Pour être femme avant d'être mère, il faut accepter de penser à soi. Nous nous sacrifions souvent pour répondre aux besoins de nos enfants. Sur le fond, l'attention est là. Sauf que l'on finit par ignorer au fil du temps une personne très importante : soi-même.
Posez les règles avec votre famille, chacun doit jouer le jeu et vous laisser en paix pendant 30min. Je vous assure que cela est possible ! – On en vient alors au second point pour ne pas s'oublier : trouver du temps pour soi. Même 10min par jour, vous verrez que le changement sera radical !
Cultivez votre calme et diminuez les bruits
Si vous voulez que votre enfant retrouve sa sérénité, il vous faut montrer l'exemple, en restant calme. Tout ce que vous allez faire, ressentir, dire, va avoir un effet sur lui. Alors offrez-lui un environnement propice au calme. La vie de famille peut parfois être fatigante.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
Être conscient de soi, c'est accueillir sans juger, critiquer ou combattre tout ce qui se passe en soi, en terme de pensées, d'émotions, de sentiments, de comportements. C'est donc avoir la capacité de s'observer en toutes circonstances. Observer ses actes, ses pensées, ses émotions, ses sentiments et ses réactions.
"Être une bonne mère, c'est être une mère suffisamment bonne”, disait Donald Winnicott, éminent pédiatre et psychanalyste anglais (1896-1971). Une mère sachant répondre aux besoins et désirs de son enfant, sans les ignorer... ni les devancer. Il faut le clamer haut et fort, la mère parfaite n'existe pas.
Maman renvoie à la sphère privée, à l'affectif
Pensons à l'expression C'est l'heure des mamans. À l'école élémentaire, l'enfant gagne en autonomie et le mot s'efface au profit de mère. La différence entre la sphère privée et la sphère publique est cette fois bien claire.
Ne tenez pas compte des opinions alarmistes et ayez recours à votre jugement pour départager les dangers réels de ceux qui n'en sont pas. En parler avec des proches ou des personnes de confiance peut aussi vous aider à prendre du recul et à voir la situation de façon plus objective.
Les mères narcissiques qui se sentent accablées par la maternité négligent leurs enfants, elles leur mettent la honte et les critiquent, parfois parce qu'elles sont trop nécessiteuses ou enfantines. Elles sont elles-mêmes dans le besoin et ne peuvent pas subvenir aux besoins de leur enfant.
Non, il n'est pas obligé d'aimer sa mère du point de vue du devoir, si celle-ci lui nuit et ne lui porte elle-même aucun amour. Mais de là à dire qu'on peut réellement ne ressentir strictement aucun amour pour sa mère, quel que soit son comportement, il est plus compliqué d'y répondre.
Nous avons des émotions bloquées et les voir chez nos enfants nous exaspère/frustre. Nous nous interdisons d'exprimer nos émotions et ne supportons donc pas celles de nos enfants. Nous ressentons une émotion à la place d'une autre : la colère se déclenche pour cacher une ancienne tristesse par exemple.
Il correspond à la femme qui réalise la majeure partie des tâches qualifiées de ménagères, telles que : l'entretien du logis, les achats de consommation courante, la préparation des repas, la surveillance et l'éducation des enfants, à titre d'exemples.
L'avantage premier est bien entendu d'être avec ses enfants toute la journée (ou presque si certains sont scolarisés). On peut prendre les rendez-vous médicaux à n'importe quels moments. On peut rester avec notre loulou quand celui ci est malade. Pareillement avec papa.
La mère, toujours la mère ! Dans les articles, la mère représente la figure d'attachement principal, celle qui répond aux besoins “primaires” de l'enfant, dont le lien avec lui est “naturalisé” par le cordon ombilical, la grossesse ou encore l'allaitement.
Différentes utilisations du terme
Aujourd'hui, on parlerait plutôt de mère monoparentale. Une femme qui porte un enfant pour une autre personne ou un couple est appelée « mère porteuse » (GPA) ou « génitrice » (ou « gestatrice » si elle porte l'enfant sans fournir l'ovule).
Cet usage s'est répandu dans les dernières décennies au point de faire entièrement disparaître « ma mère » et même « maman ». Pourtant l'un et l'autre sont parfaitement corrects et justes du point de vue de la langue lorsqu'on veut désigner la femme qui vous a mis au monde (ou adopté).