Selon l'historien Ibn Khaldûn, le terme al-Djazayr désignant aussi bien la capitale algérienne que le pays (l'Algérie) a été utilisé par Bologhine ibn Ziri qui a fondé la ville d'Alger sur l'emplacement de l'ancienne Icosium romaine en 960. C'est le terme al-Djazayr qui a donné ensuite Alger et Algérie.
Le territoire était appelé à l'époque qotr al-jaza'ir (qotr : territoire, province), watan al-jaza'ir (watan : patrie, pays) et al-jaza'ir tout court.
En français, le pays est désigné, avant 1830, par les expressions les plus diverses : « Barbarie », « El Djezair », « Numidie », « Africa », « Ifrikyia », « Royaume d'Alger », entre autres.
L'Algérien est un ressortissant de l'Algérie, pays indépendant depuis 1962, et cela quel que soit le groupe ethnolinguistique auquel il appartient. Un Kabyle est originaire de la Kabylie, région montagneuse située à l'est d'Alger. Être algérien ne signifie pas forcément être arabe, puisque les Kabyles sont berbères.
Dans l'Antiquité, le territoire algérien connaît la formation des royaumes numides considéré comme le premier état algérien de l'histoire, avant de passer sous la domination partielle des Romains, des Vandales, des Byzantins et des principautés berbères indépendantes (notamment le royaume d'Altava et le royaume des ...
Ceux-ci sont principalement d'abord ceux des Gétules au sud de la région, puis ceux des Garamantes et finalement des Numides. Puis viennent les Romains, les Vandales ariens et les Byzantins orthodoxes.
Par conséquent l'Algérie, sur le plan ethnique, n'est pas une juxtaposition d'Arabes et de Berbères (comme on l'entend dire si souvent), mais un mélange arabo-berbère qui, embrassant la même foi et adhérant au même système de valeurs, est animé par l'amour de la même terre11 ».
Selon la définition la plus courante en usage aujourd'hui en Algérie, le Kabyle est celui dont la langue maternelle est le kabyle, ou sinon dont les parents ont le kabyle pour langue maternelle.
Ce surnom viendrait du fait que les chauffeurs des bateaux à vapeur avaient l'habitude de marcher pieds nus dans la soute à charbon du navire. Ces chauffeurs étant souvent algériens, « pied-noir » a ensuite désigné, par extension, un Algérien.
La défaite d'Abd-el-Kader, le 14 août 1843, marque la bascule en faveur de la France et l'Algérie devient constitutionnellement territoire français en 1848. Une loi de 1873 scelle la francisation de la propriété et la spoliation des tribus. En 1870, le décret Crémieux accorde la citoyenneté française aux seuls juifs.
Re: L'origine génétique des algériens
25% est une moyenne, mais rien d'autre. Donc, on peut hériter de 35% de son grand père paternel, et donc de seulement 15% de sa grand mère paternelle. Et certains ancêtres, même assez proches, ne nous ont rien laissé du tout.
Concernant l'Algérie, une précision s'impose. Si la France a créé les frontières algériennes en 1830, l'État algérien a été créé par l'Algérie indépendante en 1962. La France a créé les départements français d'Algérie et non l'État algérien.
Au premier siècle avant notre ère, les Romains occupèrent l'Afrique du Nord (dont le territoire de l'Algérie actuelle) et transmirent leur civilisation aux populations locales.
La partie occidentale a pris le nom de Maurétanie césarienne et la partie orientale celui de Maurétanie tingitane. Le nord du territoire algérien actuel était divisé entre l'Afrique proconsulaire et la Maurétanie césarienne, suite au partage de la Numidie, après la guerre de Jugurtha.
La Tunisie est quant à elle le pays le plus âgé (31,4) du Maghreb, mais également de l'Afrique.
L'islam a été introduit en Algérie pour la première fois en 670 par les armées du général Arabe Oqba Ibn Nafaa, dans le contexte de la conquête musulmane de l'Afrique du Nord sous les ordres des Omeyyades. La première mosquée fondée en Algérie est la mosquée Sidi Ghanem de la ville de Mila en 678.
Sans grande surprise, les prénoms Mohamed, Ahmed, Abdelkader, Ali et Youcef sont les plus répandus chez les garçons, sur toute la période. Chez les filles, par contre, bien que les classiques : Miryam, Fatima et Amina reviennent souvent, les listes sont plus fluctuantes.
et le nom de famille le plus porté. parmi tous les Algériens, c'est saïdi.
Parce souvent ils ne portaient pas de chaussures dans les « bleds », les villages. Comme ils allaient pieds nus, ils avaient les pieds sales. Cette désignation serait ensuite passée en métropole où elle aurait désigné les Français d'Algérie, une façon de les cataloguer comme des Français de seconde zone.
D'un côté huit millions d'Algériens, de l'autre un million (soit 11 % de la population totale). On a longtemps cru distinguer dans celle-ci deux races : l'une berbère, l'autre arabe. Les indigènes quant à eux se prétendent tous Arabes.
Ainsi l'on dit généralement que les indigènes sont d'origine berbère; or les Berbers sont considérés comme étant de race blanche, mais pour expliquer l'existence des Marocains à peau noire l'on tourne la difficulté en admettant que ce sont des Berbers métissés de nègres.
La distinction entre Arabes et Berbères est renvoyée à une différence généalogique, d'ancêtres et de lignée, ce que l'on traduit par race. Ce qui est ethnique, relève donc du système de représentation collective par la parenté.
« Marseille est la plus grande ville algérienne en France », se réjouit le maire Benoît Payan.
L'immigration algérienne aujourd'hui
En 2019, l'INSEE recensait 846 400 immigrés algériens résidant sur le territoire français. La même année, l'INED estimait à 1 207 000 le nombre d'enfants d'immigrés algériens résidant en France.
Les historiens pensent que la clarté des kabyle est lié à peu de métissage avec les populations subsahariennes. Dire que les kabyles sont en majorité blonds ou roux avec des yeux bleus serat faux. Pour être bref, les kabyles à la peau claire sont frequents, mais ils sont plutôt bruns de cheveux.