Comment les bateaux avance face au vent ? En ralentissant le débit, une surpression est créée qui gonfle la voile. Ces différences de pression entre les deux côtés de la voile créent une force de poussée (flèche verte) qui tire le voilier vers l'avant.
Comme vu précédemment, naviguer au vent signifie naviguer contre la direction du vent, mais pas directement sinon les voiles du bateau battraient et le bateau s'arrêterait. Les marins utilisent un mouvement en zigzag en déplaçant la proue du bateau de gauche à droite à travers le vent afin d'avancer.
Avant, les bateaux ne pouvaient avancer qu'en se laissant pousser par le vent arrière. De ce fait, ils ne se déplaçaient que dans le sens des vents dominants, ce qui limitait leur autonomie. Aujourd'hui, les voiliers modernes peuvent remonter contre le vent et donc aller où ils le souhaitent.
La portance qui fait avancer l'embarcation et celle qui la pousse vers le côté varient selon l'« allure », qui est l'angle entre le bateau et le vent. En naviguant « plus près du vent », vous verrez une poussée latérale plus importante, car la voile est réglée plus près du centre du bateau.
L'effort du vent sur la voile, appelé poussée vélique, est l'ensemble des conditions du transfert d'énergie ou quantité de mouvement entre le vent et le bateau qui, pour un vent donné, dépendent de la voile, de ses caractéristiques, de sa position et plus généralement de la qualité de son emploi.
C'est pour cette raison que la mode est aux doubles barres à roue (une à tribord et une à bâbord). Elles permettent de libérer l'accès à la mer et facilitent la circulation du cockpit (en étant renvoyées vers l'arrière) .
Pour rappel, le foc (ou voile d'avant) est une voile triangulaire de petite surface située en tête de certains bateaux. Sans rentrer dans les détails, les focs les plus classiques que l'on peut trouver sur un voilier sont les suivants : Le Génois: Il s'agit d'un foc qui se superpose avec la grand-voile.
Le sujet fait globalement l'unanimité sur les forums, le blanc serait la couleur la moins salissante sur l'eau. Cette affirmation peut s'entendre pour les auréoles de sel résultant d'une navigation en mer mais semble plus étonnante pour les autres sources de salissure.
Sur les voiles de course, les fibres utilisées sont le Dyneema, le carbone ou le Kevlar. D'où la couleur grise ou noire de ces voiles (mais aussi le coût !).
Il est donc conseillé de rester sur le pont, à l'air libre et frais, dès les premiers symptômes.
Préférez des génois suffisamment larges sur enrouleurs pour couvrir un large domaine d'utilisation : petits vents et brises portantes. Au moins une voile doit également être envisagée pour la navigation au portant (un spi ou un gennaker). Trois voiles, au moins, peuvent donc suffire.
Vent debout
Cet angle dans lequel le voilier est face au vent mesure entre 30° et 45° (30° pour les voiliers de course les plus performants et 45° pour les voiliers de croisière). Quand un voilier se trouve dans cette zone, on dit qu'il est bout au vent ou face au vent.
Petit largue ; c'est l'allure la plus rapide car elle conjugue trainée et portance. Au travers : C'est un juste milieu entre les réglages B et C. Les voiles se règlent l'une après l'autre.
Les voiliers peuvent se renverser, bien que ce soit rare parmi les quillards. Les dériveurs peuvent se renverser facilement, selon l'expérience et les conditions.
Vous pouvez y faire pousser des plantes grimpantes ou y placer un brise-vue. Ce dernier existe en différents modèles : rouleaux, lamelles, canisses… Pour la plupart, ces occultants sont perméables afin de limiter leur résistant au vent, ce qui sera parfait pour réduire les rafales.
L'eau de ballast est rejetée dans l'océan lorsqu'elle n'est plus nécessaire (lorsque le poids du navire doit être allégé) – par exemple, lorsque le navire charge des marchandises.
L'air qui se trouve à l'intérieur d'un navire est beaucoup moins dense que l'eau. C'est ce qui lui permet de flotter! La densité moyenne du volume total du navire et de tout ce qui se trouve à l'intérieur (y compris l'air) doit être inférieure à celle du même volume d'eau.
Noms des différentes voiles
Elles sont nommées selon leur taille et leur coupe (de la plus petite à la plus grande) : tourmentin, solent, foc, foc ou génois inter (entre le génois et le foc), yankee, génois, et reacher (génois très creux).
Les bateaux qui sont munies d'ailes de dérive, ont l'avantage de pouvoir disposer d'un faible tirant d'eau. Ils peuvent naviguer en eaux peu profonde (zone de marée, de récifs, de haut fond marins ou fluviaux) et en eaux plus agités comme dans des estuaires ou le long des côtes maritimes.
Pour certains, le voile est un signe de soumission des femmes, et serait donc contraire au principe d'égalité entre les hommes et les femmes. Mais d'autres pensent qu'il ne faut pas empêcher les musulmanes de pratiquer leur religion, juste parce qu'elles sont des femmes…
Le mot voile, en français, possède deux significations que le genre grammatical permet de distinguer : au féminin, la voile est un élément propulsif qui utilise la force du vent. au masculin, un voile est une pièce d'étoffe qui recouvre et dissimule, et par extension, une séparation fine entre deux parties.
Capitaine, Captain, master, skipper – Dans la marine marchande, officier apte à diriger un navire et à commander l'équipage, titulaire d'un brevet. A la pêche on dit plutôt patron. A bord d'un yacht, le patron, ou skipper, est la personne responsable du bateau, et de sa conduite.
Marine moderne
La poulaine est le nom couramment donné aux toilettes dans la Marine nationale française.