Laissez la personne s'exprimer jusqu'au bout, ne répondez que lorsque vous vous sentez prêt. N'hésitez pas à lui demander un moment pour réfléchir. Et faites le tri : ce que l'on vous a reproché ne remet pas en question la totalité de votre être", conseille la spécialiste.
Dans ce cas précis, il vous suffit d'accepter simplement avec un sourire et de ne pas relancer. Ainsi, vous pouvez tout simplement répondre par « Tant mieux, cela semble résolu alors autant passer à chose » avec un sourire.
Éviter les contacts avec une personne particulièrement critique et ignorer la critique en évitant d'y accorder une importance et d'y répondre. Ne pas prendre personnellement une critique demande une bonne connaissance de soi-même.
Vous pouvez aussi répondre avec humour (selon l'interlocuteur que vous avez en face de vous, bien sûr) : “Qu'es-tu allée faire à Paris hier ?” “Écoute, si l'on te pose la question, tu pourras toujours dire que tu ne sais pas !” ? L'humour est souvent une bonne façon de détourner l'attention sans blesser personne, vous ...
Le critiqueur
Ses commentaires vous blessent et minent peu à peu votre confiance.
Différents facteurs peuvent en être la cause, mais un dénominateur est souvent commun : notre réaction face à cela. Peut-être avons-nous tendance à prendre tout ce qui arrive trop à cœur, comme des attaques sur notre propre personne, sans mettre de la distance et analyser le problème.
Le besoin d'appartenance à un groupe.
Il peut alors arriver que certaines personnes basent leurs relations sociales sur la critique des autres pour affirmer leur appartenance à un groupe. Ce comportement traduit alors généralement un manque d'estime de soi et un besoin d'être admiré et remarqué.
Évitez de rajouter à la tension et à la colère ambiante en vous montrant fermé et énervé. Ne croisez ni les bras ni les jambes, évitez de grimacer ou de regarder par terre et n'approchez jamais vos mains du visage de quelqu'un, n'envahissez pas son espace X Source de recherche .
Quand quelqu'un vous provoque verbalement et essaie de vous pousser à bout, choisissez tout naturellement de l'ignorer et de ne pas lui répondre, voire même de quitter la pièce sans mot dire. Cette méthode va embarrasser la personne qui essaie de vous toucher, et celle-ci se retrouvera penaud face à votre silence d'or.
Anne-Laure Buffet utilise le mot d'emprisonneur pour désigner les bourreaux, auteurs de violence psychologique (ces emprisonneurs peuvent être des hommes ou des femmes, de tout âge et de toute classe sociale).
Parlez à la première personne du singulier.
Parler en « je » vous permettra d'assumer vos sentiments : « j'ai été blessée que tu ais oublié mon anniversaire la semaine dernière ». Les formules en « tu », au contraire, amèneront facilement votre interlocuteur à se sentir attaqué : « tu ne t'intéresses pas à moi !
Restez calme. Quand ils se moquent de vous, soyez calme. Bien sûr, cela est plus facile à dire qu'à faire, surtout avec toute cette vague de gêne et de souffrance qui vous envahit. Cependant, garder votre sang-froid sur le moment est essentiel pour leur enlever le pouvoir qu'ils ont entre les mains.
Utilisez plutôt des techniques d'écoute et d'empathie lorsque quelqu'un vous critique. Répétez simplement ce que cette personne vous dit. Cela lui montre que vous l'écoutez sans vous forcer à répondre à ses demandes déraisonnables. C'est une meilleure technique que si vous commenciez à vous disputer.
Quand critiquer permet de s'adapter au monde
"Nous avons une capacité à porter un jugement sur notre propre pensée et celle des autres, c'est un fait de la psyché et de notre esprit humain". En effet, explique la psychologue, la critique permet de s'adapter au monde.
Signalez le dénigrement dès que cela affecte votre travail
Si vous savez qui ils sont, prévoyez simplement une discussion individuelle avec chaque personne, et expliquez que vous voulez que ce comportement cesse. Ceci est probablement la façon la plus efficace de résoudre le problème.
Réussir dans la vie, oui, mais ne pas croire en ses capacités. Voici comment l'on pourrait résumer le syndrome de l'imposteur. Découvert aux Etats-Unis à la fin des années 1980, il touche certaines personnes qui ne s'attribuent pas le mérite de leur succès.
Les personnes psychorigides manquent en réalité souvent de confiance en elles. "Il faut", "c'est comme ça et pas autrement", "il n'y a que cette manière de faire qui soit la bonne": ces injonctions reviennent sans cesse dans la bouche d'une personne psychorigide.