Les Chiffres et les Nombres en Binaire de 0 à 1000 – : 0=0 en binaire, 1=1, 2=10, 3=11, 4=100, 5=101, 6=110, 7=111, 8=1000, 9=1001, 10=1010, …, 20=1 0100, …, 30=1 1110, …, 40=10 1000, …, 64=100 0000, …, 100=110 0100, 101=110 0101, …, 128=100 0000, …, 256=1 000 0000, …, 500=1 1111 0100, …, 512=10 0000 0000, …, 1000=11 ...
En base 2 ou binaire, on n'utilise que deux chiffres le 0 et le 1. Arrivé à 1, le 2 n'existant pas, on passe à 10, 11, 100 ... En base 12 (base duodécimale), nous utilisons les douze "chiffres" suivants: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B. De sorte que, arrivé à B, nous passons à 10, 11, 12 ...
"Je t'aime" en binaire se dit "01101010 01100101 00100000 01110100 00100111 01100001 01101001 01101101 01100101".
"01101010 01100101 00100000 01110100 00100111 01100001 01101001 01101101 01100101" signifie "je t'aime" en binaire.
avec 3 bits, on dispose de 8 combinaisons : 000, 001, 010, 011, 100, 101, 110, 111. On peut représenter ces combinaisons par 8 chiffres de 0 à 7 ; c'est la numération octale.
Parce que c'est un système simple, qui limite les erreurs. Un “ chiffre informatique ”, appelé bit (pour BInary digiT), ne peut prendre que deux valeurs : 0 et 1. Ce que l'on peut traduire par deux “ états ” : ouvert/fermé, oui/non, vrai/faux.
Au xixe s., le mathématicien anglais George Boole (1815-1864) développe une algèbre à base binaire (l'algèbre de Boole) qui fonde la logique moderne des propositions. Ces travaux sont à l'origine du traitement automatique des informations codées en binaire.
1) Codage d'un entier relatif sur 8 bits.
Le bit de poids le plus fort (à gauche) sert à coder le signe de l'entier. Il reste donc 7 bits pour coder le nombre soit des valeurs entre -128 et 127. Exemple : Codage de 89 sur 8 bits 01011001. On va représenter 89 par 256 (28) -89=167.
dépend de la base utilisée : 10 est toujours égal à la base, c'est-à-dire dix en base dix, mais deux en base deux. En base dix, on utilise dix chiffres, de zéro à neuf ; en base n, on utilise n chiffres, de zéro à n – 1 ; donc en base deux on utilise les deux chiffres « 0 » et « 1 ».
Par exemple, binaire 1101001 = hexadécimal 69 (i est la neuvième lettre) = décimal 105 représenterait une minuscule I dans le codage ASCII.
Le premier rang (en partant de la droite) est le rang 0, le second est le 1, etc. Pour convertir le tout en décimale, on procède de la manière suivante : on multiplie par 20 la valeur du rang 0, par 21 la valeur du rang 1, par 22 la valeur du rang 2, [...], par 210 la valeur du rang 10, etc.
OU binaire (|)
L'opérateur OU binaire ( | ) renvoie un nombre dont la représentation binaire est une séquence de bits où il y a un 1 pour chaque position où au moins un des bits des deux opérandes vaut 1 .
De même, quel serait le code d'un nombre de 8 bits pour représenter la valeur –1 ? Le code 1111 1111(2) = FF(16) convient puisque, si on ajoute 1 à ce nombre, on obtient 00000000(2) = 00(16), le bit de report déborde à gauche, il sort de l'espace qui est réservé au nombre et est donc ignoré.
La conversion du nombre 149(10) (en décimal) en binaire est donc : 1001 0101(2).
Chaque bit correspond à une puissance de 2 se lisant de droite à gauche (la plus petite puissance est à droite). On multiplie chacune des puissances par le bit correspondant (0 ou 1). Et on additionne le tout, ce qui nous donne en décimal la valeur du binaire soit 10 (8+0+2+0) pour 1010.
Règle de formation du code Gray à partir du binaire pur
Puis nous divisons par 2 le résultat soit 1001 / 2 = 0100 (pour diviser par 2 on effectue un décalage de la gauche vers la droite). Nous avons alors : pour N = 0111 en binaire pur correspond n = 0100 en code Gray.
Le terme binaire décrit un système de numération dans lequel seules deux valeurs sont possibles pour chaque chiffre : 0 et 1. Ce terme désigne aussi tout système de codage/décodage numérique dans lequel il n'existe que deux états possibles.