L'un des moyens les plus connus pour réduire les risques de radioactivité est de saturer la thyroïde en iode. Lors d'une explosion nucléaire, l'iode radioactif (iode 131) est libéré dans l'air.
Dans les installations nucléaires, des murs et parois en béton, en verre et en plomb permettent de confiner les matières radioactives. Ils protègent les travailleurs dans leurs tâches quotidiennes des rayonnements. De plus, ces personnels respirent une atmosphère contrôlée grâce à des radiamètres.
Des chercheurs américains sont sur la piste d'un traitement contre les effets d'une irradiation accidentelle. Selon eux, le fait d'apporter à l'organisme de la victime une protéine appelée BPI et de l'associer à une antibiothérapie, permettrait d'améliorer ses chances de survie.
Éloigner tant que possible les personnes de la source des rayonnements : l'intensité des rayonnements ionisants diminue avec le carré de la distance. Diminuer au maximum la durée d'exposition aux rayonnements. Placer entre la source et les personnes exposées un ou plusieurs écrans/blindages de protection.
Des matériaux tels que PEEK et le polyimide possèdent une bonne résistance au rayonnement gamma et aux rayons X. Le PTFE et le POM, en revanche, sont très sensibles et donc moins adaptés aux applications impliquant l'exposition au rayonnement.
Le cactus : la plante pour capter les ondes électromagnétiques. Vous avez le choix entre deux variétés : le cactus (Cereus peruvianus) ou l'arbre de Jade (Crassula ovata).
L'essentiel est d'avoir le plus possible de matière solide entre vous et le nuage radioactif. Si vous craignez d'avoir été exposé à des radiations avant d'entrer chez vous, débarrassez-vous de vos vêtements, douchez-vous et changez-vous. Gardez à proximité de la nourriture, de l'eau, une lampe électrique et une radio.
Où aller en cas d'attaque nucléaire ? Les scientifiques recommandent qu'en cas d'attaque nucléaire, toute protection utile peut être celle d'un bâtiment en béton armé. Vous devez être éloigné des portes, des fenêtres, des couloirs, des issues de secours ou d'aération, des espaces d'air. Cachez-vous au maximum.
La fonction de l'eau est d'arrêter les rayonnements (donc protéger les opérateurs) et de refroidir le combustible.
Des barrières faites de plomb, de ciment ou d'eau protègent des rayons gamma et des rayons X pénétrants. C'est pourquoi certaines matières radioactives sont stockées dans des pièces isolées au plomb ou sous l'eau.
Il peut s'agir soit d'un accident nucléaire (comme celui de Tchernobyl par exemple), soit d'un accident radiologique (irradiations industrielles, médicales, de recherche). Les symptômes initiaux de l'irradiation aiguë de l'ensemble du corps sont : nausée, vomissement, diarrhée, fièvre, céphalée, érythème.
Au-delà de certains seuils, les rayonnements peuvent altérer le fonctionnement des tissus et/ou des organes et produire des effets aigus tels que rougeurs de la peau, perte de cheveux, brûlures radiologiques ou syndrome d'irradiation aigu.
Ils peuvent être détectés efficacement au moyen d'un gammamètre Geiger‐Müller à fenêtre mince, d'un compteur à iodure de sodium à puits de type cristal ou d'un compteur à scintillation liquide. Certains instruments portatifs peuvent aussi servir à mesurer les frottis dans une zone à faible rayonnement de fond.
Utile en cas d'émissions radioactives
Le but des pastilles d'iode? Protéger la thyroïde en cas d'émissions radioactives. Prendre un comprimé d'iode stable permet d'empêcher d'absorber de l'iode radioactif qui pourrait être rejeté dans l'environnement en cas d'accident nucléaire.
90 µg* pour les enfants, 150 µg* pour les adultes et 200 µg* pour les femmes enceintes ou allaitantes suffisent à couvrir les besoins nutritionnels journaliers en iode.
Un masque NRBC est une protection respiratoire contre des produits chimiques, biologiques ou des particules radioactives. Il se porte sur le visage en protégeant les yeux et le visage et en couvrant les entrées des voies respiratoires, bouche et nez.
Le mieux est évidemment de pouvoir se réfugier dans les sous-sols. L'essentiel est d'avoir le plus possible de matière solide entre une personne et le nuage radioactif. Si l'on craint d'avoir été exposé à des radiations, il faut se débarrasser des vêtements, se doucher et se changer.
On parlera d'exposition externe lorsque de la source de rayonnements d'origine radioactive ou autre est située à l'extérieur de l'organisme. L'exposition interne est la plus dangereuse car les atomes radioactifs sont installés à demeure.
Il s'articule en trois étapes. Il faut d'abord filtrer l'eau pour récupérer les particules radioactives en suspension. Ensuite, par réactions chimiques, les éléments radioactifs dissous s'agrègent. Enfin, en faisant bouillir l'eau, on récupère la partie condensée qui, peu radioactive, peut être jetée dans les océans.
Les bâtiments les plus sûrs sont ceux avec des murs en brique ou en béton. Les parkings souterrains et les métros peuvent également constituer un bon abri. La meilleure chose à faire après une explosion nucléaire est de rentrer à l'intérieur.
Tout le monde ne pourra pas s'y réfugier. Néanmoins, il existe un bunker sous l'Élysée. Capable de résister à une attaque nucléaire, cet abri de 250 m2 construit sous l'aile est du Palais présidentiel en 1940, abrite le poste de commandement Jupiter, le PC Jupiter.
Construire un abri anti-atomique :
Des containers maritimes déclassés ,enterrés et bétonnés, sont la solution la plus économique (1000 à 2000eur). C'est le plus simple en termes de construction pour un abri anti-atomique. Un container métallique est une bonne cage de faraday, contre les impulsions électromagnétiques.
Afin d'éviter ou réduire ces risques, la radioprotection s'appuie sur trois grands principes : justification, optimisation et limitation des doses de rayonnements.
Les filtres HEPA font partie des filtres mécaniques les plus efficaces et éliminent jusqu'à 99,995 % des impuretés de l'air. Pour ce faire, ils utilisent le comportement de mouvement des petites particules de différentes tailles.
Le plomb est un excellent blindage pour les radiations électromagnétiques (rayons X et gamma) grâce à sa densité de 11,3 g/cm³, à son haut numéro atomique, à son niveau d'stabilité et aussi à la facilité avec laquelle se peut travailler.