Le verbe regretter est le moyen le plus simple pour exprimer le regret : Je regrette de ne pas avoir invité Victor. Nous regrettons ce qui vous est arrivé. Juliette a beaucoup regretté que Victor ne soit pas venu.
Malheureusement, tu as fait les frais de mes sautes d'humeur et j'ai honte quand je repense à tout ce que je t'ai fait subir. Sache que tu comptes toujours beaucoup pour moi. Tu es celle que j'aime et je ne voudrais pas te perdre à force de mauvaise humeur et de plaintes incessantes.
J'aurais voulu que tu puisses seulement te souvenir des moments heureux, mais j'ai tout gâché à cause de mon égoïsme. Je t'ai volé ces moments heureux. Bien que je ne puisse vraiment savoir comment tu te sens, je sais que je ne pouvais pas te faire de pire chose que celle-là. »
Trouvé à l'intérieur – Page 421( espérer ) Subjonctif et indicatif : je regrette que , je me plains de ce que , etc. On emploie le subjonctif après des verbes qui expriment une émotion ... Et comme il s'agit d'un fait, sans qu'il y ait de regret ou de volonté d'une autre situation, il faut utiliser un indicatif.
Les verbes dire, affirmer, prévoir, penser, croire, espérer, être certain, imaginer, être probable, utilisés à la forme affirmative ont une valeur de vérité : on utilise donc l'indicatif dans la proposition qui suit.
Verbes de doute/incertitude (douter, ne pas → être sûr , ne pas être certain ...)
Apprendre à s'aimer, à se pardonner, à être indulgent avec soi et les autres, à être son propre ami, à se respecter, à s'accepter même imparfait, aide à avancer sur le chemin de l'estime de soi. Des techniques comme l'auto-hypnose, le développement personnel, peuvent améliorer l'estime de soi.
Dans votre lettre, concentrez-vous sur le fait que vous êtes désolé, sans chercher à justifier votre comportement. Évitez les phrases comme : « Je m'excuse pour mon comportement, mais j'étais très stressé. » Dites plutôt : « Je suis désolé pour mon comportement et pour la façon dont je vous ai traité.
Il faut mettre les mots sur son manquement, son erreur. Et pour cela, il faut rester factuel et le présenter comme un constat : "Je suis désolé. Tu as essayé de me parler, tu m'as aussi envoyé des mails, mais c'est vrai, je ne t'ai pas écouté, je n'ai pas saisi l'urgence, alors que j'aurais dû me rendre disponible".
Le monde devient merveilleux et lumineux quand je suis avec toi. J'ai besoin d'être avec toi, de vivre et de jouir de notre si bel amour. Sans toi, il n'y a pas d'amour, sans toi, je n'existe pas. Sans toi, le monde est vide et n'a aucun sens, je te demande de rester à mes côtés, car j'aurai toujours besoin de toi.
Pardonne-moi mes erreurs, mes défauts, ma fragilité et mes limites. Je te présente mes plus sincères excuses! Aujourd'hui, je me réveille et je me rends compte que je te dois plein d'excuses. J'ai réalisé que je n'ai pas été à la hauteur de tes attentes et ça me brise le coeur…
La honte est une émotion mixte, à la base un mélange de peur et de colère, que l'on ressent lorsque l'on ne se sent pas suffisamment à la hauteur de ce que les autres attendent de nous. Elle fait partie des émotions les plus destructrices car elle peut anéantir complètement la confiance en soi.
Pour résorber une blessure de l'humiliation, il faut essayer de rétablir la vérité et remettre au centre de sa vie ses réalisations et ses accomplissements positifs.
Assumez. Si la situation le permet, ne vous cachez pas. Affirmez-vous et montrez aux personnes qui vous entourent, mais surtout à vous-même, que cette mauvaise passe ne vous définit pas et ne va pas vous détruire. Ne vous laissez pas dominer par la honte et l'humiliation.
pratiquer la méditation de pleine conscience. lorsque des pensées du passé surgissent, les laisser simplement s'exprimer un instant avant de se concentrer à nouveau sur la respiration. Ce processus continu de retour au présent est la base de la pleine conscience.
Le site du CNRTL définit le passéisme comme un « attachement excessif au passé » et le passéiste comme une personne « excessivement attachée au passé », présentant donc le terme comme étant lié à une exagération du sentiment de nostalgie.
Je doute qu'il vienne. Je ne suis pas sûr qu'il finisse à 10 h. J'ai peur qu'il sorte avant. Je n'espère pas qu'il vienne.
Pour exprimer un doute, on utilise le subjonctif: le subjonctif présent ou le subjonctif passé selon le contexte. Je ne crois pas qu'ils aillent au cinéma ce soir. Pour exprimer une certitude, on utilise l'indicatif: tous les temps de ce mode sont possibles tant qu'ils correspondent au contexte.
Après les expressions qui expriment : la possibilité, le doute ou l'incertitude, comme il est possible que, il est peu probable que, on trouve le subjonctif. Il est peu probable qu'il fasse beau samedi faire, subjonctif présent.