Le participe présent peut être employé comme verbe ou comme adjectif. Lorsqu'il est employé comme verbe, il exprime une action. Il est alors invariable. On peut le remplacer par un autre temps du verbe, précédé de « qui, comme, lorsque,… » et il peut être également précédé de la préposition « en ».
Il y a deux temps du participe : le présent et le passé : dansant, dansé ; revenant, revenu. Le participe présent est un mot terminé par 'ant' qui marque l'action ; il ne varie jamais : 'On déteste les personnes reniant tout le monde. '
Le participe passé peut avoir plusieurs terminaisons, c'est un verbe conjugué à un temps composé. Le participe présent se termine par -ant, il est invariable.
Le gérondif se compose toujours de la préposition “en” suivie du participe présent (en rêvant). En l'absence de la préposition “en” (rêvant), le verbe sous la forme finissant par -ant est un participe présent.
Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "être", il s'accorde en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous sommes parti(e)s. Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "avoir", il ne s'accorde pas en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous avons essuyé la vaisselle.
Le participe présent est employé comme un verbe conjugué à un autre temps. Exemples : Comme j'aime la campagne, j'y vais le plus souvent possible.
Le participe présent est toujours invariable. Il faut prendre le verbe à la 1ère personne du pluriel (nous) de l'indicatif présent et remplacer la terminaison -ons par -ant. Exemple avec le verbe gober : nous gobons devient gobant au participe présent.
Comment conjuguer le participe passé
Les verbes finissant en -er ont leur participe passé en "-é" : Exemples : mangé, cherché, bougé, crié, parlé, payé... Les verbes finissant en -ir ont leur participe passé en "-i" : Exemples : parti, fini, menti, réussi, vieilli, grandi...
Le participe passé se forme à partir d'un verbe. En général, il se comporte comme un adjectif qualificatif, s'accordant en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. C'est ce cas que nous abordons aujourd'hui. -l'auxiliaire être : dans ce cas il s'accorde en genre et en nombre avec le sujet du verbe.
Le participe présent est une forme verbale qui marque une action et qui peut avoir un complément d'objet ou de circonstance. Il est invariable. Il se forme sur le radical de la 1ère personne du pluriel du présent de l'indicatif, auquel on ajoute la désinence –ant. Exemple : Nous allons » allant.
On accorde ou non les formes en -ant selon le cas. Le participe présent formé du radical du verbe et de la terminaison -ant remplit souvent la fonction d'adjectif. En revanche, il est invariable, donc ne prend pas la marque du pluriel ou du féminin pour s'accorder avec le nom qu'il qualifie.
Quand le verbe est employé aux temps composés, la place du COD détermine l'accord ou non du participe passé. Dans les exemples suivants, le participe passé s'accorde avec le COD (nom féminin singulier) car celui-ci est placé avant le verbe. Maxime a mangé une pomme. – La pomme que Maxime a mangée.
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Il représente l'être ou la chose qui reçoit directement l'action que fait le sujet. Je conduis la voiture. Maman fait les gâteaux. Pour reconnaître le complément d'objet direct, on pose la question "qui ?" ou "quoi ?" après le verbe.
Le gérondif est employé comme complément circonstanciel pour indiquer un fait intervenant en même temps qu'un autre fait exprimé : en salant mon plat, j'ai regardé Jeanne.
En effet, le gérondif passé se construit avec le participe présent de l'auxiliaire être ou avoir (étant ou ayant) suivi du participe passé du verbe, accordé selon les principes de l'accord du participe passé : « Ayant beaucoup travaillé, nous sommes fatigués » ou encore « Étant éloignée de la ville, elle en ignorait ...
Le gérondif s'utilise pour exprimer les circonstances de l'action exprimée par le verbe principal. C'est le temps idéal pour introduire un complément circonstanciel. Il permet de pouvoir désigner le verbe comme un adverbe tout en gardant ses propriétés de verbe. C'est en forgeant qu'on devient forgeron.
« J'aurai » ou « j'aurais » : quelle différence ? Tous deux sont des conjugaisons du verbe (auxiliaire) avoir. « J'aurai » est conjugué au futur simple, et « j'aurais » au conditionnel (présent) .
Quand utiliser le passé simple ? Le passé simple est employé pour désigner une action généralement courte, terminée dans le passé. Sur une échelle de temps, le passé composé, qui exprime lui aussi une action brève, se situe plus près du présent que le passé simple, plus lointain.
Avec l'auxiliaire être, le participe passé s'accorde au sujet (-e au féminin, -s au pluriel, -es au féminin pluriel). Elle est partie. Nous sommes parti(e)s. Ils sont partis.