La Laboratoire sur les inégalités mondiales a calculé qu'en 2020 la part des revenus captés par les 10% les plus riches était de 32% entre 1995 et 2020, tandis que la part de revenus captés par les 50% les plus pauvres était de 23%.
Les salariés vont toucher leurs salaires (environ 60% de la VA), primes…, l'État va prélever les impôts, les taxes et les cotisations sociales et enfin le reste ira à l'entreprise pour la rémunération du capital (environ 30% de la VA).
En 2021 dans le monde, les 10% des personnes les plus aisées détiennent plus de 75% des richesses. Pire : les plus riches d'entre eux (les 1%) en détiennent 40%. A l'inverse, les 50% les plus pauvres (3,8 milliards de personnes) ne possèdent que 2% du patrimoine mondial.
La répartition des richesses est la façon dont le patrimoine est détenu par les individus dans une société. Il s'agit d'un stock, et non pas d'un flux ; la répartition des revenus mesure, elle, un flux. C'est la troisième étape du circuit économique défini par Jean-Baptiste Say dans son Traité d'économie politique.
Définition. Opérations par lesquelles la valeur ajoutée générée par la production est distribuée entre la main-d'œuvre, le capital et les administrations publiques, et opérations de redistribution du revenu et de la richesse.
Une autre solution pourrait être envisagée : une hausse de la contribution sociale généralisée (CSG) - qui porte sur tous les revenus, à quelques exceptions sociales près - sur les revenus perçus par les personnes au niveau de vie plus élevé que la moyenne. Cela aurait un triple avantage.
Une multitude de facteurs – stagnation des salaires et baisse de la part des revenus du travail, déclin progressif de l'État-providence dans les pays développés, protection sociale insuffisante dans les pays en développement, changements dans la fiscalité, déréglementation des marchés financiers, évolutions ...
Pour la science économique actuelle, la richesse économique correspond à l'ensemble des biens dont l'usage ou la propriété correspond à la satisfaction de besoins. Elle est donc constituée par le stock d'actifs économiques détenus par un ou plusieurs agents économiques.
Richesse et pauvreté sont inégalement présentes sur le globe. Ainsi, 1 % de la population possède 50 % des richesses mondiales. La pauvreté touche aussi les pays développés. À toutes les échelles, on observe des inégalités sociales et spatiales.
La pauvreté désigne dans une société donnée le fait d'être dans une situation d'infériorité matérielle par rapport aux individus les plus favorisés; cela se traduit notamment par des difficultés à subvenir à ses besoins et à ceux de ses proches, mais aussi par une stigmatisation de la part des personnes plus riches.
Sur cette période, la hausse du niveau de vie des 10 % les plus riches équivaut à 1,3 fois l'ensemble du revenu annuel des 10 % les plus pauvres. Au total, l'écart entre le haut et le bas de la pyramide des revenus s'est creusé de 10 000 euros annuels. Après impôts et prestations sociales, pour une personne seule.
Le Burundi conserve la tête du classement, avec un PIB par tête de 307 dollars en 2023. C'est le seul pays du palmarès des 20 nations les plus pauvres de la planète à afficher un PIB par habitant inférieur au seuil de 400 dollars. Il est suivi du Sierra Leone et du Malawi.
Les pays riches sont surtout situés dans l'hémisphère Nord. Ils ont un revenu par habitant élevé. Ce sont des pays dans lesquels les activités industrielles et de services sont importantes. La plupart des habitants vivent bien, se logent confortablement et achètent ce dont ils ont besoin.
Les pays riches produisent de tout en grandes quantités, car ils sont très industrialisés. En revanche, les pays pauvres produisent surtout des minerais et des denrées agricoles, dont la valeur est faible. Globalement, la population des pays riches ne manque de rien. La différence avec les pays pauvres est très nette.
Les richesses sont très inégalement réparties dans le monde : 1 % de la population mondiale possède 50 % des richesses de la planète. Celles-ci se concentrent essentiellement en Amérique du Nord, en Europe et en Asie de l'Est, tandis que la pauvreté est très forte en Afrique, en Asie et en Amérique latine.
La richesse offre la possibilité de libérer son temps et son esprit de toute une série de problèmes matériels qui empoisonnent la vie de la plupart des gens.
Fondamentalement, le capital humain est l'arme ultime dont disposent les pays en ce 21e siècle pour se donner toutes les chances de parvenir à une prospérité partagée.
La différence fondamentale de mentalité entre les riches et les pauvres est que les riches ont compris un principe très simple : l'argent fait de l'argent, et l'argent que l'argent fait, fait de l'argent. Les riches voient l'argent comme une opportunité, les pauvres le voient comme quelque chose qui doit être gagné.
Selon le rapport, la richesse mondiale a considérablement progressé entre 1995 et 2018, et les pays à revenu intermédiaire rattrapent les pays à revenu élevé. Toutefois, cette plus grande prospérité s'est accompagnée d'une gestion non durable de certains actifs naturels.
Sans surprise d'ailleurs, les inégalités de richesses, qui sont plus fortes aujourd'hui que jamais, sont mises en lumière en quatre chiffres : les 10% les plus riches détiennent 76% de la richesse mondiale, tandis qu'à l'inverse, les 50% les plus pauvres n'en possèdent que 2%.
1. Caractère, état de choses ou de personnes inégales entre elles : L'inégalité des salaires. 2. Caractère de ce qui n'est pas égal à lui-même ; manque de constance, de régularité ; variation : Les inégalités du débit d'un fleuve.
1. Action de répartir, de distribuer, de partager ou de classer des choses : Répartition des vivres. 2. Manière dont sont distribués, répartis des êtres ou des choses : Répartition inégale des revenus.