1. Ouvrez un trou de 50 cm de diamètre minimum et 40-50 cm de profondeur. Evacuez les gros cailloux, les racines et restes de végétation. Apportez au fond du trou de plantation un engrais organique (Lombricompost + corne torréfiée) qu'il faut bien mélanger à la terre du fond.
Le principe consiste à tailler moins de 30% du volume de l'arbre et de ne pas couper de branche d'un diamètre inférieur à 5 cm. L'objectif est de donner à l'arbre une forme architecturée au fur et à mesure des tailles et de contrôler ainsi le volume qu'il occupera.
Sont bien adaptés : les petits fruits, la myrtille d'Amérique, mais aussi l'amélanchier, l'argousier, le goyavier du Chili sous climat doux, l'aronia, la camérisier, le cognassier, le feijoa, le néflier ou encore Poncirus trifoliata.
Pour planter le cerisier nain dans un jardin, il suffit de creuser un trou suffisamment large dans un espace bien dégagé. Comme le cerisier n'aime pas la terre trop compacte, il faut également lui offrir un sol aéré et bien drainé. Une fois en terre, un arrosage abondant est nécessaire.
Ce cerisier nain pousse dans tous types de sols, et de par son faible encombrement, ne nécessite presque aucune taille de fructification. En bac planter dans 2/3 de terre franche et 1/3 de terreau. Variété autofertile. Hauteur adulte : 1,50 m environ.
Peu encombrant, le mini-cerisier Sylvia est la variété idéale pour récolter des cerises sur un balcon ou une terrasse. C'est celle qui s'adapte le mieux à la récolte en pot. Un pot de 50 cm de hauteur et de 50 cm de large est suffisant.
Vous pouvez tailler vos pommiers, poiriers et même cognassiers tout l'hiver, en dehors des périodes de gelées : - Les tailles de formation et de rajeunissement peuvent se pratiquer de novembre à mars, - Les tailles fruitières, permettant d'optimiser la production de fruits, s'opèrent plus souvent en février-mars.
Raccourcissez la longueur des branches charpentières à 25 cm (prenez en repère la longueur du sécateur). Taillez alors au-dessus d'un œil pointant vers l'extérieur, pour privilégier une croissance bien droite de la branche principale. Taillez les branches latérales au-dessus du 3e bourgeon ou œil.
Comme pour les fruitiers classiques, il est préférable de planter les fruitiers nains entre mi-novembre et mi-mars. Des plantations plus tardives sont possibles mais demandent un suivi plus important (arrosages, etc.).
L'étêtage d'un arbre consiste à couper sa flèche lorsqu'il est en pleine croissance afin de limiter sa hauteur. Il doit être exécuté avec soin et surtout au bon moment, de façon à ce que la pourriture ne s'installe pas dans le tronc.
Elle consiste à couper les branches à hauteur de 25 % de leur longueur. Cette technique permet d'organiser la pousse de l'arbre qui se fera en hauteur. Les bourgeons poussant vers l'extérieur doivent être les plus travaillés.
Quand on coupe la tête d'un arbre, on supprime la dominance apicale, autrement dit l'acheminement de la sève en priorité vers le bourgeon terminal. Ce dernier détermine l'architecture et la hauteur de l'arbre. L'arbre a une hauteur et un volume déterminé propre à sa station de plantation.
Les abricotiers, originaires d'Asie Mineure, aiment la chaleur, supportent la sécheresse et craignent les régions humides. Ils forment de petits arbres à cime arrondie s'étalant avec l'âge, et culminent une fois adulte vers 6 à 8m de haut.
L'abricotier (Prunus armeniaca) est un arbre de petite taille au port naturellement étalé, dépassant rarement 6 mètres de hauteur, et appartenant à la famille des Rosacées. Sa durée de vie est en général de 40 à 45 ans, et on peut espérer récolter des abricots 3 ou 4 années après la plantation.
Ce sont des fruitiers pour les régions assez douces, qu'il faut impérativement placer en situation très abritée et ensoleillée, contre un mur exposé au Sud, dans les régions plus froides.
Un arbre fruitier autofertile est un arbre dont les fleurs assurent elles-mêmes leur fécondation à partir de leur propre pollen. Même si cela peut qualifier d'autres végétaux, ce sont surtout les arbres fruitiers qui sont concernés : kiwi, pêcher, cognassier, petits fruits rouges, figuier...
Une biodiversité riche et un écosystème actif :
Pour que l'arbre donne de nombreux fruits, votre jardin doit être riche en fleurs. C'est le meilleur moyen d'attirer les insectes qui viendront polliniser les arbres. Variez donc les plantes fleuries, les vivaces et les annuelles.
Effectivement, le cerisier n'est, à quelque exception près, pas autofertile. Pour donner des fruits, il faudra qu'il soit pollinisé par un autre arbre de variété différente. Mais avant de planter 2 arbres, vérifier que vos voisins n'en possède pas, jusqu'à une cinquantaine de mètres, la pollinisation fonctionnera.
Dans un petit jardin, si vous n'avez pas de cerisiers à proximité, plantez une seule variété autofertile comme un cerisier Montmorency ou un cerisier bigarreau Summit. Pour les climats froids, préférez un cerisier conduit sur tige greffé en tête.
Quand tailler le cerisier ? Privilégiez l'automne, quand l'arbre perd ses feuilles, en octobre et novembre, ou l'hiver hors périodes de gel et d'humidité. Si vous n'avez pas pu le tailler durant cette période, mars est encore un bon mois pour le faire.