Utilisation d'énergies renouvelables, innovations techniques pour consommer moins, recycler les déchets, ne plus polluer… l'économie qui prend soin de l'environnement est un nouveau modèle qui permet de répondre aux besoins de tous les humains dans l'immédiat, et tout en assurant l'avenir.
L'augmentation de la quantité de capital physique permet de substituer des capitaux économiques à des capitaux humain et naturel. Pour contribuer à un développement durable, cette substitution ne doit pas mettre en danger les capitaux humain et naturel.
valoriser les déchets : trier, recycler, faire du compost. penser seconde main pour s'habiller, se meubler… éteindre l'électroménager et le multimédia que nous utilisons le moins ou même le débrancher carrément, si c'est possible.
Sans une structure sociale équilibrée, la croissance économique ne peut exister. Par conséquent, les notions d'éducation, de qualification et de « bien-vivre » constituent le socle fondamental pour la prospérité économique. Elles sont garantes de la création de valeur.
Pour les économistes partisans de la soutenabilité forte, la croissance économique n'est aujourd'hui pas compatible avec la préservation de l'environnement. Le stock de capital naturel ne peut être substitué avec les autres formes de capital. L'environnement, comme la nature, a une spécificité.
Au fur et à mesure qu'un pays se développe et que son RNB/hab progresse, les dégradations environnementales sont moindres car le pays est de plus en plus efficace pour produire et utilise donc de moins en moins de capital naturel par $ de production.
La croissance économique, source d'enrichissement et de progrès, engendre en parallèle des externalités négatives : pollution, nuisances, gaspillages, réduction de la biodiversité, déforestation, épuisement des ressources non renouvelables (ex: pétrole, gaz naturel…).
1. Facteurs généraux : · Intrinsèques : génétiques, endocriniens ; · Extrinsèques : nutritionnels, socio-économiques, affectifs.
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
Phénomène lié à la croissance, le développement correspond à une modification à long terme des structures économiques sociales et du mode de vie. Un indicateur élaboré par les Nations Unies, l'IDH, permet d'évaluer le niveau de développement d'un pays.
L'amélioration des conditions de travail : garantir des conditions de travail justes et durables pour les travailleurs. Le bien-être et la qualité de vie : favoriser un mode de vie sain et équilibré pour tous. L'égalité et droits humains : garantir l'égalité des droits et la dignité humaine pour tous.
Nous parlerons tout d'abord du facteur économique, puis du facteur social pour enfin parler du facteur environnemental.
Contrairement au développement économique, le développement durable est un développement qui prend en compte trois dimensions : économique, environnementale et sociale. Les trois piliers du développement durable qui sont traditionnellement utilisés pour le définir sont donc : l'économie, le social et l'environnement.
La croissance verte signifie promouvoir la croissance économique et le développement tout en veillant à ce que les actifs naturels continuent de fournir les ressources et services environnementaux dont dépend notre bien-être.
la concentration. l'intégration verticale. la diversification. la globalisation (internationalisation)
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.
On distingue traditionnellement trois sources de la croissance économique : l'accumulation du facteur travail, l'accumulation du facteur capital physique et les gains de productivité générés principalement par le progrès technique.
Grâce aux progrès techniques il y a de nouveaux produits, de nouvelle techniques, ce qui apporte de nouveaux emplois. L'arrivée de nouveaux emplois apporte une hausse des salaires donc une hausse de la demande. Lorsque les salaires augmentent les prix baissent. Donc une augmentation du profit.
pour satisfaire les besoins de l'humanité, réduire les inégalités et maintenir la cohésion sociale. L'efficacité économique en diminuant l'extrême pauvreté et en garantissant l'emploi du plus grand nombre dans une activité économique dignement rémunérée.
Habituez-vous à éteindre la lumière lorsque vous quittez une pièce. Remplacez les ampoules classiques par des ampoules fluorescentes écoénergétiques. Éteignez l'ordinateur et débranchez les appareils électriques lorsque vous ne vous en servez pas. Marchez ou prenez le vélo dès que vous en avez l'occasion.
Ainsi, la croissance économique est synonyme de l'augmentation des rejets de gaz à effet de serre, la production de déchets supplémentaires, et une consommation accrue d'énergies fossiles et de ressources.