Essayez de dire ce que vous avez à dire en 20 secondes et donnez l'occasion à la personne qui vous écoute de partager aussi des informations. En général, essayez de ne pas parler plus de 40 secondes d'affilée. Si vous parliez plus longtemps, l'individu qui vous écoute pourrait se sentir irrité ou s'ennuyer.
Garder le silence pendant une conversation. Réfléchissez avant de parler. Les personnes très bavardes n'en sont pas capables. Ainsi, la prochaine fois que vous mourrez d'envie de dire quelque chose, faites une pause, attendez une minute et demandez-vous si ce que vous allez dire sera bien utile.
Derrière le bavardage peut se cacher une excitation ou une angoisse . Adultes comme enfants, nous sommes traversés chaque jour par une multitude d'angoisses . C'est normal et il n'y a pas de quoi s'inquiéter. Mais n'ayant ni la maturité ni les outils pour les affronter, l'enfant fait diversion .
Après avoir interrompu votre interlocuteur, rebondissez sur l'un de ses propos, de manière brève et concise, pour lui montrer que vous avez écouté et compris et que la parole est désormais dans votre camp. Ne vous laissez pas interrompre et n'hésitez pas à répéter « c'est à mon tour de parler maintenant ».
Essayez de dire ce que vous avez à dire en 20 secondes et donnez l'occasion à la personne qui vous écoute de partager aussi des informations. En général, essayez de ne pas parler plus de 40 secondes d'affilée. Si vous parliez plus longtemps, l'individu qui vous écoute pourrait se sentir irrité ou s'ennuyer.
Pourquoi certaines personne parlent trop
C'est le plus souvent une question de personnalité, mais aussi de circonstances. «Certaines personnes peuvent avoir énormément confiance en elles au travail, par exemple, mais perdre tous leurs moyens face à un individu qu'elles admirent, déclare Camillo Zacchia.
– loquace :une personne loquace (même origine que "éloquent") parle volontiers et abondamment mais ses propos sont souvent de peu d'importance ; – prolixe : un discours prolixe est trop long, chargé de détails inutiles. Bref, on s'ennuie !
Loquace signifie qui parle beaucoup. Quelqu'un de loquace a tendance au bavardage, il apprécie parler. Ce terme est aussi souvent utilisé à la négative pour désigner quelqu'un qui parle peu : "qui n'est pas loquace".
Du latin eloquens, « qui parle bien », l'adjectif éloquent s'attache à la qualité du discours. Il est très utile pour saluer l'aisance avec laquelle une personne s'exprime. Quelqu'un d'éloquent saura captiver son auditoire tant par le fond que par la forme.
Levez la main légèrement pour signaler « stop ». Faites-le avec respect. Si la personne ne vous remarque pas, levez la main un peu plus haut. Et enchaînez tout de suite en lui disant : « Écoute, Paul, tu me parles de…, mais moi, ce dont je veux te parler, c'est… »
La logorrhée est un terme médical qui désigne une surproduction verbale. Une personne logorrhéique ressent un besoin intarissable de parler. Son flux de paroles est précipité, diffus et continu. La logorrhée est souvent associée à une tachyphémie, c'est-à-dire à une accélération progressive du débit d'élocution.
Faire une cure de silence chez soi
Prévenez votre entourage et accordez-vous, en deux heures ou en deux jours, un grand bol d'intériorité. Confrontez-vous à l'ennui. Assis devant votre fenêtre, regardez dehors… d'abord vingt minutes, puis une heure… Agité au départ, vous sentirez peu à peu le calme vous envahir.
On ne doit cesser de se taire, que quand on a quelque chose à dire qui vaut mieux que le silence. Parfois, il est préférable de taire certaines choses à une personne qui n'est pas prête à les entendre. Un être humain a besoin de deux années pour apprendre à parler, et de toute une vie pour apprendre à se taire.
- Pour soi - parce que le silence est vital pour notre cerveau : la recherche montre que 2 heures de silence par jour régénèrent les cellules de l'hippocampe - responsable de l'apprentissage et des émotions. Et 2 minutes de silence complet suffisent déjà pour libérer le stress.
Contrairement aux idées reçues largement répandues, parler tout seul n'a rien d'anormal. Cette habitude peut certes paraître étrange vue de l'extérieur, mais elle est bien loin de cacher un quelconque trouble psychologique.
Parler trop fort peut être un signe de perte d'audition. Les autres signes de perte auditive neurosensorielle comprennent la difficulté à entendre lorsqu'il y a beaucoup de bruits de fond et l'incapacité à comprendre clairement ce que les autres disent.
Dabney, psychothérapeute exerçant à Virginia Beach (Virginie), fait savoir qu'il est “tout à fait normal de se parler à soi-même”. Il ne s'agit pas nécessairement d'une habitude vouée à disparaître en grandissant ou d'un signe de maladie mentale mais d'une pratique bien plus courante qu'on ne pourrait le penser.
Lorsqu'une personne parle très peu, on peut la qualifier de discrète , timide ou taciturne . Si elle ne parle pas du tout, on dit qu'elle est muette , silencieuse .
Les ultracrépidariens : des personnes qui donnent leur avis sans avoir de connaissances sur le sujet.
N'entamez pas la conversation comme si vous tentez de convaincre la personne que votre opinion, votre point de vue ou votre façon de faire est la bonne. Essayez plutôt d'apprendre et de tirer des leçons de ce qu'il dit. Ne manipulez pas la conversation afin de parvenir à vos fins et d'écraser l'autre personne.
Observez le langage corporel de votre interlocuteur.
Ou est-ce que votre interlocuteur vous ignore simplement et initie une conversation avec une autre personne ? Il s'agit de signes évidents que vous avez tendance à trop parler et que cette situation soit frustrante ou ennuyante pour votre interlocuteur.
La personne qui monopolise la conversation sur elle-même a rarement conscience du problème. Pour l'aider à changer, il vaut mieux utiliser un peu de légèreté ou une pointe d'humour. Au sein de la famille, on peut aussi veiller à répartir le temps de parole entre les enfants et les parents.
"Parler à haute voix existe dans les troubles psychotiques sévères où les personnes ont perdu cet autre intérieur qui nous permet de nous parler en silence, précise le psychiatre. Ils ont besoin de soliloquer, d'être dans des invectives, ce que provoque aussi l'ivresse.