Par exemple, prenez-le, bercez-le, chantez-lui une chanson. Même si ce n'est que quelques minutes, cela peut l'aider à se calmer. Si possible, mettez en route votre routine du soir. Proposez-lui des activités calmes (dessin, lecture, etc.), racontez-lui une histoire, donnez-lui un bain...
Expliquez-lui calmement pourquoi il ne doit pas faire cela et pourquoi vous réagissez de cette manière (par exemple, « on ne tape pas maman »). Après quelques minutes expliquez-lui une nouvelle fois ce qu'il s'est passé et pourquoi, faites-lui un gros câlin et reprenez le cours de votre journée.
Selon un sondage réalisé en 2020 par OnePoll pour Mixbook auprès de 2000 parents, ce serait quelques années plus tard que les enfants seraient les plus difficiles. A 8 ans, précisément.
Terreurs nocturnes et cauchemars
Les terreurs nocturnes surviennent chez plusieurs enfants à partir de 1 an. L'enfant se met à crier et à pleurer. Pourtant, il semble dormir profondément. Il n'est pas nécessaire de le réveiller ou d'intervenir, sauf si vous craignez qu'il se blesse dans son agitation.
Parlez à votre bébé d'une voix douce et rassurante. Prenez votre bébé dans vos bras le plus souvent possible. Les nourrissons aiment qu'on les porte bien serrés contre soi. Le contact humain leur permet de se relaxer, de se calmer, de réduire leur niveau de stress et de se sentir en sécurité.
Tout d'abord, effectivement, on ne laisse jamais pleurer un tout petit bébé, jusqu'à environ 6 mois, un an, en fonction de l'enfant et de son histoire. Les premiers mois, il faut sécuriser l'enfant au maximum, il a besoin que l'on soit présent.
Pour exprimer de la douleur, bébé va garder les yeux fermés presque tout le temps et froncera des sourcils. Dès le début, ses cris sont stridents - au maximum de leur intensité. Pour exprimer de la peur, bébé garde les yeux ouverts et renverse la tête par derrière.
La période du Terrible two, qu'est-ce que c'est ? Le nom « Terrible two » (de l'anglais « terribles 2 ans ») désigne la phase d'opposition qui commence vers l'âge de 18 mois et peut durer jusqu'aux 3-4 ans de l'enfant.
Pour bien gérer ce type de situation, évitez d'amoindrir sa colère, de l'étouffer, de la refuser (en lui disant « Ce n'est pas grave ») mais tentez de comprendre ce qui l'a déclenchée pour calmer sa contrariété. L'objectif est qu'il apprenne à gérer lui-même ses frustrations.
Une difficulté à recevoir les compliments et à vivre de bons moments avec l'entourage.
Rester calme. Faire de l'ignorance intentionnelle (ne pas lui accorder d'attention, ne pas le regarder, ne pas lui parler, bref, il fait sa crise sans spectateurs). Vous pourriez aussi opter pour l'amener dans un endroit calme pour qu'il fasse sa crise. Attendre qu'il soit redevenu calme avant d'aller le revoir.
Combien de temps dure le terrible two ? La crise des deux ans commence vers l'âge de 18/24 mois (selon les enfants) ; elle dure généralement 1 an environ ; certains enfants peuvent toutefois connaître des crises de colère récurrentes jusqu'à leur 4 ans.
La voie vers l'autonomie
Ce que l'on appelle le « terrible two » caractérise le passage à un besoin fort d'autonomie revendiqué par l'enfant, qui tente de pousser toutes les limites auxquelles il fait face.
Ne pas crier plus fort que lui
De fait, il est important de ne pas réagir aux cris de votre enfant en criant à votre tour. Adopter une voix douce et apaisée permettra à votre enfant de s'adapter et de se concentrer sur celle-ci afin d'arriver petit à petit à se calmer.
Il est important de préparer l'enfant si la routine est brisée, lui parler de façon positive et lui laisser un petit choix. Cela permet d'éviter quelques crises de colères. Lorsqu'un conflit est permanent, prendre du temps avec son bébé et avoir une véritable conversation avec lui peut aider à débloquer la situation.
A partir de quel âge un enfant peut être capricieux ? On situe cet âge critique aux environs des 18 mois. Avant cet âge, un bébé pleure uniquement par besoin ; il peut avoir faim, froid ou avoir besoin d'être rassuré ou changé, par exemple. On ne parle de caprices qu'aux alentours des 2 ans.
A partir de 6 ou 8 mois, les pleurs de votre bébé sont moins liés à des causes physiques : ils sont une façon d'extérioriser ses différentes émotions. Il peut manifester ainsi son ennui, sa frustration, ses petites peurs… En général, votre bébé pleure pour que vous vous occupiez de lui, pour que vous le rassuriez.
Les pleurs de bébé : son premier langage
C'est une façon pour le bébé d'entrer en communication et de faire savoir ce dont il a envie. Il a faim, il est fatigué, il veut être pris dans les bras, il a mal quelque part... Parfois, pleurer est aussi le moyen de se libérer des tensions qui l'habitent.
Essayez de ne pas laisser votre bébé pleurer seul. Au contraire, nous vous conseillons de l'accompagner, pour lui apprendre qu'il peut compter sur vous : câlinez-le, parlez-lui, touchez-le … Mettez en place un rituel du coucher, qui agira alors comme un cadre rassurant sur votre bébé.
Allongeons l'enfant, bordons-le et embrassons-le en lui souhaitant bonne nuit de façon à la fois aimante et ferme, pour qu'il comprenne que l'on est sérieuse. Quittons la chambre et laissons-le pleurer pendant une minute. Retournons ensuite dans la chambre, rassurons-le et calmons-le jusqu'à ce qu'il s'apaise.
S'isoler dans un endroit calme avec bébé, l'installer à plat ventre sur l'avant-bras d'un de ses parents puis le bercer en lui parlant doucement. Le porter en écharpe. Cette technique, remémorant la vie utérine et rapprochant des battements du cœur maternels, réconforte et fait cesser les pleurs de nombreux bébés.
La clé serait d'allonger le temps entre les visites. On recommande toutefois de ne pas laisser pleurer l'enfant plus de 15 à 30 minutes en continu. Dans cette étude, les bébés, âgés de 4 à 10 mois, devaient donc apprendre à s'endormir selon cette méthode.
À retenir. Un enfant de 1 à 2 ans commence à utiliser les crayons, est attiré par les jeux salissants comme la peinture aux doigts et aime enfiler, visser, collectionner, classer et vider.