Dans les transports, à votre bureau ou chez vous, fermez les yeux. Relâchez tous vos muscles. Recentrez-vous sur votre respiration, en comptant les cycles respiratoires par exemple. Laissez-vous aller à la détente et ne pensez à rien, uniquement à la sensation agréable de ne rien faire et de se reposer.
Dans l'idéal, la micro-sieste doit donc rester courte et ne pas dépasser 20 à 30 minutes maximum afin de se réveiller avant la phase de sommeil profond.
Faire une sieste de courte durée permet de se relancer, de se donner un petit coup de boost pour quelques heures. Une sieste courte ne vous permettra pas de récupérer votre « sommeil en retard » mais vous redonnera un coup de pouce pour mieux vous concentrer et rester bien éveillé quelques heures supplémentaires.
Le principe. La turbo sieste consiste à dormir 15 à 30 minutes maximum, pas davantage pour ne pas sortir de la phase de sommeil léger. Il serait en effet beaucoup plus désagréable de s'arracher à un sommeil profond. Pensez à régler votre réveil et étirez-vous après vous être levé.
Une sieste compensatrice d'une à deux heures pendant la journée permet de compléter la nuit et de palier à ces « dettes de sommeil ». Afin d'optimiser le temps de vos siestes compensatrices, mettez toutes les chances de votre côté : Ne surchargez pas votre emploi du temps, réservez-vous du temps pour dormir.
Quels sont les bienfaits ? Cette sieste d'une durée très courte permet de se sentir davantage détendu, et donc de réduire le stress. Elle revitalise la personne, offre un regain d'énergie et donc améliore la concentration. Elle permet une véritable récupération sur le plan psychique comme physique.
Cette pénible sensation est due à un réveil contraint en plein milieu d'un cycle de sommeil. « Quand on fait une sieste trop longue la journée, surtout si on n'a pas assez dormi avant, on peut traverser un petit épisode de sommeil lent profond, l'épisode où le cerveau est ralenti.
Comme nous l'avons indiqué plus haut dans notre analyse des cycles de sommeil, les siestes de 10 à 20 minutes sont beaucoup plus efficaces et réparatrices que les siestes de 5 ou de 30 minutes. Contrairement aux siestes plus longues, ces courtes siestes ne causent pas de somnolence post-éveil.
D'une durée de 20 minutes environ (entre 15 et 30 minutes au maximum), elle est avant tout relaxante. Il s'agit d'un épisode de sommeil lent léger qui entraîne dans le cerveau la production d'ondes relaxantes bienfaisantes et qui permet de récupérer sans sombrer dans le sommeil profond.
La sieste est un outil redoutable contre la fatigue, à condition qu'elle soit bien utilisée. Il existe plusieurs sortes de siestes que vous pouvez adapter à vos besoins et à vos obligations : La Power Nap de 20 minutes maximum : idéale au travail. La sieste de 30 minutes : pour un repos plus conséquent.
Comment améliorer le sommeil des adolescents ? Favoriser l'éclairage le plus important le matin, ce qui est très important pour permettre au sommeil de se caler sur 24 heures. Faire du sport le matin et non le soir car cela risque de retarder l'heure d'endormissement. Se lever à des horaires réguliers.
Le but de la sieste flash est donc de récupérer de jour, mais sur une durée inférieure à 20 min. « Elle défatigue, c'est un excellent anti-stress. Elle a des effets bénéfiques sur la concentration, la mémoire et la créativité ». Un bienfait loin d'être à négliger surtout lorsque votre rythme de vie est soutenu !
Pour que la sieste soit efficace, il faut également soigner sa phase de réveil : ne surtout pas se redresser d'un bond, mais se garder 2 à 3 minutes pour dérouler toujours la même séquence - s'étirer, faire bouger ses muscles, se dire qu'on se sent mieux et en pleine forme, et ensuite seulement, se redresser.
Dormir l'après-midi vous semble une drôle d'idée et pourtant, cela permet de récupérer alors ne vous en privez pas ! Qu'elle soit flash, courte ou plus longue, elle est toujours relaxante et réparatrice. Elle réduit le stress, améliore la mémoire et la concentration...
Qu'est-ce qu'un gros dormeur ? "En général, le gros dormeur dort entre 9 et 11 heures par nuit. Au-delà, il peut s'agir d'hypersomnie, qui est une pathologie", introduit Sylvie Royant-Parola.
Mais que signifie trop dormir ? Une hypersomnie se caractérise par une somnolence excessive, soit une nuit de plus de 9 heures de sommeil. Ce trouble se manifeste par une fatigue sans raison apparente, une incapacité à se lever le matin et des somnolences importantes au cours de la journée.
Pourquoi alors fermons-nous les yeux pour dormir ? Selon les experts, le fait de fermer les paupières permet d'hydrater l'oeil et de protéger sa surface. A l'inverse, lorsqu'on dort les yeux ouverts, les yeux s'assèchent et sont susceptibles de s'infecter car ils reçoivent plus de poussières.
On peut avoir tendance à penser que pour récupérer une nuit trop courte en semaine, il suffirait de faire une grasse matinée le week-end. Or, la majorité des études affirme qu'il n'est pas, à proprement parler, possible de rattraper le sommeil perdu.
Le reflux gastro-oesophagien, l'hyperthyroidie, des douleurs nocturnes ou encore certaines maladies respiratoires comme l'asthme sont également ds causes possibles d'insomnies.
Il est possible de réduire les effets du manque de sommeil en allongeant la durée de repos, pour constituer une « réserve de sommeil », avant une période de déprivation. Mais la meilleure façon d'éviter les effets néfastes du manque de sommeil est de s'assurer un repos adéquat tout au long de la semaine.
La meilleure heure pour se coucher et s'endormir ? Entre 22 et 23 heures, assurent des chercheurs. À quelle heure est-il préférable d'aller se coucher ? Entre 22 et 23 heures, répondent des chercheurs de l'université d'Exeter, en Grande-Bretagne.
Albert Einstein dormait jusqu'à 10 heures par jour et ses siestes étaient régulières durant la journée. D'ailleurs il les faisait avec une cuillère de métal dans la main qui tombait sur un bol s'il venait à s'endormir.