Comment la pensée positive peut aider à chasser ses idées noires. PSYCHO - Prendre de la distance avec ses pensées négatives, se remettre dans l'action et favoriser les émotions positives sont autant de conseils qui peuvent aider à arrêter de ruminer.
Cela résulte généralement d'une accumulation de difficultés auxquelles on fait face, par exemple : Être confronté·e à une ou plusieurs situations de vie difficiles (ex. : problèmes financiers, problèmes relationnels, problèmes légaux, rupture amoureuse, solitude, etc.)
Les sombres pensées sont habituellement un signe d'anxiété, et non de désirs secrets. Lorsque nous craignons quelque chose, il est normal d'imaginer cette chose. C'est de cette façon que le cerveau réagit à la peur. C'est un moyen de nous assurer que nous n'agissons pas d'une manière dangereuse.
Laisser filer les pensées négatives
Pour cela, la méditation active apporte une aide intéressante. "Observez vos pensées sans les juger ni vous y accrocher. Laissez-les passer comme des nuages au-dessus de votre tête sans qu'elles puissent prendre le pouvoir", conseille Latifa Gallo.
Quelles solutions pour soigner les obsessions ? Afin d'éviter les obsessions, il est conseillé d'éviter les excitants tels que l'alcool, le café ou le tabac. Une activité physique est recommandée ainsi que la relaxation.
Il s'agit de faire appel à des pensées positives tant que possible et d'essayer de penser à ce qui vous arrive de bien en ce moment afin de changer d'humeur. Si le sujet revient vous serez alors dans un autre état d'esprit et vous pourrez alors sûrement mieux le laisser passer sans lui accorder trop d'importance.
Les médicaments contre l'anxiété les plus courants sont les benzodiazépines. Les benzodiazépines sont une classe de médicaments qui peuvent aider à réduire l'anxiété et faciliter le sommeil.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Leur chef de file est la fluoxétine (le « fameux » PROZAC®). A savoir ! La sérotonine et la noradrénaline sont deux neuromédiateurs (messagers chimiques agissant au niveau des neurones). Ils interviennent dans la régulation de l'humeur.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.
Éloigner les pensées négatives. Affrontez vos peurs. Cela semble contrintuitif, mais la meilleure façon de se changer les idées est d'affronter le problème qui occupe son esprit. Cela évitera de laisser la même idée anxiogène revenir vous hanter jusqu'à ce que le problème soit réglé.
Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.
Ne pas aller directement se coucher, mais privilégier un moment plus calme, en lisant un peu, en écoutant une musique douce ou en pratiquant un petit exercice de respiration.
L'ancrage, le secret pour faire taire le brouhaha du mental
Voici les principaux : Dire adieu aux pensées obsédantes, récurrentes, qui tirent vers le bas. Prise de recul, détachement face à des situations délicates. Augmentation du sentiment de sécurité dans la vie.
Être toujours négatif, voir tout en noir, on l'a vu, c'est facile, ça ne demande pas d'efforts, le cerveau fait ça tout seul. On pourrait donc facilement s'en contenter, sauf que, à la longue, c'est un peu stressant, c'est dévalorisant, c'est un frein à la confiance en soi et ça empêche d'avancer.
« Quand on pense négativement, on trouve des problèmes partout. Quand on pense positivement, on trouve des solutions à tout. »
Distraire son esprit en discutant, entretenir le scepticisme et se donner une limite de temps comptent parmi les méthodes efficaces pour lutter contre la rumination, un réflexe susceptible d'augmenter le stress et les risques de dépression, selon Sonia Lupien.