nouvelle est un genre littéraire souvent déprécié. Or elle recèle de multiples qualités de narration et d'évocation qui font de sa lecture un grand plaisir. Tentative de réhabilitation.
Une chute est définie comme étant un événement à l'issue duquel un individu se trouve par inadvertance sur le sol ou sur toute autre surface située à un niveau inférieur de celui d'origine. Bien que majoritairement bénins, les traumatismes liés aux chutes peuvent parfois être graves voire mortels.
La chute. La fin du conte produit une surprise de taille. Le conte s'arrête au moment où Mme Loisel découvre l'horrible vérité laissant le lecteur imaginer la suite. Le récit reste en suspens, et l'on peut formuler diverses hypothèses sur la suite (Mme Loisel va-t-elle être aidée par Mme Forestier ?
Il existe trois types de chutes : la chute lourde, la chute molle et la chute syncopale. Dans le cas de la chute lourde, celle-ci survient suite à la perte d'équilibre et s'associe à un choc rapide contre le sol.
Lire permet de lutter contre le vieillissement du cerveau, d'améliorer sa mémoire, son empathie, son imagination mais aussi de prendre une pause. A l'occasion de la Journée mondiale du livre, le consultant santé d'Europe 1, le docteur Jimmy Mohamed décrypte tous les bienfaits de la lecture.
La lecture développe l'esprit d'analyse et l'esprit critique
La lecture sollicite votre esprit critique et votre esprit d'analyse. Chaque page tournée renforce le tissu de connaissances dans votre esprit et vous aide à terme, à mieux comprendre le monde qui vous entoure.
Les chercheurs ont avancé que lire des livres améliore le vocabulaire, le raisonnement, la concentration et la pensée critique, et que la littérature stimule les processus cognitifs comme la perception sociale et l'intelligence émotionnelle* qui peuvent contribuer à prolonger la vie.
Dans un récit, la situation finale est la situation à la clôture du récit (retour à la normale). C'est souvent la cinquième et dernière étape du schéma narratif.
Naissance et « enfance » de la nouvelle
La nouvelle est plus ancienne que le roman, puisque l'on dit que le roman nait avec Don Quichotte (1605 et 1615), alors que les premières nouvelles sont apparues avec le Décaméron de Boccace (1349-1353) !
Une nouvelle est un récit habituellement court. Apparu à la fin du Moyen Âge, ce genre littéraire était alors proche du roman et d'inspiration réaliste, se distinguant peu du conte et de la fable.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.).
Une ou deux phrases en tête d'article, destinée(s) à retenir, « accrocher » l'attention du lecteur. S'emploie aussi en publicité, avec le même objectif. À la fin de l'article, on parle de « chute ».
Dans sa nouvelle, Maupassant propose diverses descriptions qui participent de la dimension réaliste de la nouvelle, car celles-ci permettent d'ancrer l'histoire et ses personnages dans une réalité à la fois concrète et banale.
Quelles idées nouvelles sont à l'origine du réalisme ? Ce courant littéraire apparaît en réaction contre le romantisme qui a marqué le début du XIX siècle. En peinture comme en littérature, il part en guerre contre le double idéalisme du « moi » et de l'art.
Attentif comme lui à transcrire justement la réalité, il suit également les idées d'Emile Zola concernant le naturalisme. Ce courant littéraire promeut une observation précise et documentée des sujets à traiter avant d'en faire une histoire fictive.
Dès que commence l'adolescence, l'enfant n'a plus envie de lire. Jusqu'au lycée, les professeurs de français imposent la lecture, souvent des ouvrages qui ne traitent pas de leurs différents centres d'intérêts, ce qui décourage l'ado à ouvrir un livre.