Le tête bouge rapidement. Si tout à coup vous voyez quelqu'un faire un mouvement de la tête lorsque vous lui posez une question directe, il est possible qu'il vous mente. "La tête va se rétracter ou partir en arrière, se pencher, se relever ou s'incliner sur le côté", écrit Lillian Glass.
- Soyez calme, confiant, en contrôle, regardez-le reculer sur sa chaise, s'agiter, se gratter la tête, agiter les pieds ou les mains, autant de signes qui montrent son inconfort et sa faiblesse. A la fin de l'entretien, proposez-lui une explication qui lui permette d'accepter le mensonge sans perdre la face.
Il n'existe pas de traitement à proprement parler de la mythomanie. Une prise en charge psychiatrique ou psychologique peut aider à diminuer la mythomanie, mais bien souvent, les patients atteints n'ont pas conscience de leur trouble.
Plus grave est la propension à mentir relevant d'une contrainte intérieure, d'une nécessité impérieuse qui outrepasse la volonté et la raison. Le mensonge compulsif, l'affabulation, la mythomanie sont le signe d'atteintes narcissiques graves et de modalités de défense plus archaïques.
Il cherche peut-être simplement à vous simplifier la vie à tous les deux. Si au contraire il vous ment sur des sujets essentiels (addiction, dettes...), c'est peut-être car il ne veut pas se l'avouer à lui-même. Ses promesses de ne pas recommencer en font un menteur pathologique dont il faut se méfier.
Quelle différence entre mensonge et mythomanie ? Contrairement à l'escroc, au menteur dit « normal » qui trompe son interlocuteur consciemment, la personne atteinte de mythomanie croit à ses propres mensonges. Elle se convainc de la réalité qu'elle se crée, car autrement son monde s'effondre.
La mythomanie n'a pas encore livré toutes ses vérités à la psychiatrie, ce qui la rend d'autant plus intrigante pour les spécialistes. Ne pouvant supporter de faire face à la réalité, les mythomanes, ces personnalités hautes en couleurs, se plongent dans un monde de mensonges.
Ils ont besoin de s'inventer une vie, pour combler leur propre vide existentiel". Par conséquent, poursuit-il, "lorsque leurs mensonges sont démasqués, c'est leur intégrité même qui est mise en danger."
En fait, identifier une personne honnête est très simple : Il y a un synchronisation parfaite entre sa communication verbale, ses gestes et les expressions de son visage. Si une personne te dis qu'elle est contente, alors analyse ses micro expressions pour savoir si son visage indique la même émotion.
Il arrive assez régulièrement d'être expéditeur ou destinataire de ce que les scientifiques du monde entier appellent « un message de bourré ». Le message de bourré se distingue par son caractère inintelligible, ses propositions vagues, son horaire tardif et sa syntaxe hasardeuse.
4. Un mythomane peut-il aimer ? Non, car il a simplement besoin de votre attention. Un menteur pathologique a toujours besoin de booster son égo et il flirte avec n'importe qui pour obtenir un peu d'attention.
Si elle lui pose des questions et si elle semble intéressée par ce sujet de conversation, il peut être raisonnablement sûr qu'elle n'a rien volé. Si, au contraire, elle devient très mal à l'aise et cherche à changer de sujet, alors il y a de fortes chances pour qu'elle soit coupable.
Vous avez la possibilité d'utiliser des pièges comme « je parie que je peux avoir le quart sous la serviette sans y toucher » ou des choses de ce genre, l'objectif étant d'amener la personne à retirer la serviette vous donnant ainsi accès au quart. Déshonorez sa confiance pour le mettre dans l'embarras.
Mentir pour rassurer
C'est une raison valable de glisser un petit bobard car elle permet de ne pas faire souffrir inutilement la personne, sachant comme la vie est déjà assez dure parfois. Celui-là, on l'aime bien, parce qu'il nous rassure sur notre image et sur l'amour que notre partenaire nous porte.
Le fait de mentir pour cacher quelque chose à l'autre crée des relations inégales, sans établir de partage entre les deux partenaires. Hors son influence va bien au-delà de la confiance dans le couple. Partager c'est communiquer, ce qui permet de créer une intimité propre au couple.
Le schizophrène ne parvient pas à organiser ses idées, il n'a plus de raisonnement logique, son discours devient incohérent. Son esprit peut rester longtemps fixé sur une idée, et des pensées parasites entravent le déroulement de son raisonnement.
Les formes du mensonge
l'officieux, qui serait dit pour ne pas faire de peine, pour protéger, pour ne pas choquer, le joyeux, qui serait utilisé pour faire rire, pour distraire, le pernicieux, qui serait proféré pour faire mal, pour tromper, pour escroquer…
Dans ce cas précis, le mensonge constitue une mauvais habitude plutôt qu'une maladie. Il devient pathologique lorsque l'intéressé finit par croire lui-même à son mensonge, à confondre la réalité de sa vie avec celle qu'il s'est inventée. Il devient mythomane.
Le mythomane ment car il a du mal à accepter la réalité. Il la fuit car il ne peut l'affronter sans souffrir. C'est en cela que le mythomane a quelque chose d'attendrissant : c'est un être qui cherche constamment à enjoliver, à embellir la réalité.
Le tête bouge rapidement. Si tout à coup vous voyez quelqu'un faire un mouvement de la tête lorsque vous lui posez une question directe, il est possible qu'il vous mente. "La tête va se rétracter ou partir en arrière, se pencher, se relever ou s'incliner sur le côté", écrit Lillian Glass.