S'exprimer à l'oral demande avant tout de savoir placer des mots variés pour que votre cible puisse vous comprendre en une seule phrase. Oubliez le superflu et travaillez votre expression orale : diction, expression, comparaison, métaphore, etc. Tout est bon pour que vous puissiez faire la différence.
Tout d'abord, pour apprendre à parler, il est bien de commencer par l'écriture des textes. Mettre nos pensées sur la feuille nous discipline énormément. Autres choses, nous pouvons mettre un cadre concernant le volume de notre travail, ce qui nous aide à apprendre à parler plus court et plus clairement.
Parlez à haute voix, lisez des textes en articulant, apprenez de nouveaux mots dans le dictionnaire… Puis répétez, chaque jour, des phrases et expressions qui permettent de développer votre éloquence. Attention, parler à voix haute ne veut pas dire crier. Vous devez rester naturel !
Poussez volontairement la voix, sans crier, forcez vous à parler à la limite du supportable pour vous. C'est à ce moment là que vous atteindrez le niveau sonore optimal pour que vos interlocuteurs puissent vous entendre correctement. Une conversation normale tourne autour de 60 décibels.
Ne parlez pas trop fort.
Faites en sorte de baisser votre voix quand vous parlez aux gens et attendez le bon moment pour attirer leur attention plutôt que de parler si fort que l'on soit obligé de vous écouter. N'interrompez pas non plus brusquement les gens pour essayer d'exprimer votre point de vue.
Parler avec constance, même si vous êtes avec beaucoup de gens, est un signe de classe, car cela signifie que vous avez suffisamment confiance en vous pour n'avoir pas besoin de crier pour attirer l'attention des gens.
Regardez la personne qui parle dans les yeux et prêtez attention à ce qu'elle dit. Réagissez de manière appropriée à ce qui se dit. Souriez quand vous entendez quelque chose d'amusant, froncez les sourcils quand vous entendez quelque chose de triste et faites un signe de tête poli pour montrer que vous êtes à l'écoute.
À FAIRE : Dites aux gens qu'ils comptent.
Avant toute chose, assurez-vous de renforcer votre relation avec la personne. Dire des choses comme : «Avant de dire quoi que ce soit, je veux m'assurer que tu sais que je me soucie de toi» ou «Je veux te respecter et apprécier ton point de vue» .
L'écoute active est utile lorsque ton interlocuteur te fait part d'un souci. Au lieu de lui donner toutes les solutions qui te passent par la tête, de minimiser son problème ou d'essayer de le raisonner, il s'agit tout simplement de l'écouter vider son sac.
Parfois, c'est à cause de leur attitude, de leur façon de nous regarder, de s'adresser aux autres, de leur façon d'envahir l'espace et même de leur façon de parler. C'est comme si, en nous, un système d'alarme sophistiqué et instinctif était activé, capable d'indiquer qui nous devions nous échapper ou être prévenu.
L'anxiété sociale se manifeste par une quête constante d'équilibre entre le nombre de relations susceptibles d'apporter le bonheur et celles pouvant être source de stress extrême. Elle est provoquée par une conscience de soi amplifiée, poussant l'individu à trop se focaliser sur elle-même et à tout ramener à elle.
D'abord, certaines personnes détestent, littéralement, les empathes parce que comme on est en osmose avec nos émotions, on agit comme un miroir. On ressent, interprète et reflète les émotions des autres et c'est parfois difficile à supporter pour ces personnes.
l'aphasie est un trouble du langage est assez fréquent. Bien souvent, il s'agit d'une séquelle d'accident vasculaire cérébral, de traumatisme crânien ou encore de tumeur cérébrale. L'aphasie correspond à la perte partielle ou totale du langage.
Il peut s'agir de l'aphasie mais ça peut aussi provenir d'une toute autre cause. Une cause par exemple motrice, une maladie musculaire, une maladie des nerfs moteurs qui empêche la prononciation des consonnes. Il faut donc un diagnostic neurologique.
Ce blocage viendrait d'un défaut de transmission entre les zones du cerveau. Entre celles qui stockent le sens du mot et celles qui conservent sa forme phonologique et graphique. Un contexte trop éloigné, un peu de fatigue, du stress, et les connexions neuronales ne se font pas. C'est le « couac ».