Les avions circulent dans le ciel sur des autoroutes de l'air. Sur la quasi-totalité des routes aériennes, une altitude correspond à une direction et une vitesse, et les avions sont donc alignés à grande distance les uns derrière les autres à vitesse stable, gardant un espacement constant.
La troisième anticipation intervient lorsque deux avions en vol, pris en charge chacun par un centre de contrôle différent, menacent de se heurter. Un centre demande à l'autre de guider l'un des appareils dans une direction qui permette d'éviter l'accident.
On peut croire que c'est par raisons de sécurité. Le [L'océan] Pacifique est le plus grand et le plus profond des océans. Si un avion rencontre un problème alors qu'il le survole, les pilotes auront du mal à s'en sortir sans aucun endroit pour atterrir.
Dans les airs, des avions peuvent se croiser et l'un peut voler au-dessus d'un autre sans que les deux ne se percutent.
Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol. Il y a des feux de navigation situés aux extrémités des ailes.
La raison principale qui motive le fait d'abaisser les éclairages des avions lors des décollages, des atterrissages ainsi que la nuit est la suivante : habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
Cette phobie du 13 porte un nom : la triskaïdékaphobie. Elle est très répandue dans le monde. Afin de ne pas courir le risque de perdre des clients ou de les mettre en état de panique, certaines compagnies aériennes ont même décidé de supprimer la rangée n°13 de leurs avions.
Les personnes qui sont assises à l'avant de l'avion (section première classe et classe affaires) ont 49% de chances de survivre au crash. Si vous êtes assis juste devant ou derrière les ailes, cette probabilité est de 56%. Les passagers assis à l'arrière ont un taux de survie moyen de 69%.
Explication: en réalité, les avions volent bien en ligne droite, mais en suivant la courbe de la terre. C'est la projection de la terre, ronde, sur une carte plane qui donne l'impression de ne pas prendre la trajectoire la plus courte.
Les zones où le survol est strictement interdit
La Libye, l'Irak, le Yemen, la Syrie et l'Est Ukrainien sont cinq pays qui sont clairement interdites de survol pour les compagnies aériennes. Il existe une règle, un avion de ligne ne doit jamais survoler une zone de conflit armée, du moins en principe.
"Il s'agit surtout d'une réaction de soulagement, de gratitude d'être arrivé vivant", nous répond la psychologue Laurie Hawkes (qui prend souvent l'avion). "Ces applaudissements sont vitaux, ils servent de défouloir.
En avion, l'atmosphère qui entoure la Terre et dans laquelle l'avion vole, se déplace en même temps que la Terre, donc l'avion n'est absolument pas influencé par la vitesse de rotation de la Terre. Vous suivez toujours ?
Collision aérienne de Tenerife
Il s'agit du pire accident de l'histoire de l'aviation : le 27 mars 1977, deux Boeing 747 entrent en collision à l'aéroport de Los Rodeos sur l'île de Tenerife aux Canaries, tuant 583 personnes.
La loi de Poisson est appropriée pour étudier les accidents aériens car le nombre d'avions qui décollent chaque jour est tr`es élevé (20 000), la probabilité d'avoir un accident est infime pour chaque vol (0, 04/20000 = 1/500 000), et les accidents surviennent indépendamment les uns des autres.
Où sent-on le plus les turbulences ? Voici où les opinions divergent. Il y a ceux qui disent que c'est la partie avant de la machine qui est la plus vulnérable, d'autres assurent que c'est à l'arrière que l'on se sent le plus mal à l'aise.
La turbulence, c'est un mouvement, un remous de l'air. Lorsqu'elle se produit à de très hautes altitudes, elle est souvent due à un phénomène météorologique qui créé des différentiels de pression. Le flux de l'air est modifié et l'avion, qui suit ce dernier, peut, dès lors, connaître quelques perturbations.
Si vous voulez ressentir le moins possible les mouvements et les turbulences de l'avion, la meilleure place sera au milieu de l'appareil au niveau des ailes. Cependant, cette place est la plus exposée en cas d'accident puisqu'elle se trouve au niveau des réservoirs.
En France, les chambres 420 sont aussi sollicitées par les fumeurs de cannabis qui espèrent s'y adonner à leur passion en toute tranquillité. Or, dans notre pays, la consommation d'une telle drogue est interdite, raison pour laquelle la plupart des établissements hôteliers ont supprimé ce numéro.
La nationalité d'un enfant qui naît à bord d'un avion, est celle de ses parents. Néanmoins, certains pays font des exceptions. C'est le cas, par exemple, des Etats-Unis.
L'aviation internationale a interdit, en soute comme en cabine, le Samsung Note 7. Le téléphone est considéré comme un produit dangereux au même titre qu'un réchaud de camping, un briquet ou les liquides inflammables, les pétards, les feux d'artifice.
On se sent fatigué
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Ils signalent de jour comme de nuit l'intention de décoller ou d'atterrir. Ils sont généralement éteints en vol de croisière. Ils peuvent être utilisés sporadiquement pour vérifier les conditions atmosphériques : si l'avion est dans la couche, celle-ci est éclairée, alors qu'en ciel clair, les phares n'éclairent rien.
Garder les hublots ouverts permet en réalité aux agents de bord d'avoir la vue dégagée et ainsi juger par quel côté de l'avion une potentielle évacuation serait la plus sûre.