Le fait de capter l'attention de votre chien vous permet d'avoir un chien attentif aux ordres et à l'écoute. Pour cela, vous pouvez utiliser un ordre (un petit mot court, par exemple « Look ») : à chaque fois que votre chien vous regarde et capte son attention sur vous, dites lui « Oui !
Si l'animal n'obéit pas, c'est qu'il refuse l'autorité, qu'il refuse de se soumettre. Donc qu'il est dominant. Le chien ne devient qu'une machine à obéir !
L'exemple qui me vient immédiatement en tête est celui de la friandise. Si vous avez demandé plusieurs fois le “assis” à votre chien alors qu'il connaît la position et qu'il ne veut pas la faire. Et qu'au bout de plusieurs fois vous lui sortez une friandise, vous récompensez alors son “attente”.
Accompagnez vos ordres de mimiques faciales et de gestes adaptés. Le visuel est également essentiel pour le chien ! Ne criez pas inutilement pour lui donner un ordre simple. S'il s'agit de lui demander seulement de s'asseoir, dites-lui "assis" sans agressivité, mais avec une voix posée et ferme.
Ne montrez jamais à votre chien que vous avez peur ou que vous êtes nerveux. Soyez confiant et essayez d'ignorer l'agressivité de votre chien si la situation le permet. Ne vous emportez jamais face à ce comportement. Enfin, caressez-le et récompensez-le seulement une fois qu'il a réussi à se calmer face à l'étranger.
L'action par l'inaction. Si vous constatez que votre chien agit mal afin d'avoir votre attention, le meilleur moyen de le punir sera de ne pas lui en donner. Si vous êtes constamment sur le dos de votre chien lorsqu'il fait une bêtise, vous pourriez l'inciter à en faire.
Ne tolérez pas la moindre provocation. Un « non » ferme est indispensable. Votre chiot n'a, par exemple, absolument pas le droit de grogner à votre encontre, quoi qu'il se passe. Si votre chien grogne après vous, votre relation est mal engagée, car il va bientôt passer à l'étape suivante : vous mordre.
dire un “non” incisif à votre chien. Dès que votre chien détourne le regard, félicitez-le d'un ton joyeux avec un “ouiii !” et donnez-lui la friandise. Le but est que votre chien comprenne que renoncer c'est gagner. Cet exercice est à répéter, et surtout à compliquer petit à petit.
L'éducation du chiot doit débuter le plus tôt possible, c'est-à-dire dès son arrivée dans son nouveau foyer, à partir de l'âge de 2 mois. Dès le début et chaque jour, votre animal doit comprendre et apprendre ce qu'il a le droit de faire et ce qu'il n'a pas le droit de faire, mais aussi ce que vous attendez de lui.
Il faut donc attirer son attention. Il va falloir lui apprendre à « prêter l'oreille » (et pas une oreille distraite !) à ce que vous dites. Il s'agit donc de se rendre intéressant pour le chien, en lui donnant une récompense qui va lui donner l'envi et la motivation pour les exercices.
L'animal se tient bien droit, est assez rigide, et il porte ses oreilles dressées tout comme sa queue. Son regard est parlant lui aussi. Il est généralement insistant. En tout cas le chien dominant ne baisse pas les yeux, ne regarde pas de côté et ne se tapit pas au sol face à son maître ou à un congénère.
Ignorer un chien qui aboie pour attirer votre attention est plus efficace que de lui gronder dessus. C'est d'ailleurs, la réaction la plus recommandé puisqu'elle permet au maître de ne pas entrer dans le jeu du chien et de garder le contrôle. C'est aussi la méthode de punition la plus utilisé pour les chiots.
Pour débuter l'entraînement du rappel, le plus simple est de choisir un mot. Ce mot va vouloir dire à votre chien « Viens ici, près de moi ». Un mot est préférable à un geste, car votre chien ne vous aura pas tout le temps à vue. Utilisez toujours le même mot pour ne pas confondre votre chien : viens, ici, devant…
Le chiot mord également parce qu'il explore son environnement. Un chiot séparé trop tôt n'a donc pas fait cet apprentissage, et cela peut devenir rapidement un problème dans ses rapports avec son nouveau maître ou avec les autres chiens. Le chiot mordille aussi bien entendu parce qu'il fait ses dents.
Quels sont les principaux signes d'agressivité chez le chien ? Si votre toutou, ou tout autre chien, vous regarde les gencives apparentes avec un léger son continu sortant de sa gueule, il ne s'agit pas, dans ce cas, d'un accueil chaleureux accompagné d'un doux ronronnement.
Il y a un conseil qui est vrai et justifié: « Si vous vous retrouvez face à un animal inconnu et potentiellement dangereux tel un ours, coyote ou même un chien errant, ne le regardez pas dans les yeux parce qu'il pourrait se sentir menacé et attaquer ».
Choisissez les zones appréciées par l'animal : l'avant du cou, le dessus de la tête, la nuque, le dos les flancs... Chaque chien a des zones plus ou moins sensibles, tout comme le maître aime caresser certains endroits et pas d'autres." Plus que les mots prononcés, c'est surtout l'intonation qui est importante.
Voyons ensemble quelques unes des causes qui poussent votre toutou à ne pas vous écouter lorsque vous l'appelez : Votre chien n'est peut être pas suffisamment promené ou pas suffisamment lâché. Si la laisse est sans cesse tendue, cela engendrera une frustration chez votre chien.
Les excréments de ses animaux, considérés comme des « déchets putrescibles » peuvent être éliminés avec les ordures ménagères. Bien évidemment, ces déchets doivent être mis dans un sac poubelle étanche et résistant pour faciliter le travail du collecteur.
Ainsi, si vous êtes constants dans vos réactions, votre chien apprendra rapidement à ne plus vous pincer et à attendre que vous lui demandiez l'interaction. Vous pouvez également dire « non » à votre chiot (sans crier ou sans être trop ferme avec lui) et stopper tout interaction avec lui dès qu'il essaye de pincer.
Emmenez-le dehors dès qu'il se réveille et dans les minutes qui suivent ses repas. Restez à côté de lui jusqu'à ce qu'il ait fait ses besoins et félicitez-le chaleureusement. Si le chiot fait pipi à la maison devant vous, prenez-le doucement par la peau du cou en disant « non », et emmenez-le dehors.