Prévenir les IST. La prévention des infections sexuellement transmissibles est primordiale. Elle passe principalement par l'utilisation du préservatif pour éviter la transmission des germes par voie sexuelle. Pour prévenir les infections par le virus VHB (hépatite B) et le papillomavirus, la vaccination est recommandée ...
Pour une protection optimale, le préservatif est à placer dès le début des préliminaires. Certaines caresses sexuelles peuvent aussi être contaminantes. Dans le doute, ou en l'absence de préservatif, l'abstinence est la meilleure des protections avant d'aller se faire dépister …
Il existe des gestes simples pour éviter et stopper la transmission des IST : Pour se protéger et protéger l'autre, il est important d'utiliser un préservatif pour chaque rapport sexuel et avec chaque partenaire dont on ne connaît pas le statut en termes de contamination par le VIH ou les autres IST.
L'aloe vera. L'aloe vera est une plante très appréciée en phytothérapie du fait de ses nombreuses vertus thérapeutiques. Ses propriétés antibactériennes, antifongiques et anti-inflammatoires aident à apaiser les démangeaisons intimes provoquées par l'infection à l'ist chlamydia.
Sur ces huit infections, quatre peuvent être guéries : la syphilis, la gonorrhée, la chlamydiose et la trichomonase. Les quatre autres sont des infections virales incurables : l'hépatite B, le virus de l'herpès (HSV), le VIH et le papillomavirus humain (PVH).
Si la syphilis dure depuis plus d'un an, les mêmes antibiotiques sont utilisés sur une durée plus longue, à savoir : pénicilline, une injection par semaine pendant trois semaines ou doxycycline par voie orale pendant 4 semaines.
S'ils se manifestent, les symptômes de ces quatre infections curables sont notamment des écoulements vaginaux, des écoulements urétraux chez l'homme, des ulcères génitaux, une miction douloureuse et des douleurs abdominales. La seule façon de savoir si vous avez une IST est de vous faire dépister.
"Lorsqu'une infection bactérienne est suffisamment importante elle se signale toujours par de la fièvre plus ou moins élevée et entraîne des douleurs et autres symptômes qui dépendent de l'organe en cause : il peut s'agir de douleur pharyngée, de toux, de gêne respiratoire, de douleurs abdominales, diarrhée ou ...
Herpès. La contagion de muqueuse à muqueuse étant commune pour les virus de la famille des herpès, ceux-ci peuvent se transmettre facilement par la fellation non protégée et infecter la sphère orale et/ou génitale.
Toutes ces infections et leurs complications peuvent être évitées grâce au port du préservatif au cours des relations sexuelles, et ce pour tout type de pénétration : en effet, il est possible de contracter une IST lors de la fellation, et pas seulement lors de la pénétration vaginale ou anale.
A quel moment arrêter le préservatif dans une relation stable ? L'arrêt du préservatif peut s'envisager une fois que chacun des partenaires aura réalisé un test de dépistage du VIH et des IST (dans un centre de dépistage anonyme et gratuit, un centre de planification et d'éducation familiale ou chez son médecin).
Un préservatif est-il fiable à 100 % ? Les préservatifs masculin et féminin protègent efficacement contre le VIH et les infections sexuellement transmissibles. S'il ne s'est pas déchiré ou s'il n'a pas glissé complètement, le préservatif est fiable à 100 %.
Utiliser des équipements de protection comme des gants, une blouse, un tablier, un masque et des lunettes, en cas de contact direct avec le sang et les fluides corporels. Éliminer correctement les déchets contaminés avec du sang ou des fluides corporels.
Ainsi, l'OMS recommande que les antibiotiques auxquels l'accès "est indispensable" soient disponibles à tout moment comme traitement contre un large éventail d'infections courantes. Par exemple, l'amoxicilline, un antibiotique largement utilisé pour traiter des infections comme la pneumonie.
À partir de 60°C, la chaleur tue une partie des microbes (avec un lavage en machine par exemple) ; À partir de 120°C, la vapeur d'eau tue également les microbes (avec un fer à repasser par exemple).
L'herpès génital : C'est l'IST la plus répandue. Elle est due à un virus. Symptômes : éruption très douloureuse de petits boutons en forme de vésicules sur les organes génitaux, l'anus, ou la bouche, qui peut apparaître une semaine ou plus après la contamination.
On ressent des brûlures en urinant, des envies pressantes et fréquentes d'uriner et des difficultés à uriner : quelques gouttes sortent seulement. Des douleurs et dans le bas du ventre sont souvent présentes. L'urine peut être trouble et sentir mauvais.
Une IST augmente le risque de contracter une autre IST. Des atteintes au système immunitaire, aux articulations, aux méninges et au système nerveux sont les conséquences potentielles de certaines IST. Chez l'homme, des douleurs pour uriner peuvent persister et le risque de stérilité est également présent.
Les infections sexuellement transmissibles (IST) sont causées par des bactéries, des virus, des parasites et se transmettent principalement lors des rapports sexuels sans préservatif (vaginal, anal et oral). Certaines IST se transmettent aussi : par contact cutané lors de caresses sexuelles.
Selon les chercheurs, prendre un antibiotique appelé "doxycycline" juste après un rapport sexuel non protégé réduirait le risque de plus de 60 % de développer certaines infections sexuellement transmissibles (IST) courantes.
Les symptômes chez la femme
Écoulement vaginal purulent, jaunâtre ou parfois sanguinolent. Irritation vulvaire. Saignement vaginal anormal. Pesanteurs ou douleurs pelviennes.