Exemple : bouteille d'O2 de 5 litres, pression de 100 bars, débit de 15 l/min. autonomie = ((5 x 100) -10%) / 15 = 30 min.
Vous devez d'abord ouvrir les robinets des bouteilles de gaz, en les tournant dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, d'un quart de tour. Le réglage de la pression de la bouteille d'oxygène doit être réglé entre 0,8 et 1,5 bar. Celui de la bouteille d'acétylène doit être compris entre 0,3 et 0,5 bar.
Lorsqu'il est administré de l'oxygène bas débit aux patients, les débits sont généralement compris entre 2 et 10 litres/minute (l/min). Les patients en respiration spontanée ont généralement un débit inspiratoire (DI) compris entre 20 et 40 l/min.
Elle se fait sur le degré de remplissage du ballon-réserve qui ne doit jamais être complètement aplati.
L'inhalation d'oxygène a pour objet d'augmenter la quantité d'oxygène transportée jusqu'aux tissus de l'organisme, notamment au niveau du cerveau. Il existe plusieurs dispositifs qui permettent d'administrer de l'oxygène en inhalation: Masque à inhalation à « haute concentration » (MHC)
L'organisme humain a quotidiennement besoin d'env. 400 l d'oxygène (O2). L'oxygène permet aux cellules du corps de vivre et d'exercer leur activité.
Dans le cas de la saturation pulsée (SPO2), en dessous de 95%, on considère qu'une personne est en hypoxie, c'est-à-dire qu'elle manque d'oxygène. « Lorsque le corps manque d'oxygène, il s'ensuit une souffrance cellulaire et un risque pour les différents organes.
Exemple : bouteille d'O2 de 5 litres, pression de 100 bars, débit de 15 l/min. autonomie = ((5 x 100) -10%) / 15 = 30 min.
Chaque insufflation dure environ 1 seconde. Tout en maintenant la tête de la victime basculée en arrière et son menton relevé, redressez-vous légèrement pour vérifier que sa poitrine s'abaisse à l'expiration. Inspirez de nouveau normalement et pratiquez une seconde insufflation.
Le calcul du taux de saturation sanguin en oxygène noté SpO2 est basé sur le rapport entre la CHbO2 sur la CHb. La CHbO2 étant la concentration sanguine en oxyhémoglobine et la CHb est la concentration totale d'hémoglobine dans le sang.
La formule mathématique permettant de calculer le débit respiratoire est : volume courant (volume d'air qui circule dans les voies respiratoires au cours d'un cycle soit environ 0,8 litre chez un adulte) x fréquence respiratoire (nombre de cycles respiratoires par minute).
Lunettes nasales : besoin modéré en O2 pour des patients stables. Un masque facial simple qui couvre la bouche et le nez : Un masque à haute concentration permet de délivrer un haut débit d'oxygène.
Humidification requise si débit d'oxygène supérieur à 3 l/mn ou si les muqueuses respiratoires sont lésées et sensibles.
A ce jour, la date entre deux épreuves est de 2,5 ans. Donc, 2,5 ans après la date d'épreuve de mise en service, la bouteille de plongée doit subir une épreuve optique et cela même si la bouteille n'a pas été utilisée. Il en sera de même tous les 2,5 ans tout au long de la vie de la bouteille.
Par exemple, 1000 litres d'oxygène pris à la pression atmosphérique, n'occuperont plus, une fois comprimés à 200 bars, qu'une capacité de 5 litres (volume en litres d'eau).
Ne pas ouvrir la bouteille lorsqu'elle est en position couchée. Ouvrir progressivement le robinet sans jamais le forcer. Ne jamais procéder à plusieurs mises en pression successives rapprochées. Ne jamais ouvrir le débitmètre avant d'ouvrir le robinet (il doit toujours être réglé à 0 L/min au préalable).
Le patient est inconscient et ne respire pas
La particularité est qu'il faut commencer par 5 insufflations. En effet, la cause de l'arrêt cardiaque est le manque d'oxygène, il faut donc en apporter à la victime le plus vite possible.
Elle comprend deux temps : l'entrée d'air dans les poumons lors de l'inspiration et la sortie d'air lors de l'expiration.
Les études montrent que la réalisation continue des compressions thoraciques est essentielle pour la survie et les interrompre pour des insufflations de secours pourrait augmenter le risque de décès.
Corps gazeux diatomique (O2) constituant en volume le cinquième de l'atmosphère terrestre et nécessaire à la respiration.
Plusieurs maladies occasionnent des désaturations nocturnes en oxygène, telles que la BPCO, l'insuffisance cardiaque décompensée et le syndrome d'apnées-hypopnées du sommeil (SAHS).
En mesurant la moyenne du taux de saturation en oxygène pendant le sommeil, ils ont calculé qu'une baisse de 1% de ce dernier entraînait une perte moyenne du volume de certaines régions du cerveau de 0,63%. Cela peut sembler peu.
Elle est normale entre 95 et 100% et est insuffisante en dessous de 95%.