Pour être quasiment certain d'éviter tous les radars, automatiques et mobiles, il suffit d'avoir dans sa voiture un certain type de PDA (petit agenda électronique). Mode d'emploi détaillé avec Caradisiac.
Les moyens pour ne pas se faire flasher inefficaces
Le conducteur doit appliquer un vernis sur leur plaque auto, permettant ainsi de refléter la lumière des flashes des radars et donc, d'éviter que le numéro d'immatriculation puisse être visible sur la photo prise, même par les nouveaux radars.
On peut également utiliser des réflecteurs radar, un objet à plusieurs faces réfléchissantes. Enfin, il est aussi possible d'utiliser des leurres, des objets volants télécommandés qui permettent de tromper l'opérateur radar, plutôt utilisés par les avions militaires.
Cacher une partie de la plaque: sans être totalement dans l'illégalité, il est possible de dissimuler une partie de sa plaque en installant un attelage volumineux (mais homologué) à l'arrière de sa voiture. Pour un masquage maximal, certains optent pour la balle de tennis coupée placée sur la boule de l'attelage.
Mais l'administration admet une marge d'erreur, elle varie en fonction de la vitesse à laquelle vous roulez. Si la vitesse est comprise entre 50 et 90 km/h la tolérance est de 5 km/h. Ainsi vous ne serez flashé qu'à partir de 56 km/h en agglomération. Ou 76 km/h pour une vitesse limitée à 70 km/h.
Notez la présence d'un gros boîtier sur le tableau de bord : les voitures-radar banalisées sont équipées d'une caméra pour flasher les infractions routières. Cette caméra est identifiable grâce à sa forme de gros boîtier posé sur le tableau de bord de la voiture.
Si vous êtes sûr d'avoir été flashé et que vous ne recevez pas d'avis de contravention, vérifiez l'adresse indiquée sur votre certificat d'immatriculation (nouveau nom de la carte grise). Si l'adresse n'est pas à jour, le délai de réception de l'avis de contravention est rallongé.
Non, le radar n'est pas infaillible ! En matière d'excès de vitesse, la contestation est possible, même lorsque c'est une machine, parfaitement automatisée et apparement sans défaillance, qui relève l'infraction.
Le Conseil constitutionnel a tranché : les contrôles de vitesse ne font pas partie des opérations des forces de l'ordre dont le signalement est désormais interdit sur les applications telles que Coyote et Waze. Publié le 25/11/2021 - 15:59 Mis à jour le 25/11/2021 - 16:27.
Concrètement, il convient d'envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception à l'Officier du ministère public (OMP), dont les coordonnées figurent sur l'avis. Joignez-y l'original de l'avis et expliquez le motif de la réclamation. "Si le PV comporte des erreurs criantes, l'OMP peut faire sauter l'amende.
La contestation de l'amende doit se faire dans les 45 jours suivant la date d'envoi de l'avis de contravention. Dirigez-vous directement sur l'interface du site de l'Agence nationale de traitement automatisé des infractions (l'ANTAI). Cliquez sur « Désigner, contester en ligne ».
Comment est-ce possible? Selon le fabricant, le PhotoBlocker réfléchirait la lumière du flash du radar photo et créerait une zone surexposée sur la plaque d'immatriculation. Nous avons appliqué une couche de PhotoBlocker sur une plaque, et quatre couches sur une autre plaque.
Elles peuvent flasher en pleine journée, la nuit, les jours fériés ou les week-ends sans distinction.
Si vous pensez en avoir détecté un, gardez un œil sur le porte-bagages arrière, où l'on aperçoit une boîte noire et deux petites caméras, si la lunette arrière n'est pas teintée... Quoi qu'il arrive, ce n'est pas cet appareil qui vous flashe, mais « l'œil » placé sur le tableau de bord.
Les voitures-radar, anciennement appelées «équipement de terrain mobile (ETM)» ou «radar mobile de nouvelle génération», sont des appareils embarqués à bord de voitures banalisées, conduites par des gendarmes, des policiers en uniforme ou des sociétés privées habilitées par l'État.
Lorsque le radar enregistre une vitesse supérieure à celle pour laquelle il est calibré, il émet un flash qui correspond à la prise d'un cliché. Souvent, ce sont en fait deux clichés qui sont pris: un pour lire la plaque, un autre pour identifier le conducteur.
En réalité le flash est double mais un seul flash est visible à l'oeil nu. En effet, la scène est figée 2 fois, la première photo permet de visualiser les occupants du véhicule et la seconde privilégie la lisibilité de la plaque minéralogique.
Si vous êtes descendu à la limite maximale autorisée moins de 50m avant le radar, c'est trop tard ! La plupart des radars, en particulier les radars fixes, flashent à une distance de 50m. Les radars discriminants, toutefois, modèles datant de 2011, flashent à 45m et sont plus précis dans tous les domaines.
Sur route et autoroute
Le conducteur commettant un excès de vitesse de 10 km/h s'expose donc à une amende forfaitaire de 68 euros (Amende minorée : 45 euros - Amende majorée : 180 euros) et à un retrait d'un point.
Marge technique
En dessous de 100 km/h, une marge de 5 km/h est décomptée de la vitesse enregistrée, à l'avantage du conducteur. Pour les limitations au-dessus de 100 km/h, la marge est de 5 %, également prise en compte à l'avantage du conducteur.
Excès de vitesse égal ou supérieur à 20 km/h et inférieur à 30 km/h. Amende forfaitaire de 135 euros ; Retrait de 2 points sur permis de conduire.
Le coyote est avant tout un avertisseur de radars. 100% légal puisqu'il ne fait qu'avertir (il ne détecte pas), il vous permettra d'être averti des radars fixes, mobiles, feux rouge... et par la même occasion des contrôles routier ce qui vous aidera à conserver vos points de permis de conduire.
Par exemple, pour un excès de vitesse de 1 km/ (hors zone 50), le montant de l'amende forfaitaire serait désormais de 45 € + (1% x 45€) = 45,45 euros au lieu de 68 euros actuellement.
Le Code de la route prévoit une amende forfaitaire de 135 € (contravention de 4e classe) pour tout excès de vitesse de moins de 50 km/h. Seule exception, lorsque l'excès est inférieur à 20 km/h et que la vitesse maximale autorisée est supérieure à 50 km/h, l'amende ne dépasse pas les 68 € (contravention de 3e classe).