Commencez par parler de ce que vous avez ressenti lors de l'annonce du décès, en guise d'introduction. Ensuite, évoquez les personnes présentes lors de la cérémonie ou de l'enterrement, puis allez droit au but : parler de la personne disparue, de sorte à lui rendre un dernier hommage.
Si ce n'est pas le cas, vous pouvez terminer par une courte phrase d'adieu, peut-être la dernière chose que vous lui avez dite – ou voulu lui dire – avant sa mort. Allez à l'essentiel. Lorsque vous avez terminé un premier brouillon, relisez-vous et éliminez ce qui peut être superflu ou redondant.
Rédiger le discours
Commencez par une citation, des propos typiques de la personne décédée ou un poème. Personnalisez le discours autant que possible : incluez des anecdotes de la vie du défunt et remémorez-vous des souvenirs en sa compagnie. Assurez-vous que les proches reconnaissent le défunt.
Antoine de Saint-Exupéry : « Si tu aimes une fleur qui se trouve dans une étoile, c'est doux la nuit, de regarder le ciel. » Marcel Proust : « On ne guérit d'une souffrance qu'à condition de l'éprouver pleinement. » Hugo Victor : « Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis. »
Pour écrire un éloge il faut d'abord trouver des éléments à la fois objectifs et convaincants à propos de celui pour qui ou ce sur quoi on est élogieux. Ensuite on définit ce qui est plus ou moins élogieux. Une polémique bien présentée peut être élogieuse.
“Quand une âme s'est éteinte en ce bas monde, c'est qu'elle brille dans un autre fait de beauté et de paix…”Pensées chaleureuses. “La vie a une fin comme une lumière de bougie qui s'éteint, mais dans le cœur les souvenirs restent à jamais éclairés…”Anonyme. “Une personne qui nous est chère ne nous quitte jamais.
Papa, tu laisses un grand vide dans ma vie, mais sache qu'il y aura toujours une place pour toi dans mon cœur. Même si tu ne sembles pas être avec moi, que je ne peux pas te toucher, te voir ni t'entendre, je sais que tu veilleras toujours sur moi, comme tu l'as toujours fait. Papa, tu me manques déjà. Adieu.
Victor Hugo-Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout là o.
inspirez lentement par le nez (pendant environ 4 secondes), retenez votre souffle pendant environ 7 secondes, puis expirez lentement (pendant environ 8 secondes).
Pour toi qui a aidé de très nombreuses personnes tout au long de ta carrière d'infirmières, Nous sommes tous présents en ce jour pour te rendre un dernier hommage et te dire à quel point nous t'aimons. Tu n'es plus dans nos vies mais tu resteras à jamais dans nos coeurs.”
Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné, Parlez-moi comme vous l'avez toujours fait. N'employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel et triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
D'abord réservée aux femmes et aux hommes de spectacle comme un ultime hommage à leur vie sur la scène, cette pratique s'étend rapidement aux personnalités publiques et aux figures de l'état pour être vite reprise lors des enterrements de citoyens anonymes."
Merci, depuis le fond de mon coeur, pour la femme que je suis devenue. Je sais que sans toi, je ne serais pas proche de ce que je suis aujourd'hui. Tu es vraiment un être humain incroyable, et quand les gens me demandent qui est mon père, je suis fière de dire ton nom. Merci de prendre soin de notre famille.
Parlez de votre proche, de sa vie, des bons comme des moins bons moments. Oui, se souvenir du défunt de façon objective aide aussi à faire son deuil. Racontez aussi quelques anecdotes, en effet faire sourire et parfois même rire, contribue à rendre votre intervention moins formelle et donnera envie de vous écouter.
Ajoutez des exemples concrets, utilisez des métaphores, faites des comparaisons avec des choses familières pour le public. Il faut que le discours soit le plus « visuel » possible pour que l'auditoire puisse suivre facilement. Ensuite seulement, rédigez votre accroche.
Cher [Prénom], Ta famille, tes proches, tes collègues et tous ceux qui t'ont aimé sont ici aujourd'hui, pour te rendre hommage. Nous sommes là, réunis en ce lieu, pour te dire au revoir. Tu es parti avant nous, bien trop tôt, et tu nous rappelles qu'ici-bas, notre vie est peu de chose.
Nous voudrions nous souvenir de toi, continuer de travailler à tout ce que tu attendais, à tout ce que tu espérais. Comme un mur, la mort nous sépare de toi, Comme le souffle du vent qui balaie les obstacles. Notre amitié, notre affection et notre espérance s'en iront te rejoindre là où désormais tu nous attends.
Do not stand at my grave and weep (Ne pleure pas devant ma tombe) est un poème écrit en 1932 par Clare Harner (1909-1977).
“Il y a des journées où le temps passe si vite que l'on a peine à tout faire, et d'autres où l'on regarde sa montre sans cesse, à croire qu'elle s'est arrêtée.” De Marc Levy / Où es-tu ? “Quand on vit aux cotés des gens on ne se rend pas vraiment compte qu'ils changent, et c'est comme cela qu'on finit par les perdre.”
Adèle Hugo est la seule survivante des enfants du poète : Léopold est mort à trois mois ; Léopoldine s'est noyée à 19 ans, enceinte de trois mois ; Charles a été victime d'une apoplexie à 44 ans ; François-Victor s'est éteint à 45 ans, de tuberculose.