Avoir la chienne est une expression québécoise qui peut avoir différents sens : 1 - Synonyme d'avoir peur, cette expression désigne un état d'angoisse ou de crainte. Ex : Il a pas sauté en parachute car il a eu la chienne. 2 - Synonyme d'avoir la flemme, cette expression désigne une non motivation.
Bisoune : Désigne un sexe masculin, un pénis. Généralement, c'est une expression un peu infantile.
Interjection. (Québec) Qui exprime la douleur, généralement physique.
Exclamation d'étonnement, de surprise ou aussi de mécontentement.
Ostie. Peut aussi s'écrire « osti », « esti », « asti », « sti ». Pour la majorité des Québécois, c'est le juron qu'on utilise le plus, surtout la version coupée, « sti ». C'est aussi le premier que les Européens établis au Québec apprennent généralement à maîtriser.
Câlisse / câlice : Juron québécois. Il s'utilise pour exprimer une émotion forte, par exemple l'étonnement ou la colère. C'est une déformation du calice d'église dans la religion chrétienne (le calice est une coupe recevant le vin bénit).
Français canadien : je t'adore (pour dire je t'aime). Français canadien : je t'aime (pour dire je t'aime bien).
13. Faire le flouc = Faire l'amour.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Nom commun. (Québec) (Argot) Sexe des femmes, vulve. → voir chatte et con, etc. J'y ai mangé a plotte, c'tait tout un lunch !
Tabarnak : C'est un juron québécois, en référence au tabernacle d'église. Dans l'église catholique, le tabernacle est le meuble qui abrite le ciboire contenant les hosties. Ce mot à été déformé en français canadiens, pour devenir un sacre ( un juron ) familier : tabarnak.
Chum : Le mot désigne un homme avec qui on a une relation amoureuse; petit ami, amant ou concubin.
Aujourd'hui, les Canadiens et les autres pays utilisent «Canuck» comme terme pour tout Canadien.
Au Québec, un char désigne tout simplement une automobile. Il s'agit du nom le plus commun et le plus utilisé pour parler d'une voiture. On dit aussi "chauffer un char" : dans le sens de conduire une voiture.
Au Québec, le mot blonde est employé comme synonyme de « petite amie », « maîtresse », « concubine ». Dans ce contexte, ce mot n'a aucun lien avec la couleur des cheveux. Un homme peut donc avoir une blonde rousse, une blonde brune ou une blonde blonde.
La langue possède nombre de mots coquets pour décrire ce petit coup de bec qu'est donc le «bisou». «Bécots», «papouilles», «poutous»... À chacun sa façon d'embrasser.
Roffe : Terme québécois synonyme de "dur", "difficile" ou "compliqué". Ex : Je suis fatigué, c'est roffe aujourd'hui.
Criss ou Crisse (et toutes ses déclinaisons)
Tout comme “ostie”, il peut être qualifié d'équivalent au “pu***n” français. Exemple : “Ostie de criss de tabernacle, ce plat est immonde.”
Utilisé seul dans une exclamation, ou placé en début de phrase, il fonctionne comme une interjection et exprime la colère, l'indignation ou la surprise. À l'intérieur de la phrase, il est utilisé comme adverbe pour renforcer le propos, par exemple dans la phrase C'est beau en tabarnak !
Cellulaire : Au Québec, on ne parle pas de téléphone portable, on utilise le mot cellulaire.
L'ESTI est l'autorité de surveillance et de contrôle des installations électriques qui ne relèvent pas de l'Office fédéral des transports. Elle veille à ce que ces installations soient planifiées, construites et entretenues de façon sûre et écologique.