Ainsi, entre le 1er janvier et jusqu'au 30 juin 2023 inclus, si vous êtes propriétaire de votre logement, vous devez vous rendre sur le service en ligne « Gérer mes biens immobiliers », disponible sur le site impots.gouv.fr, et renseigner diverses informations sur votre situation (voir lesquelles).
C'est une nouveauté 2023. Depuis le 1er janvier et jusqu'au 30 juin, tous les propriétaires sont dans l'obligation de déclarer en ligne, sur impots.gouv.fr, l'état actuel d'occupation de leur(s) bien(s) immobilier(s) à usage d'habitation (particuliers et entreprises).
Déclaration fiscale des biens immobiliers : identifier les biens taxables. Cette nouvelle procédure a pour objectif de vérifier si le ou les biens sont soumis à la taxe d'habitation, voire à la taxe sur les logement vacants. La non-déclaration expose à une amende forfaitaire de 150 euros par local.
Les contribuables non connectés à Internet ou qui ne sont pas en mesure de déclarer en ligne peuvent se rendre directement à leur centre des impôts fonciers pour accomplir cette formalité, ou appeler le 0809 401 401 (appel non surtaxé).
Indiquez simplement le montant de vos loyers ou fermages perçus en 2019 sur votre déclaration n° 2042 (case 4BE). Un abattement de 30 % (évaluation forfaitaire de vos charges) sera appliqué pour déterminer votre revenu imposable . Ne le déduisez pas, il sera calculé automatiquement.
Pour ce faire, une nouvelle obligation déclarative a été mise en place depuis le 1er janvier. Prévue par la loi de finances pour 2020, cette nouvelle déclaration doit être effectuée en ligne avant le 1er juillet 2023, sous peine de se voir infliger une amende de 150 euros par local (article 1770 terdecies du CGI).
Biens immobiliers : définition, inventaire et succession
À ce titre, un bien immeuble, est un « bien ne pouvant être déplacé (exemples : un terrain, un appartement) ou objet en faisant partie intégrante (exemple : une clôture) a des biens immeubles, classés immeubles ».
Il s'agit des espaces cloisonnés, destinés à être utilisés pour y séjourner, y dormir ou y prendre les repas (cuisine, salle de bain, chambre, séjour,...). Les dégagements, les pièces annexes (entrée, buanderie, dressing…) et les dépendances incorporées (cave, garage, terrasse et grenier) ne sont pas comptabilisés.
Cette déclaration est à réaliser en ligne, sur le service en ligne « Gérer mes biens immobiliers » à partir de votre espace personnel ou professionnel du site impots.gouv.fr impérativement avant le 1er juillet 2023.
Quelle surface est prise en compte pour définir cette valeur ? La valeur estimée de votre bien sera calculée à partir de sa surface au sol, quelle que soit la hauteur du plafond. Cette dernière prendra en compte les pièces principales de votre logement (chambre, salon, salle de bain, etc.)
Au sein d'un logement, est considérée comme pièce principale toute pièce de plus de 9m² ayant pour but le sommeil ou le séjour. Une chambre, un séjour, bureau ou bibliothèque rentre donc dans cette définition. En revanche, les salles de bain, WC, ou cuisine, ne sont pas considérées comme des pièces principales.
Les biens meubles sont ainsi généralement considérés comme pouvant être déplacés ou se déplacer par eux-mêmes. Par opposition, les biens immeubles sont statiques et ne peuvent pas être mus de manière pratique ou raisonnable. Les articles 517 à 536 du Code civil de France sont consacrés au détail de ces notions.
Vous pouvez obtenir des informations précises sur un bien immobilier en déposant une demande écrite auprès du service de la publicité foncière (SPF) du lieu de situation de l'immeuble. Vous pouvez trouver l'adresse du service compétent dans la rubrique «Contact et RDV» du site «impots.gouv.fr».
Cette déclaration peut être réalisée, dès aujourd'hui, depuis le service en ligne « Gérer mes biens immobiliers » à partir de l'espace sécurisé d'impots.gouv.fr. Pour faciliter cette nouvelle démarche déclarative, les données d'occupation connues des services fiscaux seront pré-affichées.
Les biens meubles incorporels
Les comptes courants, les livrets d'épargne (livret A, CEL, PEL), les contrats d'assurance vie, les actions et parts sociales, les PEA sont considérés comme des biens meubles. Cela vient du fait que les sommes d'argent qu'ils représentent peuvent être déplacées à tout moment.
Un bien meuble est un bien qui peut bouger ou être bougé: voiture, table, livre, argent, etc. La notion juridique de "meuble" est donc plus large que celle du langage courant.
Une maison avec jardin est un bien immobilier très recherché pour les divers avantages qu'il apporte. En France, le prix au mètre carré d'un bien immobilier est généralement calculé en divisant le prix de vente du bien par sa surface habitable.
➢ Les biens de consommation ou biens finals qui permettent de satisfaire immédiatement les besoins du consommateur (vêtements, bijoux, meubles, nourriture …). Le qualificatif "final" indique qu'ils sont consommés par le consommateur final, en bout de chaîne (vélo, console de jeu, CD audio).
Les biens sont également classés en fonction de leur durabilité (durables, non durables – consomptibles par le premier usage –, semi-durables) et selon le secteur d'activité et les techniques de production mises en œuvre (biens agricoles, artisanaux, miniers, industriels, etc.).
La principale classification est celle qui porte sur les biens meubles et les biens immeubles. Cependant, nous avons aussi d'autres classifications qui sont : les choses fongibles et les choses non fongibles ; les choses consomptibles et les choses non consomptibles.
Il n'est pas tenu compte de la superficie des combles non aménagés, caves, sous-sols, remises, garages, terrasses, loggias, balcons, séchoirs extérieurs au logement, vérandas, volumes vitrés prévus à l'article R.
La notion de pièce principale désigne uniquement le salon (salle à manger, séjour) et les chambres à coucher. Elles sont également appelées pièces à vivre ou pièces de vie. Les pièces supplémentaires comme le bureau, la salle de gym ou de jeu rentrent dans ce calcul.
La surface habitable d'un logement
On ne tient pas compte des combles non aménagés, des caves, des sous-sols, des remises, des garages, des terrasses, les loggias, des balcons, des vérandas, et des locaux d'une hauteur inférieure à 1,80 mètre de hauteur.
Comme pour un bien immobilier, la mise en location d'un garage, d'un box ou d'une place de stationnement est soumise à la taxe d'habitation, la taxe foncière et la TVA.