Il n'est pas fabriqué sur-mesure spécifiquement pour un bateau donné donc un même spi peut donc s'adapter à plusieurs bateaux. Comment choisir le spi adapté à votre bateau ? La longueur du guindant du spi doit être au minimum égale à la longueur de votre étai et faire 1 m de plus au maximum.
On commence par choquer doucement le spi pour amener le point écoute jusqu'au niveau de l'étai. On vient alors le choquer en grand en reprenant la contre-écoute rapidement. On passe ensuite la grand-voile sur l'autre bord. L'empannage est terminé.
Spi asymétrique
Le point d'amure du spinnaker asymétrique est maintenu par le bout-dehors, fixé à l'étrave du bateau. Alternativement, il peut être aussi maintenu par un patin d'amure attache autour du génois enroule. Plus simple d'emploi, plus stable, il est utilisé à partir de petit largue jusqu'à grand largue.
SO sails a développé une gamme de spi asymétriques standards de 28 à 109 m², adaptés à des bateaux avec des étais de 7 à 15 m de long. Un spi standard est un spi dont les dimensions sont prédéfinies par notre dessinateur.
Amener le point de drisse sur le point d'écoute et marquer la chute au pli. Tendre la voile entre ces deux points et mesurer la distance entre les deux points. Note : pour être considérée comme un spi, une voile d'avant doit avoir SHW> 75 % de SFL.
Empannage sous spi
le spi doit être gonflé avant l'empannage pour la réalisation de la manoeuvre correctement, l'allure suivie est le vent arrière, spi réglé, le guindant doit être passé nettement au vent prêt à basculer.
Orienter le tangon vers l'avant, place le point d'amure du spi dans l'axe du bateau, comme le ferait un bout-dehors. L'action de baisser le tangon tend le guidant pour qu'il fonctionne comme le bord d'attaque d'un spi asymétrique. Plus votre angle au vent est serré, plus le tangon doit se rapprocher de l'étai.
À la manière d'un spi classique, on grée la chaussette pour l'envoyer sous le vent de préférence. Avec un peu plus d'expérience, on peut aussi envoyer la chaussette au vent puis la faire passer devant l'étai. On commence par frapper le point de drisse sur la chaussette.
Empanner consiste à passer d'un bord sur l'autre avec le vent dans le dos. Comme pour le virement de bord, les voiles vont donc changer de côté. Dans un empannage, le vent va cueillir la grand-voile par l'arrière et accélérer le passage de la bôme d'un bord sur l'autre, parfois violemment.
Le génois est la voile d'avant la plus utilisée en croisière. Elle est d'ailleurs installée, de série, sur les croiseurs familiaux. Le génois peut être porté assez longtemps, en fonction de la force de vent.
Dans un gréement classique, les voiles situées à l'avant du mât sont nommées focs. Elles sont nommées selon leur taille et leur coupe (de la plus petite à la plus grande) : tourmentin, solent, foc, foc ou génois inter (entre le génois et le foc), yankee, génois, et reacher (génois très creux).
Le tangon est mis en place de façon à ne pas toucher les haubans mais pour permettre le déploiement maximum des voiles d'avant. Il est fixé par un ensemble de 3 'bouts': - La balancine de Tangon qui permet de régler la hauteur du point d'écoute, donc le creux de la voile. Celle ci tire donc vers le haut.
Qu'est-ce qu'un SPI ? Il s'agit du stage de préparation à l'installation. Le SPI est une obligation légale imposée au futur chef d'entreprise artisanale sollicitant son immatriculation au répertoire des métiers.
OUI, le barber est en quelque sorte un rail d'écoute pour le spi asy; l'installer est un peu plus compliqué; cela impose d'avoir un point de tire situé plus ou moins sur le coté du boat (rail de fargue par exemple) une poulie généralement ouvrante, un bout parfois en double, et un taquet coinceur pour le réglage.
Un voilier en route a une tendance naturelle, lorsque sa vitesse augmente, à partir « au lof » ou « à l'auloffée », c'est-à-dire de remonter vers le vent. On dit alors qu'il est « ardent ».
Le foc désigne une voile d'avant de forme triangulaire d'un voilier. Cette voile est retenue par son guindant à l'étai le long duquel elle coulisse pour être hissée.
La bastaque, comment la manœuvrer en fonction du vent ? Afin de gagner en puissance, il faut souquer la basse-bastaque pour creuser la grand-voile tandis que le cintre du mât est réduit au strict minimum. Pour éviter un cintre inversé au niveau du mât, on reprend légèrement la haute bastaque au vent.
La longueur d'un bateau se mesure à partir du devant de la proue jusqu'à l'arrière de la poupe. Elle correspond à la distance entre les points extrêmes avant et arrière de la structure permanente du bateau.
cela dépends effectivement du voilier, cela s'échelonne de 1 à 1,8 tant en grandeur qu'en modélisme. pour un classe 1m, le greement A fait 1m70, le B 1,4m et le C 1,2m. un open 60 (18m) porte un mat de 25 à 30 m. un mini (6.5) porte 11 m de mat.
À qui s'adresse le Code 0 ? Lorsque la pétole s'installe, cette voile est particulièrement utile sur les bateaux de course dépourvus de moteur. Cependant, elle s'impose petit à petit sur les voiliers de croisière qui souffrent parfois de surcharge pondérale et de voiles d'avant à faible recouvrement.
Spi symétrique
L'avantage du montage est de pouvoir envoyer le tangon au vent et ainsi donner de l'air frais au spi. Dans cette position, on peut alors descendre plein vent arrière sans déventer le spi. Comme l'asymétrique, il se manœuvre souvent avec une chaussette.
Privilégiez les génois assez grands sur enrouleur pour couvrir une large plage d'utilisation : petit temps et brise au portant. Il convient de considérer aussi au moins une voile pour les allures au portant (un spinnaker ou un gennaker). Trois voiles, au minimum, peuvent donc suffire.
Le voile noir peut apparaître aussi lors d'apnées trop prolongées, par manque d'oxygène dans le cerveau (et les yeux). Article connexe : Médecine aéronautique.