Par exemple, 36 x 4 = 36 x 2 x 2 = 72 x 2 = 144. Pour multiplier par 10, c'est très simple, surtout quand cela concerne un nombre entier, il suffit de rajouter un zéro derrière le dernier chiffre comme dans 128 x 10 = 1280.
Avec les doigts de vos deux mains, vous pouvez calculer toute la table de 9. Mettez vos mains devant vous, les doigts tendus. Comptez maintenant le nombre que vous voulez multiplier par 9 de gauche à droite sur vos doigts, en commençant par le pouce de votre main gauche. Il suffit de plier le doigt correspondant.
La dyscalculie, ou « difficulté à calculer », est un trouble spécifique du développement (tel que la dyslexie, dyspraxie…) qui correspond, donc, à un trouble dans les apprentissages numériques, sans atteinte organique ni troubles envahissants du développement et sans déficience mentale.
Lorsqu'on effectue mentalement une soustraction, on peut d'abord arrondir les nombres à soustraire et, par la suite, ajuster le résultat. Mentalement, trouver la différence de 112 et 90. 112 arrondi à la dizaine près donne 110; 90 arrondi à la dizaine près donne 90.
– Pour diviser un nombre par 15, 150, on le divise par 10, 100, et l'on prend les 2/3 du résultat.
Pour diviser un nombre par 9, on le divise par 3, puis on divise le résultat par 3.
La méthode Abacus se divise en deux étapes : Les enfants apprennent d'abord à compter à l'aide de l'Abacus (boulier). Ils se familiarisent avec les boules et les différentes opérations qu'elles permettent de réaliser. À force de séances avec le boulier, le calcul mental devient de plus en plus rapide.
Il est basé sur un système numérique quinaire (à base de cinq). Grâce à l'outil, l'enfant apprend l'addition, la soustraction, la multiplication et la division de façon beaucoup plus complète. Dans un deuxième temps, quand les enfants maîtrisent le boulier, on l'enlève.
Il suffit de prendre le premier nombre et de lui ajouter le chiffre des unités de l'autre puis de multiplier le résultat par les dizaines du second nombre et d'ajouter à ce résultat la multiplication des unités des deux nombres.
La meilleure astuce pour multiplier un chiffre par le facteur 12 est la simplification du facteur 12 qui se compose de 2 + 10. Une fois décomposé, on multiplie ces deux composants par le multiplicande donné, et on les somme, voici un exemple d'application : 8 x 12 = 8 x (10 + 2) = 80 +16 = 96.
Inférer la règle : « Pour multiplier par 15, on multiplie par 10 et on ajoute la moitié. »
Pour obtenir 25% d'un nombre, il suffit de le diviser par 4. Calculer 20 % d'une valeur équivaut à la diviser par 5. 10 % d'un nombre revient à le diviser par 10. Pour trouver 5 % il suffit de diviser la valeur par 20.
Un nombre est divisible par 3 uniquement si la somme de ses chiffres est divisible par 3. Par exemple, pour 13456, il suffit d'additionner tous les chiffres et l'on obtient la somme de 19 puis on recommence et cela donne 1+9 soit 10 et encore une fois 1+0 =1.
Exemple : multiplication de 9 par 7 sur les doigts
On multiplie par dix le nombre des doigts repliés sur les deux mains : (4 + 2) x 10 = 60, et on ajoute à ce résultat le produit des doigts levés d'une main par les doigts levés de l'autre : 1 x 3 = 3. On aboutit à 60 + 3 = 63.
La méthode Trachtenberg est une méthode de calcul mental inventée par Jacow Trachtenberg dans le but de garder un esprit sain lors de son emprisonnement dans un camp de concentration pendant 7 ans. Cette méthode permet d'effectuer rapidement des multiplications complexes en les décomposant en calculs plus simples.
La dyspraxie est une perturbation de la capacité à effectuer certains gestes et activités volontaires (nommé "praxie"). Ce trouble des apprentissages résulte d'un dysfonctionnement de la zone cérébrale qui commande la motricité. La dyspraxie est fréquente et touche 5 à 7% des enfants de 5-11 ans.
handicap TSL
Quand les troubles tels que dyslexie, dyspraxie, dysphasie, dysorthographie, dyscalculie, dysgraphie sont sévères, ils sont alors traités comme un handicap.
La médecine ou le psychologue du travail également s'il en ressent le besoin. Le professionnel atteint de dyscalculie ne doit surtout pas se sentir « à part » et doit pouvoir en toute confiance prendre un peu plus de temps sur les nombres et déléguer.